Quand vous y serez, suivez EXACTEMENT ces instructions…

Mai 2013 | 13 commentaires

Il existe un cabanon au fond du jardin. La porte y est fermée à clé. Lorsque vous aurez ouvert ce verrou, vous y trouverez un outil qui – alors que rien ne le laisse penser – transformera à jamais votre vie.

 

Certains ne verront pas l’aubaine. Ils regarderont l’objet, mais ne l’utiliseront jamais. Mais pour celui qui a un peu d’imagination, il y verra l’infini potentiel que recèle cet outil et l’exploitera à fond.

 

Cet outil existe, et il n’a rien de nouveau. Bien qu’il soit exceptionnel, il n’est ni tape-à-l’œil ni rare. Il est même plutôt banal. C’est pourquoi certains ne verront jamais l’opportunité. C’est triste, mais c’est ainsi !

 

En fait, sa valeur vient de ses prouesses insoupçonnées, capables de défier toutes les lois. Cet outil, c’est…

Le cerveau

votre cerveau

 

 

 

 

Qui tient la barre ?!

J’écris cet article parce que je vois de plus en plus de gens avec des vies déplorables qui ne savent pas comment s’en sortir.

 

On vient me consulter le plus souvent pour des maux physiques. Et les gens sont persuadés qu’ils ne sont qu’un aggloméra matériel, ignorant – je ne sais pourquoi – ce qu’ils sont vraiment : des êtres vivants qui pensent et qui éprouvent des émotions.

 

Et je dois avouer une chose : à l’origine de ces troubles se cache une torture morale ou émotionnelle en inadéquation avec les lois de la nature.

 

Souvent, les gens se retrouvent dans des situations pour lesquelles aucune solution ne semble envisageable.

 

Plus les problèmes sembleront irrésolvables, plus les répercussions physiques seront importantes.

 

De même, plus la problématique sera inconsciente, plus elle s’exprimera avec force et semblera faire partie de la personnalité de l’individu.

 

Et cela se vérifie tous les jours !

 

Vous libérez untel de son problème d’épaule qu’il traine depuis des années, et deux semaines plus tard il tombe dessus, par le plus grand des hasards. Pas sur le genou ! Pas sur l’épaule saine ! Mais sur l’épaule qui posait problème. Et le scénario se reproduit maintes et maintes fois, au point où vous en arrivez à penser qu’une malédiction pèse sur cette épaule !

 

Une personne se fait opérer d’une hernie discale et elle récidive ! Ce qui est incroyable, c’est de découvrir que plus elle s’acharnera à régler son problème physique, sans s’occuper de son pendant émotionnel, plus les choses s’empireront, avec l’impression qu’elle ne s’en sortira jamais.

 

Certains en souffrent même, alors qu’aucune pathologie ne l’explique !

 

C’est ainsi qu’après moult opérations d’importantes hernies discales, un chirurgien américain, avec du recul, s’est rendu compte que l’origine ne pouvait être purement mécanique. Il n’en opère même plus, et préfère diriger les patients en thérapie de groupe. Les résultats sont meilleurs !

 

Le problème, c’est que ces gens ne se rendent pas compte qu’elles sont involontairement responsables de leurs bobos.

 

90% de ces gens pensent que c’est le hasard de la vie ou le fruit des circonstances, sans jamais se remettre en question.

 

Elles sont comme une barque, ballotée par les vagues, au milieu de l’océan, et se plaignent de ne pas être au bon endroit. Mais ont-elles pensé un seul instant à tenir la barre ?

 

Sans personne pour diriger le bateau, il est normal de voguer au gré des flots.

 

Il est temps d’agir : reprenez votre vie en main. Devenez le capitaine de votre destin. Informez votre cerveau de ce que vous attendez de lui.

 

 

 

 

Votre cerveau est votre meilleur investissement

Derrière la boite crânienne sommeille un génie. Frottez-vous les méninges et il exaucera vos souhaits. Mais comment s’y prendre ?

 

Visionnez ce diaporama. Vous y trouverez une technique simple pour rendre concrètes vos aspirations.

