La Guérison Quantique

Sep 2012 | 152 commentaires

 

Ce livre, au titre racoleur (bien sûr, écrit par un américain) aboutit à des résultats surprenants, en dehors de toute logique. Frank Kinslow

pourrait se révéler un doux illuminé de la tendance New Age – j’avais un peu peur de découvrir un livre idiot d’un gars croyant avoir réinventé la roue et essayant de se convaincre lui-même de l’importance de sa propre pseudo-découverte – mais visiblement, derrière sa technique ultra simple, il y a des années de méditation et de recherche de Soi.

 

 

La technique conviendrait parfaitement aux paresseux, puisqu’il s’agit de ne rien faire, de ne rien attendre : d’abord formuler une demande, puis poser deux doigts sur un muscle, ensuite ressentir simultanément la sensation sous chaque doigt, puis l’état dans lequel on est, et enfin rester conscient de ces trois sensations en même temps. C’est simple, non ? Mais comment cela pourrait-il donner des résultats ? C’est ce qu’explique Frank Kinslow dans la première partie de son livre et je pense qu’il est fondamental de le comprendre.

 

Le livre comporte 18 chapitres, mais se divise grossièrement en trois parties. Dans cet ouvrage, Frank Kinslow donne tout. Il n’aboutit pas, comme la plupart des livres dans le milieu, sur un séminaire ou un cursus à suivre. Ce n’est donc pas un livre de propagande pour sa propre fabrique. Non. Là, il donne tout et il n’y a pas besoin de plus parce que c’est simple, ultra simple et qu’il n’y a pas plus à dire. Son intention est que tout le monde puisse le faire.

 

 

Première partie : la Conscience pure

Je répète souvent en consultation que pour être heureux, il faut corriger ses propres représentations de la réalité afin d’essayer de les faire correspondre au mieux à celle-ci, telle qu’elle est et non pas telle que nous aimerions qu’elle soit. Si vous manipulez par exemple un pistolet en le prenant pour un marteau, vous risquez de vous faire mal. Il est donc important de bien comprendre un outil pour pouvoir l’utiliser à son plein potentiel. C’est le rôle des six premiers chapitres du livre, où l’auteur aborde la notion de Conscience pure en expliquant pourquoi elle permet la guérison. Pour cela, il détaille très simplement ce qu’est la pensée, les émotions et d’où elles viennent.

 

Pensées et émotions s’associent en formes-pensées. Elles naissent de la Conscience pure et s’en détachent, devenant autonome et se dotant naturellement d’une sensation d’abandon et de peur, puisque séparées de leur source. Or nous sommes le résultat de ces formes-pensées. Celles-ci prennent vie dans notre mental et nous croyons être ces pensées. En revenant à la Conscience pure, tout cela s’efface et un effet de résonance apaise et dissout l’ensemble des formes-pensées toxiques, et donc leur effet matériel dans nos vies.

 

La Conscience pure n’est pas le fruit de notre cerveau, comme le sont les formes-pensées. Pour la retrouver, il ne faut donc pas utiliser le mental. La Conscience pure est une sensation au-delà des émotions (pas dans le sens de plus haut ou d’éloignement, mais dans le sens qu’elle n’est pas faite d’émotion).

 

 

Seconde partie : l’Eufeeling

Les expériences de béatitude, de félicité ou d’Amour inconditionnel ne sont pas des émotions. Elles apparaissent au contraire lorsque le mental cesse, lorsque nous arrêtons de nous identifier à nos formes-pensées. Pour les différencier de nos émotions, l’auteur  a nommé ces états Eufeeling (terme condensé de l’anglais « feelings/sentiments » et « euphorics/euphorique », signifiant « joie sans objet » ou « félicité »), parce qu’il s’agit bien d’une sensation, mais où les émotions n’y entrent pas. Si elles y entraient, l’eufeeling cesserait.

 

Retrouver cet état n’est pas compliqué. Il suffit de se mettre en position d’observateur de ses propres pensées et de noter la sensation à ce moment-là, puis d’étirer le temps de cet état. La technique proposée est simple : pensez à des choses positives, puis de manière inattendue, prenez de la distance et observez la pensée en court quelques instants. Vous la voyez à présent de l’extérieur et ne vous y identifiez plus. Vous venez de prendre conscience que vous n’êtes pas la pensée – ni les émotions qui vont avec – mais la conscience qui, maladroitement, croit être et qui vit ces formes-pensées comme si elle était cela. Rester dans cet état s’appelle l’Eufeeling.

 

« La Conscience pure ne peut s’appréhender que par l’absence d’expérience ».

 

 

 

Troisième partie : La technique et sa mise en application

La technique se déroule en 2 étapes : l’intention et l’eufeeling.

 

D’abord, formulez mentalement votre demande de manière précise, positive et au présent, puis détachez vous en complètement. Ne vous attendez à rien.

 

Ensuite, comme expliqué plus haut, utilisez le procédé de triangulation qui consiste à poser un doigt de chaque main sur un muscle (choisissez de préférence un muscle qui présente une contraction anormale), de sentir successivement la sensation perçue sous chaque doigt, puis de percevoir les deux sensations en même temps et enfin, d’y ajouter l’eufeeling qui se dégage par cette simple perception simultanée (en même temps). Enfin, restez dans cet état jusqu’à relâchement musculaire qui marque la réussite de la technique.

 

Le fait de se pencher sur ses sensations permet de dévier l’attention sur autre chose que sur la demande faite précédemment. Il est impératif de s’en détacher et de ne rien attendre parce que le chemin pour arriver au résultat reste, quoi qu’il arrive, inattendu. Il vaut mieux donc ne s’attendre à rien, sous peine d’orienter le processus dans une mauvaise voie et donc, dans une impasse.

 

 

 

 

Alors la question ici est : est-ce que ça marche ? Eh bien je dois dire que pour ma part, c’est déconcertant. J’ai testé au cabinet, en secret, sans rien dire aux gens, en l’ajoutant simplement à mes techniques habituelles. Les résultats sont automatiques, similaires à ce que je faisais dans certains cas en « dialoguant » avec les cellules du corps, mais bien plus performants et surtout, reproductibles. Je dois même dire que maintenant, je comprends mes échecs quand j’utilisais ma propre technique personnelle qui déjà, était très surprenante. C’est d’elle dont je parle dans l’article « Pourquoi souffre-t-on ?»

