Vous souhaitez arrêter votre consommation de sucre, vous aimeriez vous libérer de cette dépendance, mais vous n’y arrivez pas. Peut-être ne trouvez-vous pas la motivation. Peut-être ne savez-vous pas par quoi commencer. J’aimerai que vous me fassiez part de vos difficultés, de vos doutes, de vos interrogations.
Je crée cette page pour que vous puissiez me poser toutes vos questions.
Je suis en train d’écrire un livre pour répondre à tout ce qui peut vous freiner dans cette démarche. Un livre, dans lequel je donne mes techniques et mes astuces que j’ai utilisés pour moi et que j’utilise pour mes patients.
Je veux un ouvrage concis, un mode d’emploi pertinent et utile. J’ai donc besoin que vous partagiez avec moi vos soucis.
Qu’est-ce qui vous bloque ?
Qu’est-ce qui vous manque ? De quoi auriez-vous le plus besoin pour y arriver ?
Posez vos questions en commentaire. Je les analyserai une à une. Elles m’aideront à donner des réponses adaptées et pertinentes.
À vous de jouer !
J’exerce en tant qu’ostéopathe D.O. depuis 20 ans et je suis une vraie locomotive dans le domaine du soin. J’estime que pour agir, il faut avant tout comprendre. Je trouve le corps humain parfait. Mais si c’est le cas, alors pourquoi la maladie ? C’est cette question qui m’a poussé à explorer le domaine de la guérison.
Bonjour, je suis à mon troisième essais de sevrage aux sucres même si j’ai nettement diminué.
Mon soucis majeur c’est que j’élève seule mes deux garçons et je suis vraiment sur les nerfs en période de sevrage. Je ne me reconnais plus. Je suis limite méchante en parole et pourrais devenir violente. De plus, je n’ai plus aucune énergie et la déprime pointe alors son nez.
Je ne digère pas du tout les flocons d’avoine. J’ai essayé les dattes mais le pic de sucre est trop élevé je pense donc je me contente de banane.
Ce qui est fou c’est le changement de comportement.
Que pourriez vous me conseiller? merci beaucoup
Chaque fois que vous désirez du sucre, résistez un peu. 10 minutes. Cela va progressivement calmer vos pics insuliniques et donc aténuer les baisses importantes de glucose dans le sang. C’est un processus lent, mais certain.
Bonjour,
Je suis tombée dans ce blog (j’en avais visités d’autre du Dr. Barat)….et je me demande…pourquoi arrêter le sucre…..quels sont les effets secondaires (j’ai beaucoup de problèmes articulaires) ou bien c’est un phénomène de mode (le sucre c’est quand même bon….). Merci de votre réponse….
Oui, le sucre est bon. Son excès moins.
Il faut se poser la question à l’envers : vous viendrait-il a l’idée de mettre du sucre dans le réservoir de votre voiture ? Non,car le moteur s’encrasserait très vite. Alors, même si le glucose est la source principale d’énergie des cellules (pour la combustion), son excès est délétaire et devient vite un stress pour l’organisme, qui lentement s’intoxique de déchets et s’épuise.
Je vous remercie de vos conseils, je vais aller voir ce qui concerne le supplément en iode, je n’avais absolument jamais entendu parler de cela.
C’est très réconfortant quand je lis de votre part qu’il ne faut pas de sevrage strict mais sortir tranquillement de la dépendance, c’est ce que je fais car de toutes façons mon sevrage strict s’est soldé par un échec.
En tout cas, s’il existait une molécule qui permettait de ne plus avoir envie de goût sucré, je l’adopterais !
Un dernier point important, la culpabilité qui me ronge d’avoir « entraîné » mon fils dans mon sillon, je mangeais bcp de sucre en étant enceinte, et il est comme moi aujourd’hui, accroc au chocolat. Je le réfrène, mais c’est vrai que je ne lui ai pas donné les habitudes alimentaires qu’il aurait dû avoir. Hormis cela je cuisine quotidiennement, donc il a des repas équilibrés, mais le dessert sucré revient tous les jours.
Merci, dans l’attente de la sortie de votre livre.
Bonjour,
je ne sais pas s’il est troptard pour témoigner.
Je pense bien être un cas d’école. J’ai trouvé votre site car, à 40 ans, j’ai tapé déspérée, « sans sucre, je n’arrête pas de craquer ».