 

Mais on peut encore optimiser cet outil. Vous me connaissez, j’adore trouver le truc de malade qui rend une technique encore plus simple et complètement hors-norme. J’aime surprendre. C’est pourquoi vous trouverez plus loin les fondements de cette technique. Nous allons l’épurer un peu et ne garder que ce qui fonctionne.

 

 

Surtout, ne me croyez pas sur parole. Soyez cartésien : mettez en doute et testez par vous même.

 

Faites-le maintenant

 

Ne soyez pas assez pauvre d’esprit pour ne pas le faire. AGISSEZ tout de suite… ou jamais !

 

À partir d’aujourd’hui, investissez dans votre cerveau.

 

 

 

 

Faites de votre cerveau une arme secrète

Votre cerveau est comme à un missile. Il comporte deux parties : l’une, très grande, qui occupe la quasi-totalité de l’engin, et l’autre, une toute petite, au sommet.

 

Le grand espace est la réserve en carburant. Notre carburant, c’est l’émotion. Et il y en a ! Positive ou négative, l’émotion est ce qui nous fait avancer.

 

Au somment, la petite partie, c’est la tête chercheuse : la pensée. Et vous avez tout intérêt à bien focaliser votre cible.

 

L’idée est de définir votre point d’arrivée et d’y mettre du carburant.

 

Mettez en marche le pouvoir créateur de votre Esprit :

 

 

D’abord, rendez votre rêve réel

Tout le secret réside dans le détail. Soyez précis et concret. Si l’objectif est vague, la destination finale le sera tout autant.

 

« Être heureux » est tout sauf précis.

 

Si je mets ça dans l’ordinateur, j’aurais un large sourire de satisfaction d’y avoir réussir à y introduire cet objectif et voilà, je viens d’être heureux. Mon souhait vient d’être exaucé. Et c’est tout.

 

La destination doit être fouillée, précise, élaborée, avec une durée dans le temps et ciblée dans l’espace.

 

Il est tôt. Je me réveille. Encore une fois, j’ai bien dormi et j’ai fait encore de merveilleux rêves. J’ai cette impression de revenir de loin et d’avoir exploré des contrées éloignées de l’Univers et de moi-même.

Dans le lit, juste à côté de moi, dort encore ma femme. Je l’observe avec un sourire sur le visage. J’aime la regarder dormir. On dirait un ange, tout innocente, et pleine de vie. Sa peau lisse et ses longs cheveux font ressortir une féminité instinctive qui pousserait n’importe quel homme à l’aborder. J’ai envie d’elle rien qu’en la voyant.

Je me lève, descends dans la cuisine et me fais un bon café, bien chaud. Je tiens entre mes mains la tasse et je me réchauffe un peu avec.

La tasse fume et je regarde dehors. Je vois le jardin, la verdure, les arbres, la nature dans tout son état. Les oiseaux sifflent. Ça bouillonne de vie dehors. C’est apaisant et rassurant. Je sens que je fais partie de cette nature. Que je ne fais qu’un avec elle. C’est pourquoi je salue toujours – intérieurement- la flore et la faune qui m’entourent.

Le soleil se lève tranquillement. Je le regarde et le salue, lui aussi, avec un respect incommensurable. Je le remercie de me donner la vie aujourd’hui encore.

Puis plus tard, ma femme arrive elle aussi. Les enfants dorment encore. Elle m’enlace et me sourit. Ahhh ce sourire. J’ai besoin qu’elle me sourie à son réveil. Il n’y a rien de plus appréciable.

 

Ça, c’est mon souhait d’il y a 20 ans. Tout s’est concrétisé, et même plus encore.

 

 

Mais il existe un autre secret encore bien plus gardé. Sans lui, aucun changement n’est possible et toute tentative se soldera par l’échec et la désillusion.

 

 

 

Insufflez-lui la vie

Certaines personnes sont des leaders nés. Dans les faits, ce n’est pas si vrai que ça ! La vérité, c’est qu’elles ont trouvé, tôt dans leur vie – souvent par hasard – le secret pour faire déplacer les foules. Et ce secret, c’est l’émotion.