 

Je ne saurais trop recommander ce livre. Achetez-le. Lisez-le et surtout : pratiquez-le. J’aimerais que tout le monde puisse utiliser cette technique, mais il existe deux grands freins à sa réussite : nos croyances la concernant (parce qu’après tout, c’est incroyable qu’en ne faisant pas grand-chose, on ait autant de résultat ! et puis parce que la force de la Conscience emprunte le chemin de nos croyances) et notre compréhension de la Conscience. Je ne sais pas si tout le monde saisit ce qu’explique l’auteur, même s’il simplifie franchement remarquablement. Je l’ai lu avec mes expériences et mes propres recherches sur la Conscience et le Soi. De ce fait, je peux garantir de la grande qualité du contenu de ce livre, mais les gens auront-ils conscience de la portée de ce qui s’y trouve ? Ne mélangeront-ils pas tout ? Quelle différence entre notre conscience et la Conscience pure ? Il manque certaines définitions qui permettraient à chacun de comprendre la place de l’Homme et ses différentes structures, bref, son propre mécanisme psychique. Mais, il faut le dire, ce livre est d’une grande qualité malgré cela. Ce n’est peut-être pas pour rien si en Amérique, il reste au top des ventes dans le domaine de la santé.

 

Ceux qui l’ont lu et qui l’ont pratiqué, qu’en pensez-vous ? Je serai curieux de savoir ce que vous en avez retenu et ce que vous en avez fait. Avez-vous eu des résultats comme j’ai pu en avoir ? Racontez-nous votre expérience parce que la mienne est sincèrement positive !

 

 

 

Wladislas BARATH

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152 Commentaires

  1. Esther

    Bonjour !

    Je suis tombée sur votre article en recherchant des informations sur la pensée quantique. En le lisant et en lisant l’intégralité des commentaires, je réalise que je n’avais pas du tout la même définition/représentation de ce que recouvraient ces termes. J’avais juste lu quelques articles qui résumaient brièvement une technique pour annuler une pensée négative par son contraire afin de faire coexister ces deux pôles et en quelques sortes annuler la pensée. Ça avait marché sur moi : je résume brièvement cette experience juste pour rendre mon propos plus concret :
    J’ai testé cette technique d’annulation sur une pensée qui me faisait souffrir, une supposition que je faisais au sujet des sentiments de quelqu’un à mon égard, que je supposais négatifs ou absents. En gros, un comportement observé chez cette personne me faisait penser qu’elle ne m’aimait pas, du moins pas assez, ou ne me donnait pas d’attention. La technique propose en quelque sorte de pouvoir faire entrer la pensée inverse dans son système de croyances, et réaliser que ce qui créé en moi la pensée douloureuse, donc ici les comportements que j’observe chez l’autre, peut tout aussi bien générer une interprétation opposée, positive. EN gros, j’ai commencé à remettre en cause l’interprétation que faisait mon mental de ces comportements observés, et l’équilibrer par une autre plus positive qui coexiste avec la première. Et là il s’est produit une sorte de « Eurêka » en moi : la seconde interprétation, nouvelle, difficile à imaginer au début, ne m’a pas semblé si absurde, j’y ai repensé à plusieurs reprises et soudainement je me suis sentie apaisée.
    Là où je vais rejoindre ce que vous expliquez, c’est que au début je croyais avoir remplacé une interprétation par une autre, et je croyais avant de vous lire, que cette nouvelle interprétation avait entraîné dans la réalité l’attente que j’avais, par la visualisation positive. En effet, le lendemain, j’ai reçu des comportements différents de la personne concernée, qui m’ont procuré une intense joie, car ils reflétaient cette fois les sentiments, l’amour et l’attention que je recherchais. C’était très surprenant !
    Mais en fait, en vous lisant, j’ai l’impression de trouver autre chose dans cette expérience : l’équilibre et l’apaisement que j’ai ressenti en générant une nouvelle supposition positive pour contre balancer la supposition négative ont produit ceci : j’ai cessé d’y penser, car j’avais atteint en quelque sorte une paix intérieure qui m’a défocalisée, comme vous dîtes. Sur le coup, j’ai utilisé la technique pour m’apaiser, ce qui immédiatement à « traité » le problème et m’a permis de passer à autre chose.
    Ainsi je vous rejoins totalement sur cette question de se libérer des attentes, même si elles suscitent beaucoup de paradoxes et de questions en moi (que je vais poser ensuite !). Comme j’étais apaisée par la technique que j’avais employée et même auto persuadée que la personne m’aimait, je n’attendais plus de preuves de cela. Peut on penser que cela a provoqué la chose ?
    Mais alors, c’est là le paradoxe qui me rend folle : il faut se détacher de l’attente de résultat, ok, et ainsi on finit par les obtenir : sachant cela, comment faire pour s’en détacher, puisque l’on sait que s’en détacher à des chances de provoquer la chose ? N’aurait il pas valu mieux l’ignorer ? Je vais forcément penser : ok je ne dois pas penser vouloir que cela arrive car je dois lâcher l’attente pour que cela marche. Oui mais cette formulation porte en elle même le désir de résultat : « pour que ça marche » !
    Est ce qu’au fond, on ne souhaite pas toujours un résultat, rien qu’en essayant de ne pas le désirer ?
    Je sais que je mentalise énormément. De même que Marc, rien que méditer à ne pas être dans le mental suscite dix mille pensées. Même en observant mes pensées, ce que je fais tout le temps depuis assez longtemps (très petite j’ai commencé à me regarder réagir et me regarder penser), je suis en train de penser que je me regarde penser. Je conçois qu’il y a un JE qui n’est pas identifié à mes pensées et mon corps, puisqu’il peut les voir, mais ce JE, j’ai l’impression qu’il pense même quand il vit l’expérience qu’il essaie de ne pas penser. Je conçois que je ne suis pas mes pensées et j’adore quand vous dîtes que la fonction mentale est une fonction comme une autre dans le corps, mais je pense toujours que c’est moi qui créé ces pensées même si je ne pense plus que je suis elles. Je me dis que ce que je crée n’est pas moi, mais c’est quand même JE qui les génère. Suis je sur une mauvaise route ?
    En fait, l’inverse m’angoisse énormément. Je ne l’accepte pas (pas encore ? J’ai besoin, comme vous dîtes, de l’expérimenter pour l’accepter). Si mes pensées se créent d’elles mêmes, mais d’où sortent elles ? Qui les pense ?
    J’aimerais aussi revaloriser le mental. J’accepte tout à fait qu’il ne s’agisse que d’une fonction, un système. J’imagine qu’il est utile ? À quoi sert il selon vous ?
    Je suis tout à fait d’accord avec l’idée qu’il y réside plein de limitations, et que pour ma part, mon mental doit apprendre à ne pas penser « douloureux » et à entrevoir l’infinité de possibles. En gros, je dois l’éduquer, mais je ne le réprime pas. L’idée que je ne sois pas lui m’apaise, et me permet de relativiser toutes mes croyances. Pour autant, je tiens à lui comme à une fonction utile, et je crois que je l’aime aussi. Peut être parce que je ne suis pas dans le niveau de conscience dont vous parlez… Peut être aussi que je n’y suis pas car j’aime le mental.
    Ne peut on pas imaginer que ce niveau de conscience puisse cohabiter avec l’acceptation d’un mental apaisé (dans des temps/plans différents, puisque cela semble exclure dans l’expérience de la conscience pure, puisqu’il s’agit précisément de sortir du mental) ? Ici, et j’ai peut être mal compris, j’ai l’impression dans les discussions que le mental est quelque chose de mauvais et inutile, qu’il faut apprendre à le quitter le plus possible.
    Je crois, en lisant Marc, que Marc pense que sa nature d’arborescent « sur-efficient mental » (terme que je trouve plus adapté que « surdoué ») l’empêche d’accéder à ce niveau de conscience, c’est ce que je décris plus haut moi aussi dans mon expérience de la méditation, mais je pense au fond que c’est possible et que cela ne s’exclut aucunement.
    Dans l’autre expérience dont je parle avec la technique d’annulation (qui finalement n’a rien à voir avec celle que vous décrivez ici, c’est pourquoi j’étais au début un peu perdue), j’ai vécu quelque chose de l’ordre de la défocalisation, et j’arrive parfois à faire taire momentanément mon mental, que j’aime solliciter par ailleurs. Tout peut cohabiter je crois.
    Aujourd’hui après vous avoir lus, j’ai vécu le monde qui m’entoure de manière intensément lumineuse, et j’étais aussi extrêmement plus sensible à tout ce qui s’y passait, j’ai ressenti de la beauté partout. Il ne s’agit pas de l’état de conscience pure dont vous parlez, mais c’est déjà comme un premier plan, peut être que je suis au tout début d’un chemin, pour le moment j’ai modifié ma représentation de la réalité, et mon état intérieur. J’ai compris que j’étais responsable de ma perception de ce qui m’entoure.
    Ce message est long et il buissonne un peu, mais votre livre m’intéresse ainsi que votre impression au sujet de ceci… Merci pour votre article et merci à tous pour vos commentaires.