Ma folie du sucre (ou plutôt, du chocolat, au lait principalement, et à tous les gâteaux qui en contiennent) a débuté dès l’enfance, lorsque, chez ma grand mère, je me relevais la nuit pour en voler dans l’armoire. Je devais avoir 8 ans. Régulièrement, toujorus chez ma grand mère, cela se finissait en crise de foie, si bien que j’ai enchainé les crises de foie à un si jeune âge. Plus tard celles ci se sont calmées, sans que je modère ma consommation, je pense que mon corps s’eétait définitivement fait au poison, et il le réclamerait tout au long de ma vie.
Je pense, et cela paraît clair aujourd’hui, que cette adiction si jeune a sans doute été déclenchée par le sentiment d’abandon que j’ai eu toute mon enfance, puisque mes parents me collaient chez mes grand parents dès que le weekend et les vacances arrivaient. J’y étais bien, mais j’avais besoni de mes parents, sans le savoir, et sans pouvoir mettre des mots sur ce qui me manquait et provoquait chez moi des angoisses.
A la suite de ça, le chocolat a toujours été mon meilleur ami, j’étais capable de le voler, d’aller l’acheter tard le soir, et surout, je l’ai toujours mieux dégusté une fois cachée des regards. La honte a toujours accompagné mes fringales de chocolat.
Il ya deux ans de cela, moi qui ai toujours paru jeune et fraîche, j’ai observé un sérieux relâchement cutané qui a mis à mal mon moral, déjà plutôt fragile. Je me suis renseignée pour trouver des moyens naturels de remédier à cela, n’ayant pas les moyens d’un lifting ou autres injections. J’ai pris bcp de plantes, fait pas mal d’exercice, et un jour, je suis tombée sur cette émission à propos du sucre.
Les bénéfices de l’arrêt de celui ci m’ont évidemment interpellée, puisque la peau sortait vainqueuse à priori de cette guerre, et aussi d’autres bénéfices ont été évoqués qui m’ont fait immédiatement tilter : l’arrêt des douleurs, de l’humeur morose, etc.. j’ai découvert alors que j’avais absolument tous les maux de la consommation excessive de sucre.
J’ai donc décidé de prendre le taureau par les cornes, je me suis bcp renseignée, j’ai choisi un régime sans sucre strict, j’ai prévenu mes collègues (qui ont bcp rigolé), ma famille, comme pour l’arrêt du tabac j’étais remontée et je voulais que tout le monde sache ma victoire prochaine. J’étais persuadée que les bénéfices allaient vite arriver, avec ma belle peau, ma bonne humeur et mon bien être..
Aujourd’hui, cela fait deux mois que j’ai pris ma bonne résolution… et je vais d’échec en échec. Je n’arrête pas de craquer, et quand je dis je n’arrête pas, au moins une fois par jour! on ne peut même pas parler d’arrêt du sucre à ce stade, tout juste de ralentissement, qui certes me fait du bien, mais qui me laisse un sentiement d’échec.
Mes sentiments sont tellement complexe par rapport à ça, j’ai presque l’impression de me sentir vide, sans but dans la vie (je sais que le mot est fort, mais c’est ce sentiment), esseulée sans mon ami le sucre. Ne pas en manger revient presque à une trahison…
Je sais ou plutôt je crois savoir tout de même tout ce qui se joue dans ma tête à ce sujet là, sentiment d’abandon, douleur dans l’enfance, et puis aussi trop de pression dûs à mon trop pressant besoin de me sentir à nouveau belle, je me colle une pression d’enfer à ce sujet..
Du coup après avoir mis le doigt sur mes difficultés j’ai pensé qu’enfin j’y arriverais… je viens de m’envoyer 5 petits écoliers, et la journée n’est pas finie.
Je suis vraiment désolée de ma faiblesse, qui s’ajoute à la culpabilité. Voilà pour mon témoignage, bonne soirée.
Bonjour, c’est un peu plus complexe.
Les crises de foie (on sait que c’est la vésicule biliaire en fait) laissent des séquelles de fibroses. Du coup l’organe ne fonctionne plus à son plein potentiel. Ce qui fait qu’un autre organe est obligé de compenser : l’estomac. D’où la fringale perpétuelle, et d’autant plus lorsque vous êtes fatiguée.