 

Dans ma famille, l’émotion était tenue pour d’abstraite. Lorsque j’exprimais mon ressenti face à une situation, ma mère me disait que j’étais compliqué, l’air de dire qu’il ne fallait pas s’en occuper.

 

Elle ne savait pas comment les gérer. Et sa crainte me poussait à chercher encore plus ce côté inconnu de l’homme. Un peu comme un enfant : si vous lui interdisez quelque chose, vous piquez en fait sa curiosité.

 

Si vous voulez être précis dans votre objectif, faites participer vos cinq sens. Et ça tombe bien parce qu’ils vont être le support de vos émotions.

 

Regardez par exemple un film sans musique. Vous n’éprouverez plus rien! Pour susciter l’émotion, les cinéastes rajoutent donc une information, par le canal auditif, en y ajoutant de la musique.

 

Si vous voulez créer une émotion, ne restez surtout pas sur un seul mode sensuel. Rajoutez de la texture (le toucher), du bruit (l’ouïe), des odeurs, des couleurs, des contrastes, etc.

 

Rajoutez aussi un contexte et des gens, et ne vous gênez pas d’exagérer pour forcer un peu les sens.

 

Les émotions sont le carburant.

 

Certaines personnes n’arrivent pas à gérer leurs émotions. Il est intéressant alors de prendre celle qui prime – la peur, en général- et de la dévier ou de tourner à l’envers l’objectif. Cultivez alors la crainte de réussir et trouvez-y toutes les raisons qui la justifient. Ayez peur de rencontrer l’homme de votre vie, par exemple, parce qu’alors ce sera fini les fêtes comme à l’époque, etc.

 

Trouvez-vous les raisons d’avoir peur d’obtenir ce que vous souhaitez.

 

Je sais, c’est tordu, mais ça marche. Et c’est même plus facile de penser comme ça. Comme quoi, l’homme est bien contradictoire.

 

 

 

 

Les 4 étapes « simples comme bonjour » pour révolutionner votre vie

Vous savez maintenant comment fonctionne votre esprit et comment éveiller le génie en vous. Maintenant, voici récapitulé en 4 étapes concrètes la procédure exacte pour matérialiser vos rêves.

 

 

Première étape : Le plus dur est de commencer

Prenez une feuille et notez en détail ce que vous voulez dans votre vie.

 

90% des gens attendent le dernier moment pour le faire. Sincèrement, n’attendez pas d’être dos au mur, faites-le maintenant.

 

Appliquez le conseil de ma mère :

 

Le plus dur, ce n’est pas d’apprendre, mais de poser son cul sur la chaise.

 

Et c’est vrai ! Les écrivains le savent : c’est celui qui a la meilleure « colle à cul » qui écrira le mieux.

 

Si vous manquez de motivation, partez, promenez-vous, cherchez un endroit où il y a de l’espace. Il se passe alors une réaction totalement mécanique : l’oppression cesse et apparaît un sentiment de liberté où tout est possible.

 

Un conseil : observez bien les lieux. Mémorisez-vous la scène, vous pourrez l’utilisez plus tard.

 

 

 

Seconde étape : plantez le décor !

90% des personnes ne savent pas non plus ce qu’elles veulent. Elles savent en revanche ce qu’elles ne veulent pas. Si c’est le cas, réfléchissez à ce que vous souhaitez absolument fuir et prenez le contraire : ciblez où vous aimeriez plutôt être.

 

Si les mots ne viennent pas, faites un dessin. Ça marche aussi.

 

Imaginez ce que vous aimeriez de la vie.

 

Si vous n’y arrivez pas, sachez qu’une chose qui ne peut se concevoir ne peut se réaliser.

 

Peut-être, ne pouvez-vous tout simplement pas concevoir les choses ?

 

J’ai découvert que ce blocage venait d’un moment très précis de la vie des patients. Interrogez vos parents sur leur vie autour de VOTRE conception. Dans quelle circonstance avez-vous été conçu ?