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      Bonjour et merci pour votre beau partage. Je suis désolé de répondre si tardivement.

      D’abord, non, le mental n’est pas mauvais. Il n’est ni bon ni mauvais. Il est simplement une fonction et agit de manière autonome et automatique.
      Ensuite, vous vous demandez d’où naissent les pensées. Elles sont produites par le cerveau à chaque flux sanguin. Et vous vous posez la question fondamental : QUI observe ces pensées que lui présente le cerveau, au point de s’y identifier et de se prendre pour ces pensées ? Qui est ce JE qui les voit ? Il s’agit de la Conscience, un état d’attention. Mais lorsqu’Elle se prend pour les pensées et la personnalité qui en découle, elle se contorsionne pour entrer dans un moule mental et se perd. Elle devient la conscience avec un « c » minuscule. Dans cet état, on ce sent séparé de tout. On vogue de dualité en dualité avec agitation.

      La manière que vous avez utilisé pour contrebalancer une tendance négative est une technique chère aux yogis. En la pratiquant, vous êtes sortis de la dualité et avez retrouvé la paix et le sentiment de connexion avec toute chose. Ainsi, vous vous ouvrez de nouveau à toutes possibilités.

      C’est beau que vous l’ayez d’abord trouvée toute seule, et ensuite que vous l’ayez mise en pratique. Bravo. Cet état est aussi fin qu’une lame de rasoir. Il est difficile à décrire et s’apparente à l’Eufeeling de Kinslow, mais va plus loin.

      Réponse
  2. Claire

    Bonjour

    Merci pour cet article limpide sur la guérison quantique ! Mais s il vous plaît comment procéder sur une autre personne ?

    Un grand merci pour votre attention.

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      Observez ce que vous attendez du soin et défocalisez ensuite votre attention, par la technique enseignée par exemple.

      Réponse
  3. daniel

    bonsoir,
    merci pour l’approche du QE.
    J’ai lu le pavé qu’est ‘le système quantique de Kinslow’ par l’auteur lui-même.
    Impressionnant, simple, pratique, un véritable manuel.
    Pratiquant la méditation depuis des années, cette approche fait suite à des événements personnels forts vécus et à une demande intérieure jamais mise en application, jusqu’au jour où…le ciel m’est tombé sur la tête !.
    Tous les jours, je pratique. La mise à vide des pensées étant relativement facile, le QE m’aide à fonctionner de manière plus régulière, avec une ‘réponse » à rien plus rapide.
    Et comme décrit dans le livre, j’ai souvent des éclats de rires qui montent, sans que j’en connaisse l’origine, mais pour lesquels je soupçonne qu’ils ont un lien entre une pensée passée récente et ma volonté d’aller vers le détachement. Comme une approbation de la conscience pure sur la voie que je pratiquerais, mais moi-même restant très hésitant quant aux liens.
    En appliquant le QE sur ma femme qui a diverses souffrances physiques, j’ai constaté les effets que cela pouvait avoir sur elle (somnolence marquée, titubage, expansion de son être, dit elle, comme si elle était plus grande, bien plus grande que son corps, etc….)
    Bref, une technologie de l’humain pour se relier au grand Tout qui semble porter ses fruits.
    J’avoue qu’en ayant beaucoup perdu dans ma vie suite à des circonstances matérielles et sociales extrêmement difficiles, l’approche m’a permis de prendre conscience de mon lien a ce qui m’est cher, la nature et l’humanité.
    La transformation est réelle, et elle roule à son rythme.
    Il y a une sensibilité qui se développe en moi, j’écrirais presque comme un écrivain pourrait se le permettre : cette pratique (et les autres) me fait REELLEMENT prendre conscience de ma relation au monde, à tout ce qui est, propageant en moi une paix indicible, même si j’ai encore des séquelles de peurs, des réminiscences d’angoisses venant du passé, mais il y a comme un coup de balai à cela, que le QE m’aide à réaliser.
    Le temps fera plus encore, bien que j’ai tout mon temps à ne pas y penser.
    Alors, allez-y, pratiquez cette chose si simple et si profonde, car c’est un souffle de bon vent dans nos vies secouées !