Ensuite, l’intoxication par le sucre laisse aussi des traces. Il sera essentiel de se supplémenter en iode. Mais il ne faut pas faire n’importe quoi. Renseignez-vous. Lisez « La crise de l’iode » de Lenny Farrow. Point important dans le sevrage du sucre.
Enfin, dans un cas comme le votre, n’allez surtout pas sur un sevrage stricte. Choisissez plutôt de vous dépolluer tranquillement des produits transformés. Apprenez à cuisiner. C’est capital.
2 mois et 2 jours que j’ai arrêté le sucre.
J’ai retrouvé la pleine forme. C’est clairement ça qui me donne la force de ne pas « replonger », car les envies ça m’arrive encore d’en avoir (même si nettement moins qu’avant !).
J’avais beaucoup d’hypoglycémie aussi et depuis que j’ai revu mon alimentation (et arrêté le sucre), je sens clairement ma glycémie stable. C’est dingue, je comprends nettement mieux mon corps maintenant.
Il me reste une chose que j’aimerais améliorer : Ma clarté d’esprit ! Elle n’est toujours pas vraiment revenue. Je suis du style à toujours chercher mes mots. Je pensais commencer une cure de magnésium. Est-ce la bonne chose à faire ? Ou il reste quelque chose qui me fait défaut ?
Merci pour votre aide et pour vos articles passionnants (et motivants !).
Oui. Mais sans garantie car l’origine n’est pas forcément le manque de magnésium. Il faudrait se pencher sur le foie puis vérifier s’il n’y a pas une un antécédent de déshydratation.
Bonjour,
J’ai déjà tenté d’arrêter le sucre raffiné sous toute ses formes. J’avoue que même en gardant que le chocolat noir (74%) j’ai plutôt réussi mon début de sevrage puisque je n’étais plus attiré par les gâteaux, bonbons…etc. je trouvais ça trop sucré et trop lourd. Mais le quotidien avec la famille qui est à mille lieux de ce genre de préoccupations et qui insistent lourdement et pose mille question sur le pourquoi du comment de cet arrêt du sucre, comme ci j’étais dans l’excès total et « extrêmiste » dans ma manière de consommer (ou plutôt de ne pas consommer…), à fait qu’au fil du temps j’ai repris mes mauvaises habitudes. Donc ce qui me pose soucis c’est comment imposer le respect de nos choix et quoi répondre face à la pression (je le ressent comme une pression personnellement) des proches qui pensent que l’on va trop loin dans notre manière de consommer? Comment réussir à dire non sans vexer la personne qui s’est donné du mal et à mis beaucoup d’amour à la préparation de pâtisseries?
bonjour,
je suis une vraie accro au sucre, pas une journée sans un bonbon, un carré de chocolat; l’envie se fait progressive.. pas d’envie le matin, mais au fur et à mesure que la journée se déroule, l’envie (devrais je dire le besoin) se fait de plus en plus pressant. Et si rien ne vient combler ce besoin de « shoot » dans les placards, direction la boulangerie pour un paquet de bonbons. Bien sur, surpoids, hypertension et fatigue. Alors pour le moment, j’essaye de repérer les moments d’ingestion de sucre, d’en prendre conscience, pour mieux les supprimer ensuite. Seul remède qui me calme vraiement quand je suis en manque… la musique…. Un casque sur les oreilles, et l’envie de sucre disparait.
MERCI pour votre article
Bonjour, moi je lute au quotidien avec le sucre. Je n ai pas d addiction à la nourriture, juste au sucre. C est bête mais je ne l avais pas vu comme ça. Il m a été plus simple d arrêter de fumer que de contrôler ma consommation de sucre. C est une drogue, je m en aperçois de plus en plus. J en mange pour être bien, ce qui me rend mal, donc j en remange. J en mange parce que je suis épuisée, mais peu de temps d’après je renouveau épuisée. Lorsque je vais chez des amis je suis toujours surprise de voir des pot de décoration avec bonbon et chocolat…moi j aurais englouti tout en quelques minutes. Ca comble un visé c est sur mais lequel? J ai souvent honte mais meme en société le sucre me fait tourner la tête. J attend discrètement le moment pour en manger. Je suis toujours celle qui en mange le plus. En ce moment je m autorise et assume de manger beaucoup de fruit, j au clairement diminuer ma consommation de sucre industriel. Et diminue l intensité des crises. Voilà!!!!!