 

En vous relatant la vie familiale à cette période et comment ils l’ont vécu, vous lèverez le verrou qui vous empêchait vous-même de matérialisez vos désirs.

 

Maintenant que vous avez retrouvé votre pouvoir créateur, créez votre vie : mettez par écrit vos désirs.

 

Autrefois, on écrivait des formules magiques dans des grimoires. Sachez que crayon et papier ont en effet un pouvoir créateur extraordinaire, mais rendu tellement banal et à la portée de tous, qu’on en a oublié la magie derrière tout ça.

 

Je vous conseille d’utiliser plutôt un crayon à mine qu’un stylo pour écrire.

 

 

 

Troisième étape : insufflez la vie !

Votre liste est faite.

  • Hiérarchisez vos désirs.
  • Prenez le souhait le plus important et, trois fois par jour, projetez-vous dans le futur. Imaginez que vous l’avez obtenu.
  • Éprouvez du plaisir. Faites l’effort de ressentir de la joie.

 

Souvenez-vous, dans un autre article, je précisais que toute guérison nécessitait une réaction biologique. Vous devez ressentir une réaction dans votre corps ! Si ce n’est pas le cas, c’est que vous êtes trop cérébral. Vous êtes trop dans la tête.

 

Forcez-vous et débrouillez-vous pour générer une réaction corporelle. Ce peut être un coup de chaleur, des frissons, une envie de se lever et de hurler, une transpiration, un rire, etc. Peu importe ! Vous devez faire entrer l’image ou le scénario que vous avez créé dans votre peau.

 

Une musique entreprenante que vous aimez peut s’avérer ici d’une grande aide.

 

Levez-vous. Contractez les muscles. Bougez. Souriez. Faites semblant. Voici le début du changement.

 

Répétez cela trois fois par jour.

 

 

 

Quatrième étape : oubliez !

« Cher Père-Noël ». Marie a fait sa lettre au Père-Noël. Elle y a tout bien noté pour qu’il ne se trompe pas. Elle s’imagine déjà combien elle éprouvera du plaisir à jouer avec ses nouveaux cadeaux. Mais voilà, le problème, c’est que le facteur est passé et la petite fille a bien tendu sa lettre, mais elle ne l’a pas lâchée. Elle y tenait tellement que le facteur n’a pas pu la lui prendre. Et, c’est triste, mais le Père-Noël n’a jamais pu recevoir son courrier.

 

Ne faites pas comme Marie, laissez partir vos désirs dans l’oubli de l’inconscient.

 

Ici aussi, forcez-vous si ce n’est pas naturel. Faites une activité qui vous oblige à penser à autre chose. Peu importe l’activité, mais plongez-y entièrement pour focaliser votre esprit sur autre chose.

 

Ce secret est très rarement donné, mais comprenez que tout se passe dans votre inconscient et dans notre inconscient collectif. L’information ne doit pas être retenue dans le conscient, sinon, elle ne peut suivre son chemin.

 

Cette faculté à oublier est devenue un jeu pour moi. J’en suis arrivé à plonger spontanément et complètement dans n’importe quelle occupation de la vie quotidienne, sans me soucier un seul instant de ce à quoi je pensais l’instant d’avant. C’est un exercice très intéressant.

 

 

 

 

Quelques conseils (très) utiles

 

Commencez par la fin !

Cette technique fonctionne pour concrétiser des rêves ponctuels. Mais il est encore plus utile de donner à l’ensemble de sa vie une coloration de succès et de réussite, sans se soucier à chaque instant si on est bien sur la voie ou non.

L’astuce est d’orienter notre vie vers cet objectif et pour cela, déterminer notre destination finale.

Voici ma représentation. Vous pourrez vous en inspirer pour faire la vôtre.

 

Sable

 

Je suis au bord de la mer, sur le sable, et le soleil se couche.

J’entends le bruit des vagues qui s’échouent sur le sable.

Je suis accroupi et prends une poignée de sable dans la main que je frotte entre les doigts.