    Réponse
  4. Damien

    Bonjour,
    Je viens de recevoir une invitation à aller faire un séminaire à Lyon avec ce monsieur. En faisant quelques recherches, je suis arrivé sur votre site. Je suis en train d’expérimenter depuis quelques temps qu’est que ça fait de suivre la vie pas mes sens, plutôt que de vouloir la régenter en écoutant mes attentes ou idéaux. Sur le plan des émotions, j’ai l’impression que je ne peux plus me mettre en colère, alors que je suis encore parfois la cible de belles colères de la part de personnes de mon entourage.

    J’ai d’importantes douleurs et blocages qui se dénouent, puis reviennent et repartent. J’ai l’impression que je sors de mon monde faits d’opinions et d’attentes pour regarder le monde tel qu’il est en me laissant simplement guider par mes sens pour suivre la direction indiquée par la vie. Ce qui change la relation intime avec mon épouse.

    En même temps, je ne me reconnais plus sur d’autres aspects de ma personnalités. L’inquiétude et le manque de confiance en mes capacités ont surgi. Probablement tout un pan de ma vie que j’ai laissé être façonnée par mon mental. Cette partie, difficile à observer, car il y a comme un coup d’arrêt à la façon de construire ma vie pro., et un lâcher prise total à réaliser…. et je m’accroche… comme si ma vie en dépendait !!

    Merci,… ça bouge, et ce livre arrive à ma conscience.

    Réponse
    • Salvia

      Bonjour,
      Inquiétude? Manque de confiance?… Avez-vous entendu parler de Jean-Pierre Garnier Malet et ses découvertes sur le dédoublement? Son site pourrait vous intéresser. Bonne découverte !
      Pour ma part, cela m’a permis d’aller bien au-delà de la guérison quantique. Mais à chacun sa voie.
      http://www.dedoublement.com/fr/articles.php?lng=fr&pg=64

      Réponse
      • Damien

        Merci Salvia, …. je repasse dans le coin 😉 je vais aller voir, …Bon week-end

        Réponse
  5. GT

    bonsoir,

    Je viens de finir le livre. Magnifique. Je cherche un travail depuis 2 ans, puis je utiliser cette méthode pour avoir enfin un travail ou meme un entretien?

    Merci de vos réponses
    GT

    Réponse
  6. Séb

    Bonjour,

    il y a toute une foule de commentaires très intéressants ici, j’ai acheté le livre suite à la lecture de votre article. J’avoue que pour l’instant je ne parviens pas à appliquer les techniques expliquées par l’auteur pour ressentir les eufeelings, pourtant j’y crois. Je dois être trop fermement ancré dans le mental.
    Je vais continuer la lecture du livre tout en persévérant dans les exercices. Si je comprends bien, en ayant parcouru en diagonale les commentaires, et à ma lecture encore non achevée du livre, le lâcher prise semble être la technique qui est à la base de tout n’est ce pas ? Pour se libérer de sa colère, de ses angoisses, … le lâcher prise suffit donc ? Et pour les maux physiques, accompagné le lâcher prise de l’intention ?

    Réponse
    • Salvia

      Bonjour Séb,

      oui, le lâcher prise dont on nous rabat les oreilles dans tant de lectures, est vraiment quelque chose d’important. Ce sont des couches superposées, faites de peur, d’angoisse, de douleurs, qui se révèlent à notre conscience.
      On pense avoir lâché, seulement comme on pense, c’est encore le mental qui s’y colle, et donc cela ne fonctionne pas comme espéré! Heureusement qu’on a des moments où tout semble enfin acquis et cela donne joie et confiance. Puis dans une autre situation le mental tricote de plus bel…
      Le lâcher prise me paraît marcher aussi bien pour les angoisses (colères… je ne connais pas 🙂 ) que pour les problèmes physiques. Pour ma part, pour arriver à lâcher prise, je « donne », à qui vous voulez, ange gardien, guide supérieur, ou qui sais-je. En fait je ne m’en occupe plus et passe à autre chose. Et le problème finit par s’évanouir.
      J’aime bien utiliser cette notion: « où va la pensée, va notre énergie ». Je crois que c’est cela qui est essentiel de comprendre et d’accepter.

      Réponse
    • Wladislas BARATH

      Oui, mais il s’agit plutôt d’un état d’abandon. Une attention libérée de toute intention particulière. C’est difficile d’autant que l’on attend un résultat et qu’on est habitué à agir, à faire ou à être dans l’action.

      Abandonnez ce désir de résultat et vous y arriverez.

      Maintenant, personnellement, oubliez l’eufeeling. En lui donnant un nom, Monsieur Kinslow a crée avec lui le besoin ou le désir de trouver cet état. Or, il faut justement cesser cette recherche.

      Réponse
      • Salvia

        Oui, « état d’abandon », c’est exactement ça. « Aban-donner »… c’est proche de « donner à »…

        Réponse
        • Wladislas BARATH

          Etymologiquement, abandonner a deux sens : soit donner sous la contrainte (ou sous peine de sanctions), soit donner au maître. Cette dernière suggestion peut se comprendre de deux manières : on peut donner – comme vous le dites – à quelqu’un et donc s’en débarrasser ou s’en détacher, ou bien on peut rendre à son expéditeur (c’est là sans doute le sens de la phrase « rendre à César ce qui lui appartient »). Il s’agit ici de rendre au mental (dont le désir est issu), de laisser de côté l’intention, de s’en détacher pour reprendre sa position royale de Conscience observatrice, témoin des jeux du mental.

          Cela semble difficile pour la raison que nous nous identifions au mental. Nous croyons être la pensée et sommes persuadés que c’est nous même qui pensons, alors que la pensée à lieu que nous le voulions ou non. Nous ne sommes pas l’auteur de ces pensées.

          Placez-vous en tant qu’Observateur (mais ce mot est malpropre car il se limite à la vue, alors qu’il s’agit de le faire avec tous ses sens). Devenez le témoin neutre. Observez juste sans faire participer le mental : ne jugez pas, n’évaluez pas, ne cherchez pas à donner un sens, et surtout, ne cherchez pas non plus à maitriser.