Je l’humecte. Le sable est humide et il sent l’iode.

Je regarde l’immensité au loin, le sourire aux lèvres.

Je souris parce que j’ai percé tous les secrets de l’univers dans cette vie.

Je souris parce que j’ai réalisé tout ce pour quoi j’étais venu sur Terre.

Je regarde le soleil et m’adresse au Créateur : « Tu avais raison. Tout est comme tu l’avais dit.»

Je suis rempli de gratitude et d’émerveillement pour Sa Création, dont je fais partie.

Tout a toujours été là, au fond de nous-mêmes.

Alors que je partage cet instant de communion avec Dieu, une main se pose sur mon épaule gauche.

Ma femme serre tendrement ses doigts.

Elle me sourit, l’air de dire « Alors tu savais tout depuis le début, hein !? Filou ! Je suis fière et heureuse de partager ma vie avec toi ».

J’ai cette impression étrange que Dieu a toujours été en moi, depuis l’éternité, bien avant cette existence.

 

 

 

Des moments propices

Vous voilà à l’orée d’une problématique que semble sans issue ? Programmez la solution !

 

Il m’est apparu que cette technique redoutable permette de résoudre d’une manière étrange chacun de nos conflits. Des coïncidences se mettent en place pour aboutir à une solution totalement inattendue.

 

Profitez par exemple d’un rendez-vous chez un thérapeute pour programmer à l’avance la réussite du soin.

 

« Dans deux jours, ma nuque sera totalement libre. Tous les muscles seront profondément détendus et je retrouverai une mobilité telle que je l’avais quand j’avais huit ans. »

 

Bien entendu, vous aurez des objections internes, mais débrouillez-vous pour que l’émotion pour le résultat soit plus grande que vos craintes.

 

Appréciez ce que cela ferait de ne plus souffrir, et comment serait votre vie si le problème n’existait plus ou n’avait jamais existé. Focalisez votre esprit sur ça plutôt que sur les raisons qui pourraient faire que vous ne guérirez jamais (parce que si on se met à trouver des raisons, on en trouvera toujours !).

 

Certains patients s’auto-sabotent avec tellement d’énergie que je me demande pourquoi ils viennent consulter (une sorte d’addiction au malheur). Ne faites pas comme eux.

 

Et si vous n’y arrivez pas, alors débrouillez-vous pour craindre le résultat que vous attendez. Que se passerait-il si vous n’aviez plus de problèmes ? Serez-vous capable de l’assumer ou replongerez-vous dans vos erreurs ?

 

Guettez les changements, même minimes. Voilà une stratégie gagnante ! Chaque indice est comme une aspérité vous permettant de vous y accrocher pour escalader puis dépasser votre problème.

 

 

 

 

 

 

Le gros inconvénient de notre esprit est qu’il est capable de se projeter et de s’identifier dans n’importe quoi. Une fois happé par un souci, il est très difficile de regarder dans une autre direction. Et comme notre cerveau est une machine à concrétiser, nous aurons l’impression que ce sur quoi se porte notre regard s’amplifie sans cesse, allant de pire en pire.

 

C’est à nous qu’il incombe de fournir un effort pour déjouer notre regard et l’orienter dans la direction souhaitée.

 

On se marre quand un moustique est hypnotisé par la lumière dégagée par une simple ampoule, mais nous ne sommes guère mieux : nous sautons sur le moindre truc qui excite notre esprit et nous procure une émotion (qu’elle soit négative ou positive, d’ailleurs !).

 

Nous sommes des drogués aux sens.

 

« Comment changer cela ? » demanderez-vous. Eh bien le plus simple est de regarder ailleurs, parce qu’en définitive, n’oubliez jamais que nous allons là où nous regardons.

 

 

 

WladislasBARATH

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13 Commentaires

  1. Manuella

    Bonjour,
    Je suis tombée sur vos articles il y a deux jours et je les dévore un par un. Il y a énormément de travail, d’expériences, de bon sens et de bienveillance. Merci.
    Une phrase m’interpelle dans votre article concernant les blocages à définir ce que l’on souhaite faire de sa vie et à un lien aux parents lors de la conception.Que faire quand nous ne pouvons avoir les circonstances de cette conception?
    Merci et bonne année

    Réponse
  2. Wladislas BARATH

    En arrêtant de fuir ces sentiments et en y pénétrant pleinement. Faites le accompagnée. Retrouvez l’histoire sensoriellement.

    Réponse
  3. Reiser

    Je suis tout a fait d’accord avec ce que vous écrivez.
    Je n’arrive pas a avoir confiance, ainsi que les rencontres avec les hommes, je suis avec une personne depuis très peu de temps, je ne suis pas encore aller chez lui et vise versa, quand il va rentré de vacances fin septembre, il va venir chez moi ou je vais aller chez lui 2 jours.
    J’ai connu bcp d’échecs sentimentaux jusque ici, j’ai fait des soins en médecines, quantiques intégrales, kinésiologie, micro kiné la liste est très longue, brefff…….
    J’ai eux bcp d’amélioration, sans tout ces soins, je serai tjr la même personne si je n’avais pas fait tout ces soins.
    Je crois a la réincarnation, au karma je suis sur terre, pour nettoyé, épuré, mettre en ordre etc……ce que je n’ai pas fait dans des vies antérieurs, en tout cas je le ressens au plus profond de mon être, je crois très fort a cela.
    Le mal que l’on fait a tout les règnes de la terre y compris tout les humains, un jour ou l’autre ça nous reviens droit dessus, comme l’effet de boomerang, ce que l’on appel aussi la loi de cause a effet, on a rien sans rien, rien n’ai gratuit.
    Je vous écris pour vous demandez, comment je peu arrivé a vaincre ma peur, mon angoisse, ma culpabilité, timidité,,, etc……me faire confiance dans tout domaine telle qui soi.
    Un grand merci a vous d’avoir pris le temps de me lire.
    Madeleine

    Réponse
  4. Marie

    Monsieur

    vous êtes un Grand ………..un Beau…….(si si il faut le dire et on ne le dit jamais assez)
    Merci pour l aide que vous nous amenez .La vie est des fois un labyrinthe et ça y est vous nous donnez le fil …………oh Merci
    j aimerais tant pouvoir amener de l eau à votre moulin ….de connaissance……….et n être pas toujours là à puiser………c’est ainsi……..et j accepte
    Dommage que vous soyiez si loin de chez moi!!sûr de sûr je serais venue vous voir
    Monsieur Prenez soin de vous et Merci une fois de plus

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      Bonjour et merci.

      Ce n’est pas la vie qui est un labyrinthe, mais notre esprit. Et nous savons exactement comment il fonctionne.
      Il ne reste plus qu’à le partager. Je prépare tout ça 😉

      Réponse
  5. Mickael

    Très instructif ! Merci. Au moins, je saurai TRES BIEN comment faire maintenant pour déterminer mon objectif principal et le moyen pour y parvenir. Mes sincères remerciements.

    Réponse
  6. Zico RAJOSIA

    C’est très clair cet article… Vous avez une très bonne idée M. Barath et je suis tout a fait d’accord avec vous.

    Réponse
  7. Maeva

    Merci pour tout Monsieur Barath pour cet article, c’est mon outil de travail depuis quelques jours, je pense que je vous appellerez pour vous posez des petites questions 😉 !
    Merci encore pour tout ces partages !!!!

    Réponse
  8. laurett

    Bonjour,

    Je n’arrive pas à comprendre ce que veut dire « si vous n’y arrivez pas, alors débrouillez-vous pour craindre le résultat que vous attendez. »
    « Cultivez alors la crainte de réussir et trouvez-y toutes les raisons qui la justifient. Ayez peur de rencontrer l’homme de votre vie, par exemple, parce qu’alors ce sera fini les fêtes comme à l’époque, etc. »

    Pouvez-vous développer concrètement ?
    Je suis paralysée par mes peurs, et j’aimerai en sortir. Mais je ne comprends pas le sens de cette phrase.
    Je suis déjà paralysée par la peur, en quoi ressasser cette peur pourrait-il m’aider ? C’est déjà ce que je fais inconsciemment et je suis de plus en plus paralysée.
    J’ai du mal comprendre ce conseil, mais alors comme je dois le comprendre ?