          C’est exactement ce qu’enseigne la Bhagavat Ghita : « Sois dans l’Action, mais ne cherche pas les fruits de cette Action ».

        • Salvia

          Merci Wladislas !

          Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point votre explication concernant l’Observateur fait sens pour moi. Je viens de vivre un choc psychique, et il me semble que j’ai déjà fait un grand bout de chemin sur le lâcher prise. Mais là, vous le dites de façon bien claire et simple, et cela m’aide énormément. Vos paroles m’accompagneront.

          Si je m’attendais à cela en envoyant ma première réponse 🙂 ! Comme quoi, la synchronicité fonctionne merveilleusement…

          Un très grand et cordial merci d’avoir pris le temps de rajouter votre commentaire.

        • Salvia

          Par « choc psychique » je voulais dire » choc émotionnel », c’est plus juste.

  7. richard

    merci pour cette réponse

    j’achèterai sûrement ce livre

    sinon, moi, j’ai écris un livre et il est gratuit
    de plus, par la prière je guéri les problèmes d’yeux et de brûlure et je fais cà par plaisir et gratuitement

    malheureusement, il y a trop de personne qui écrivent n’importe quoi et profitent des autres

    en fait, la technique de Kinslow ressemble à la « visualisation »; il suffit de penser très fort, puis de ne plus y penser; et le miracle se produit quelques temps après, sans même y penser

    Merci et bonne continuation sur votre beau site enrichissant

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      Inutile, vous avez tout dans l’article.

      En revanche, testez, vous serez surpris.

      La méthode de Kinslow n’est pas du tout une méthode de visualisation, mais une approche qui utilise l’attention détachée.
      Vous le faites très bien quand vous dites qu’il faut ne plus y penser.

      En fait, Kinslow a découvert qu’en allant encore plus loin dans la défocalisation (et même sans attente !), il se passait bien des choses extraordinaires. Donc ce n’est pas tant le désir ou la visualisation qui agissent, mais cet état qu’il appelle Eufeeling.

      Réponse
  8. Richard

    dans la troisième partie « La technique et sa mise en application » il est question de ne rien attendre

    c’est à l’encontre de la technique du livre « visualisation positive » parmi tant d’autres qui disent au contraire de visualiser très précisément quelque chose pour que cela se produise
    Eh oui, les pensées sont des choses.
    Penser à quelques choses très fortement, consciemment, avec attachement ça se produit.
    Je l’ai souvent expérimenté (j’ai fais aussi des hypnotismes à distance de personnes sans même leur dire et elles étaient sous mon influence …)

    Il n’y a pas une méthode mieux qu’une autre. il faut croire à ce que l’on fait, ce que l’on veut un certain temps et puis attendre que cela se produise, souvent alors qu’on y pensait plus;
    c’est souvent inattendu; mais ça marche

    Alors, la guérison quantique est une autre méthode;
    moi j’aime bien visualiser et rêver à quelque chose avec plaisir

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      C’est normal, il ne s’agit pas des mêmes techniques.

      Les approches quantiques apportent une donnée intéressante à la compréhension de la conscience, et sont une avancée par rapport aux techniques de visualisations classiques (dont la plus percutantes est sans doute le Mind Control).

      Depuis très longtemps, on a remarqué en effet que nos représentations mentales avaient une influence sur notre corps. Mais ici, on découvre que l’état de non-agir fait autant, voir mieux. Kinslow donne son approche. Vous achetez n’importe lequel de ses livres et tout y est expliqué. Il ne faut pas plus. Certains personnes qui sont allées aux séminaires le confirment : ça ne leur a rien apporté de plus. C’est inutile pour les uns, et utile pour d’autres.

      Richard Bartlett, dans Matrix Energetics, pratique de manière similaire mais, en plus, joue avec des représentations mentales. Là, ça devient encore plus intéressant. Mais dans tous les cas, la défocalisation est un élément clé.

      Enfin, testez votre approche sur les femmes infertiles qui viennent en consultation chez vous, vous verrez que l’absence d’attente est la clé qui permet de libérer le verrou. Vous comprendrez que la focalisation est délétère et participe à l’effet tunnel présent chez les malades et qui est le principale frein à la guérison.

      Enfin, vous semblez offusqué que ces personnes demandent rémunération pour leurs connaissances. Mais, je ne crois pas que 19 euros soit une grande dépense pour acquérir la technique.

      Réponse
  9. Richard

    une méthode qui marche et qui est désintéressée, c’est gratuit ou presque!!!

    quand on voit le marketing derrière, le prix des cd et séminaires, c’est commercial

    si vous voulez des miracles, faites la méthode de Bruno Groning, c’est tout

    bisous à tous les ignorants de ce monde

    Réponse
      • richard

        Je fais partie des ignorants du monde, moi aussi
        il ne faut pas mal le prendre
        si un rien vous interpelle, c’est que vous avez des problèmes à résoudre
        désolé

        bisous

        Réponse
        • Wladislas BARATH

          Je ne pense pas à moi, mais aux gens que vous traitez d’ignorants.

  10. Philippe Le Goff

    Exactement: Totalement impossible avec le mental mais pouvant etre intuitivement ressenti dans un plan de conscience elargi puis restitué intellectuellement par la suite dans le plan de la conscience mentale actuelle.

    L’evolution nous a doté d’un cerveau reptilien, sur lequel s’ est construit un cerveau limbique puis un neocortex. Peut-etre que l’avenir nous pourvoira d’un 4eme cerveau qui incluera nos intuitions actuelles pour nous creer de nouvelles verites?

    On peut imaginer que l’homme primaire qui basait sa verite sur les 3 elements reptiliens que sont le territoire, la nourriture et le sexe, ait eu une intuition emotionnellelle de depart , construisant petit a petit un monde, son monde de vérité « emotionnel » grâce à son cerveau limbique en construction au fil de son evolution!

    Réponse
  11. Philippe Le Goff

    Bien sur. Ceci depasse la guerison quantique en tant que resultats avérés. Mais derriere ceux-ci se cache une explication! .

    L’incursion des sciences physiques est ici mentionnée, pour préciser qu’un plan de conscience conditionné à la fonction intellectuelle ne permet pas de devoiler le mystere de la creation ; et par la même de devoiler le mystère de la guerison quantique.

    Dans le cadre du mystere de la creation, la physique se heurte à la taille de la matière dont la plus petite mesure ne peut etre inferieure a 10 puissance moins 35 cm (100 000 000 de milliardieme de milliardième de milliardieme de cm). Or le mystere de la creation se situe dans un monde absolu donc hors matiere temps espace.

    Alors qu’est ce qu’on fait ? Peut etre se permettre de rechercher le mystere de la creation dans un ressenti au-dela de l’intellect, par intuition, au-delà du cerveau en tant que fonction, pour se permettre ulterieurement de restituer l’intuition et essayer de la comprendre, de l’ expliquer et peut etre decouvrir ses secrets, dans le plan de la conscience de l’intellect humain ; et ainsi se permettre d’ajouter un nouveau paramètre qu’est la conscience (conditionnee sur le plan humain, absolue dans la non-pensee et dans le monde au-dela de la matiere, de l’espace et du temps.); amalgamant ainsi toutes les sciences pour en faire LA science du Tout…

    On pourrait tout simplement se perttre de trouver des premices d’explications a la guerison quantique?

    L’explication de base de la relation entre physique d’Einstein et quantique ou de la relation entre la medecine traditionnelle et la guerison quantique est la meme. Dans la physique relativiste ou la medecine , A implique B (relation de cause a effet).Dans la physique ou la guerison quantiques, toutes possibilites de A est à meme d’eventuellement donner B). A nous d’essayer de faire les jonctions!

    On pourrait aussi tout bonnement se rendre compte qu’il est impossible a l’homme de decouvrir ce mystere…
    Mais devant l’inconnu, il est toujours intéressant de chercher …

    Merci pour votre site

    Réponse
  12. Philippe Le Goff

    Petit ressenti d’intuition ! Notre plan de conscience humain fonctionne à partir de notre cerveau en tant que FONCTION cérébrale, c’est à dire au niveau de nos neurones, connections neuronales, neuromediateurs… Ainsi nous creons notre espace, notre ego, nos raisonnements et le temps qui va avec… Ce n’est que le resultat de la fonction d’un « logiciel » que l’évolution nous a defini.

    Lorsque nous agissons en guerison quantique, nous ne sommes plus dans la fonction cerebrale; mais au niveau des PARTICULES QUI CONSTITUENT NOS FONCTIONS, au niveau de la conscience de creation qui existe a la source, en-deca de notre corps-matiere, corps-energie… On acce de alors à la prise de conscience de la conscience pure. On n’est plus dans l’attente que A implique B, regle de la fonction cerebrale humaine, mais dans l’attention qu’une possibilité peut emerger à partir d’un champ de conscience illimité, de tous les possibles.

    Apparte: (Cela suit les postulats decouverts au niveau mecanique quantique, qui est le stade ulterieur de l’essence de la conscience pure. Le challenge de la physique est d’ailleurs de concilier les regles newtoniennes et einsteiniennes avec la physique quantique…Le mur de Planck n’est-il pas la barriere de la fin de la physique?…Est-il necessaire de positionner une cinquième dimension (la conscience pure) pour comprendre dans un plan de conscience absolu ce que le plan de conscience humaine conditionnée a son intellect, ne peut resoudre? ) .

    En « spiritualite » (rien a voir avec les religions),on sent qu’il y a un glissement de plan de conscience , correspondant au passage du monde de la fonction intellectuelle vers le monde de la non pensée.

    On devient alors créateur à la source de tout ce qui existe, car on occulte tous les conditionnents humains , jusqu’au temps, espace, matière, qui ne sont que des illusions que nous inventons a partir de notre cerveau en tant que fonction conditionnée …

    En fait nous sommes conscience pure mais la majorite de nous ne le sait pas (ou plus) car cette conscience pure ne peut se manifester que dans une version limitee par des conditionnements que nous n’arretons pas de nous creer et que nous ne cessons pas de mettre en barrière.

    Qu’en pensez-vous?

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      Oui, c’est exactement ça.

      Mais ce n’est pas important de l’associer aux sciences physiques. On peut faire simple sans parler de Quantique, Planck, etc.

      L’idée, c’est que chacun puisse en faire l’expérience directe.

      Merci de votre résumé 😉

      Réponse
  13. Jean-François

    Bonjour,

    je découvre les commentaires.
    Je peux témoigner de quelques expériences personnelles :

    – remettre en place deux vertèbres lombaires en visualisant la lumière.
    Je cherchais juste à me relaxer, me détendre.
    Je m’étais déplacé 2 lombaires en tentant de soulever un poids vraiment trop lourd (radio + arrêt de 8 jours) j’avais vraiment mal. Je me suis allongé.
    Au début je ne savais pas trop ce que je faisais (enfin quand même un peu) et puis tout à coup, les yeux fermés, une sphère de lumière dorée de env. 20 cm est apparue au pied du lit. Elle venue jusque au dessus de mon bassin, et elle est descendue « dans » mon ventre. J’ai gardé les yeux fermés. La sphère a doucement explosé en une onde de chaleur et de cette lumière dorée magnifique qui ont littéralement envahis tout le bassin et un peu au-delà.
    J’étais ravi (au sens premier). Je baignais dans une quiétude absolue. Je suis resté ainsi quelques minutes. Au bout d’un moment j’ai commencé à prendre conscience que je n’avais plus mal. Je me suis levé doucement, j’ai marché un peu, et puis j’ai osé faire des petites rotations, à dte, à gauche. Tout allait très bien
    Voilà. Guéris. Tout cela a duré quelques 15 mn.
    Magnifique, n’est ce pas ?

    – recevoir la place de parking, oui, très souvent (mais pas toujours)

    – trouver un job comme je l’avais défini, lieu, salaire, poste, parmi plus de cent candidats

    – rencontrer ma compagne, avec qui je vis depuis bientôt 30 ans

    – soigner des gens (et un chat), au toucher, parfois sans contact mais en présence, parfois à distance, au téléphone, mais c’est plus aléatoire, sauf le chat.
    Pour ce travail, je n’émets pas de demande explicite, je me pose un instant, je laisse tout, et un contact s’établit, avec la personne, son énergie, ou autre chose. Comme des couleurs, des formes, une sensation, un poids, une légèreté. Ou autre chose. Je ne sais jamais avant. Une certitude paisible travaille

    – découvrir et entrer dans un volume tout blanc, fait de « matière cotonneuse », mat, opaque, doux, dans lequel j’ai trouvé un calme et une paix inimaginable, ou toute émotion était neutralisée. Ma colère contre mon fils, comme absorbée, épongée par cette « matière-énergie ».
    Qu’ais-je fais? En me couchant je me suis dit que dans l’état ou j’étais je n’allais pas pouvoir dormir. J’ai pensé à lâcher ma colère, rien de plus, sans savoir comment. Je n’ai rien cherché. Cette forme quasi cubique est apparue, et je me suis retrouvé dedans. Durée de 5 à 10 mn, subjectivement.