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      La fille d’une amie à ma mère me téléphona en pleurs un soir. Elle ne savait à qui s’adresser et s’était souvenue de mon attrait pour les mystères de l’esprit. Elle décida donc de se confier à moi.

      Elle m’expliqua, entre deux sanglots, qu’elle avait vu trois voyantes et que toutes les trois affirmaient qu’elle n’aurait jamais son baccalauréat et qu’elle ferait une grave dépression. Sans hésitation, j’ai pris la voiture et ai parcouru une cinquantaine de kilomètres pour la rejoindre.

      Les voyantes avaient mis en place ce qu’on appelle « une prédiction auto-réalisante ». En clair, elles avaient planté une suggestion terriblement dévalorisante dans la cervelle de cette pauvre fille. Impressionnée par les cartes et par l’aspect folklorique de la voyance, son cerveau ne voyait plus que l’échec et la dépression. Elle allait forcément échouer vers cette issue fatale si elle ne réagissait pas, et elle n’était pas en mesure de le faire. Il fallait donc désamorcer cette prédiction.

      Chez elle (ou plutôt chez ses parents), je l’ai écoutée attentivement. Elle était tout simplement terrorisée par ce destin « tragique » annoncé par les voyantes.

      J’ai décidé d’utiliser cette même peur de l’avenir, mais d’y donner une fin toute autre. J’ai donc commencé à la convaincre qu’elle aurait évidement plus de difficultés lorsqu’elle aura… réussi son bac, et que les voyantes avaient oubliées quelques notions élémentaires de l’être humain.

      Pendant une demi-heure, j’ai trouvé toutes sortes d’arguments pour prouver qu’elle sera dans de salles draps une fois le diplôme obtenu :

      – qu’est-ce que tu feras après ?
      – Est-ce que l’école que tu choisiras sera-t-elle la bonne, ou bien une arnaque, un moyen de caser les étudiants quelque part ?
      – qui va payer ton appartement ?
      – qui va s’occuper des assurances ?
      – Qui fera ton linge ?
      – Seras-tu capable de rester là-bas sans voir ta famille, sans ami ?
      – Il faudra un temps d’adaptation, se faire de nouvelles relations, etc. mais comment savoir si telle ou telle personne est fréquentable ?
      etc. etc. etc.

      Ça venait tout seul ! Et elle a commencé à voir l’après-bac tout à fait différemment, d’une manière qu’elle n’avait encore jamais soupçonnée. Elle commençait à en avoir peur, et tellement de questions venaient maintenant à son esprit.

      Au final, elle a eu son bac et elle a fait les beaux-arts, et elle est super douée, même s’il est difficile de vivre de ses propres créations dans ce domaine.

      Comme la peur est naturelle, il suffit juste de la diriger vers l’objet que l’on convoite et de se trouver les raisons d’avoir peur, une fois obtenu. Cela demande un tout petit effort. Le plus dur est sans doute de faire « comme si », de se convaincre d’avoir peur de, de jouer le jeu et de se convaincre. Mais lorsqu’on a saisi le principe, on devient vite expert.

      Réponse
      • eddie

        ça s’appelle une mal édiction…

        Réponse
  9. Lise G.

    Merci beaucoup…très pointu et à point ….merci d’avoir cette générosité…Excellent journée

    Réponse
  10. Véronique

    Merci merci merci!!! J’ai toujours des frissons en vous lisant et avec cet article encore plus car je ressens les choses exactement comme vous, mais moi j’ai eu la chance qu’on me l’apprenne depuis ma plus tendre enfance mais j’ai quand même beaucoup de mal sur cette terre à me trouver une place, car je la différence de mes prochains m’attriste… Mais j’ai un objectif!!! Et j’y arriverai!
    Merci encore cher M. BARATH!

    Réponse

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