    A côté de ça, comme tout un chacun, j’ai quelques problèmes de santé et relationnels importants que j’ai du mal à gérer. J’y travaille.

    Wladislas, je lis : « que faut-il lâcher véritablement »
    Personnellement, mais pas toujours, pour soigner, ce que j’éprouve souvent peut se résumer à « Je suis prêt à servir » et je condense en ressentant « service ». Quelque chose lâche, s’ouvre en moi. Et rien d’autre n’est présent.

    Bon je vais explorer ce forum et ces liens.

    Réponse
    • Salvia

      Merci Jean-François pour votre très beau témoignage. C’est une belle confirmation de ce qu’est la guérison quantique. Et je peux confirmer: ça marche!
      Ce que vous dites concernant la colère m’a interpelé, car vous m’avez permis de constater à quel point il m’arrive d’en vouloir à certaines personnes, surtout lorsqu’elles ont bâclé un travail que je leur avais confié et pour lequel elles se disaient spécialistes. La majorité des gens trouvent normal que cela m’énerve et à la limite, elles encouragent mon énervement, comme si cela était une sorte de « savoir vivre ». Mais votre témoignage sur le cube me montre qu’en fait nous aimons nos colères, nos rancoeurs. Les amis nous plaignent, ça nous fait du bien, et on continue la vieille chanson qui n’amène aucun changement, aucune guérison.
      Ce matin, en nettoyant un sol plein de traces de ciment, je me suis rendue compte à quel point la personne responsable de ce sol sali m’irritait, et j’ai dit stop. Depuis, et durant tout le nettoyage, à chaque fois que j’en prenais conscience, c’était comme une vague qui perdait en puissance. Nettoyer le sol m’a permis de me nettoyer également 🙂
      Je crois que la guérison quantique peut s’opérer à tous les niveaux, corps et âme…

      Réponse
    • Wladislas BARATH

      Bonjour et merci pour votre commentaire 🙂

      Je tiens juste à préciser une chose : je pense que vous utiliser le terme de « déplacement de lombaires » à titre personnel pour parler de « tour de rein » ou « lumbago », terme imprécis pour parler de douleurs lombaires sans définir précisément la cause. Il est important de le souligner car s’il y a compression articulaire, la manière de réagir du corps n’est pas la même et le résultat survient en général plus tard, loin de la technique et surtout, loin de notre préoccupation sur la chose. En ce sens, il ne faut pas se désespérer si la technique n’est pas instantanée, et surtout, il ne faut pas saboter le travail qui a été fait, en se décourageant alors que ça fonctionne, mais que notre attention est encore trop focalisée sur le problème.

      De plus, certaines origines plus complexes peuvent entraîner un effet rebond, qui, mal interprété, fera rebrousser pas mal d’expérimentateurs.

      D’où l’idée de ne pas perdre courage, surtout si la technique ne fonctionne pas comme on le souhaiterait. Et surtout, ne pas s’attendre toujours à un miracle fulgurant ! Les miracles tranquilles sont pléthores, mais on ne s’en rend même pas compte, pire, on les refuse parce qu’ils n’entrent pas dans le cadre de notre vision de la guérison.

      Ensuite, je répondrais juste à la notion de détachement. Cela n’est pas directement pour vous, mais je rebondis sur ce que vous apportez pour donner quelques indications au lecteur.

      Le détachement consiste à abandonner la création mentale que l’on a créé. Idées, pensées, émotions, sont autant de créations mentales créées par le passé et que nous entretenons encore, souvent involontairement, par méconnaissance du fonctionnement de notre esprit. La cause principale est que nous croyons être ce que nous pensons et ressentons. Or c’est juste une présentation de notre cerveau à la conscience et nous avons l’illusion que c’est vrai. La seconde cause est que nous croyons que ces objets mentaux sont la base de notre identité. Ce qui est également faux. Ils forment notre personnalité, et ce n’est qu’une comédie, un jeu de rôle, un disque dur. C’est cela dont il faut se détacher et être prêt à lâcher.

      Côté pratique, lorsque vous désirez une chose, abandonnez ce désir l’instant d’après. Idem pour la guérison, tant que vous la chercherez, cela suppose l’existence de la maladie. L’une ne peut pas être sans l’autre. Il est donc judicieux d’abandonner même le désir de vouloir guérir pour sortir de ce jeu qui le maintient. Bienvenu dans le monde du paradoxe 😉 Et ces méthodes quantiques (je n’aime pas ce mot car il fait croire qu’on a trouver une chose alors qu’elle a toujours été transmise mais pas sous ce terme) réalise ce détachement.

      Réponse
  14. Eric

    Merci Wadislas d’avoir pris le temps de me répondre. Oui en effet j’avais remarqué cela au niveau des textes mystiques et spirituels anciens. Je serai heureux de découvrir votre formation.

    Réponse
  15. Laurent Bouchez

    Bjr,
    Je viens de lire le livre et je retrouve quelques points communs avec la pratique du Katsugen Undo de Maître Tsuda que je pratique depuis 10 ans.
    C’est différent mais on retrouve le « Lacher prise, ne rien faire, ne rien attendre, etc. »
    (Cette pratique sert surtout à régénerer le corps)
    Si vous ne connaissez pas plusieurs sites sont sur le web!
    Quand pensez-vous?

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      Bjr,

      J’ai fait des recherches sur le Katsugen. L’idée doit être juste, mais ce que j’ai vu sur la toile reste profondément mental.
      Il manque selon moi une application plus concrète au « lâcher-prise ». Que faut-il lâcher véritablement ? Sans quoi, ce terme n’a de sens.

      Réponse
  16. Eric

    Bonjour Wadislas,

    j’ai lu tous les commentaires et c’est passionnant !
    je ne sais ou vous en êtes à cette date pour votre livre mais je suis preneur de lire quelques chapitres si vous souhaitez savoir comment il est reçu
    de toute façon je l’achèterai
    j’ai hâte de vous lire car vous expérimentez, synthétiser plusieurs approches et simplifier ! c’est fort précieux surtout à l’heure ou l’on pense que compliquer a plus de valeur 😉

    je suis aussi curieux si vous pouvez valider ou compléter ou réagir cette petite simplification personnelle, j’espère utile :

    le mental (association pensées émotion) est dans le cerveau en lien avec le ventre (système entérique connecté au cerveau via le nerfs vague et responsable de la production d’hormones, neurotransmetteurs comme le cortisol etc..
    souvent pour quitter la souffrance, on doit « nettoyer » ce système, recadrer, changer des croyances, apprendre à générer des émotions et des pensées + : on peut le faire en entrant par le mental ou par le ventre (approche physiologique) ou les deux ce qui est mieux
    mais cela ne suffit pas pour notre complétude
    ne pas souffrir n’est pas le bonheur
    il y a cet autre circuit : conscience pure et coeur, tous deux aussi reliés
    et là une autre partie de la thérapie consiste à apprendre aux êtres à se connecter à leur coeur, à être dans leur conscience pure, bref sentir l’eufeeling, et se laisser aller, guider, accepter et jouir de la vie
    c’est très simple dans le processus 🙂
    les deux circuits sont complémentaires, le premier fonctionne utilement quand on est en survie pour s’adapter, les émotions sont des signaux d’alarmes etc
    le 2° (conscience pure et coeur) sont là l’accès à notre nature profonde et nous permettent de savourer la vie
    apprendre à décoder ses émotions est tout aussi important que passer dans « l’autre circuit », et d’apprendre à écouter son coeur, être..
    bref résumé j’espère pas trop confus de comment je voie les choses à ce stade 🙂 comment y réagissez-vous Wladislas (si vous avez le temps 😉
    Merci

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      Bonjour,

      Je n’ai pas répondu plus tôt parce que votre requête mérite une attention particulière.

      Vous avez raison, les idées que vous exposez sont confuses. En fait, vous analysez de l’intérieur ce qui devrait être de l’extérieur.

      Personnellement, pensées positives et pensées négatives sont toutes deux équivalentes et restent l’une comme l’autre aliénantes. C’est un concept très à la mode, et particulièrement en psychologie, que de vouloir cultiver absolument des pensées positives plutôt que négatives. Mais dans un cas comme dans l’autre, c’est rester dans le mental.

      L’eufeeling (terme moderne pour parler de vacuité, chère à la culture hindoue) est justement cet état en dehors du mental. État dans lequel l’Être découvre qu’il n’est ni le corps, et encore moins le mental, mais une Conscience, et qu’Elle modifie la réalité dès lors qu’Elle y pose son attention.

      Pour le reste, vous percevez intuitivement et à juste raison qu’il n’existe pas une, mais deux voies de transformation profonde. La première consiste à purifier le mental par cela même qui l’a crée : le corps. Cette voie est appelée la voie de l’Eau et permet de libérer et de récupérer les bouts de Conscience fragmentées et éparpillées dans les objets mentaux qu’elle a créés et hérités en s’identifiant au corps physique.

      L’autre voie, celle du Feu, suppose une Conscience éveillée et déjà bien rassemblée. Son simple regard modifie la réalité. Observer dans cet état un objet mental le pulvérise et modifie instantanément le mental et son expression dans le corps physique.

      J’avais écrit tout un chapitre dessus, que j’avais placé avant la conclusion de mon article sur le Karma et les vies antérieures, mais je n’avais pas osé le publier.

      Kinslow est à cheval entre les deux. D’autres thérapies actuellement en vogue développent plus la voie de l’Eau : TIPI, NERTI, TRE, EFT, etc. Mais il manque le lien entre tout ça. Et je dois avouer qu’il est possible de faire bien plus. Les outils sont très larges.

      Je prépare une formation pour les gens intéressés, dans laquelle j’aborde la physiologie humaine dans toute son intégralité (ceci veut dire que j’aborde aussi la partie subtile de l’être humain, et ceci n’a rien à voir avec les chakras ou les méridiens !). Il s’agit d’aider les gens à sortir du mental pour retrouver leur vraie puissance créatrice. Les possibilités sont infinies. Mon approche est peu conventionnelle. Par exemple, pour moi, les émotions n’existent pas, nous ne sommes pas le cerveau, les mémoires ne se trouvent pas dans le corps, le cerveau n’est pas l’organe royal (il est une extension des cinq sens), etc. Mais surtout tout ce que j’expose donne un sens très pertinent à l’ensemble des textes sacrés. Avez-vous déjà remarqué que tous les mystiques, bien que d’époques et de cultures totalement différentes, rapportent strictement la même chose. Il y a une raison à cela : c’est qu’ils décrivent la Réalité telle qu’Elle est, directement, sans le biais du mental. Et je confirme que cela est possible.

      Réponse
      • bDom

        à propos des « mystiques rapportant strictement la même chose »…
        https://youtu.be/95QUR4oRATk?t=1h8m4s
        un film extraordinaire qui fait le tour de la toile
        qui devrait plaire et détendre 😉

        Suite à votre commentaire, je vais re-lire le livre.
        Je n’ai sans doute pas bien compris.

        Bien cordialement

        bDom

        Réponse
  17. Mary Colibri Vinois

    Kinésiologue de formation, coach pour surdoués (Jeanne Siaud Facchin et surtout Marie- Françoise Neveu) j’ai d’abord été une fanatique d’Andrew Kemp un kinésiologue anglais inventeur de Quantum K au combien guérissant puisque je l’ai testé moi-même lors d’une chute à cheval au Maroc où je n’avais que mon Ipod avec son CD…Je me suis formée dernièrement au Quantum Touch de Richard Gordon et vécu la Reconnexion d’Eric Pearl lors d’un de mes retours en Europe et je certifie que cela fait des miracles ici au Togo, Afrique de l’ouest où je vis actuellement, Chaque jour je reçois des personnes souffrant de divers maux peu communs en Europe et ils ressortent de chez moi libérés! Je pars d’ailleurs la semaine prochaine l’enseigner au Cameroun à des infirmières et des médecins avec ma formatrice Myriam Burg, hollandaise vivant en France!
    Je pratique aussi l’EFT au son du tambour chamanique ce qui fait aussi des merveilles mais depuis plusieurs années je suis connectée à la lumière cosmique…

    Réponse

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