Bonjour,
Merci pour votre blog.
Ce qui me blog, euh, ce qui bloque pour arrêter le sucre, c’est une forme de révolte devant l’effort requis. J’ai déjà arrêté de fumer (très difficilement !!), je ne bois presque plus d’alcool, et il faudrait maintenant que je me prive de sucre ?! Et l’étape suivante, ce sera quoi, entrer dans les ordres ?
Trêve de plaisanterie, je suis accro au sucre et j’aurais besoin d’arrêter, mais ça me semble surhumain.
Si vous voyez l’arrêt du sucre comme une privation ou une pénitence, c’est clair que votre cerveau n’acceptera pas.
Vivez-le comme une expérience. Soyez curieux des effets. Découvrez de saveurs plus saines. Vous vous en sortirez que plus enrichi.
Bonjour.
Vous comparez le sucre a d’autres drogues , notamment la Coke ou le tabac. Je suis ancienne fumeuse mais toujours accro au sucre … Je pense que mon expérience peut vous apporter un enrichissement pour votre livre.
Je suis une addicte au sucre depuis mon plus jeune âge : lorsque je ne mangeais pas de sucre j’avais une sorte de papillon dans le ventre qui me faisait mal jusqu’à ce que j’arrive à attraper une boîte de gâteau (car ma mere maintenait tout sous clef.) Malgré les précautions de ma mere j’arrivais toujours à attraper une boîte de gâteau et je mangeais les 150g de gâteaux industriels dans les 5 minutes !
Je suis aussi une ancienne fumeuse. J’ai donc réussi à arreter le tabac mais pas le sucre.
Vous parlez d’un arrêt brutale du sucre mais , pour moi , cela est impossible . Tout comme la cigarette , je n’ai pas pu arreter d’un coup. J’ai au contraire diminué très lentement , une clope par une clope , avec des périodes longues de stabilisation a un certain nombre de cigarette par jour : au bout de 3 ans j’ai enfin réussi à complètement arrêter de fumer. Il m’arrive aujourd’hui de fumer exceptionnellement lors de soirée avec des amis, par plaisir, mais je ne retombe jamais dans la dépendance au tabac.
Ainsi , pour le sucre , je me sens incapable d’arrêter le sucre d’un coup. Et je trouve qu’il serait intéressant dans votre livre de donner une méthode douce à l’arrêt du sucre , un peu comme je l’ai fait en arrêtant de fumer.
J’ai d’ailleurs suivi la même méthode pour le sucre : aujourd’hui je ne met plus de sucre dans ma tisane , je n’achète plus de gâteaux industriels , j’ai arrêté de manger une tablette entière de chocolat par jour : je suis passée au chocolat noir 70% et j’en mange tout de même encore 4 à 5 carrés par jour. Je n’achète plus de crème dessert , mousse au chocolat , liégeois : mais j’achète encore des yaourts au soja au chocolat. Bref vous l’aurez compris ma méthode est de remplacer doucement une mauvaise habitude par une moins pire, puis de me stabiliser … Puis le jour où je me sens de nouveau le courage de faire un changement , je recommence.
Pour suivre votre méthode , il faut avoir une certaine force de caractère qui permet de tenir bon même aux pires moments de la désintoxication . Je n’ai pas cette force de caractère suffisante.
Comme je viens de vous l’expliquer , j’essaie de remplacer une mauvaise habitude par quelque chose de moins pire , et justement c’est aussi à ce niveau là que votre livre pourrait apporter des solutions : ne mangeait plus ca mais mangeait plûtot ca puis Apres ca pour enfin arriver à ce type d’aliment. Avec des images , un livre plûtot pédagogique .
Car , pour les personnes comme moi , si vous leur dites : ne mangeait plus rien de ce que vous mangeait d’habitude , la tâche va paraître trop grande pour y arriver.
Dans mon metier je suis enseignante au lycée , et c’est exactement de cette facon qu’on aide quelqu’un à apprendre : en le faisant aller étape par étape avant de lui demander de faire la tâche complexe. Si vous demandez a une classe de faire un exercice complexe : 2 élèves y arriverons , 10 essaierons mais se démoraliserons à la moitié de l’exercice , et le reste de la classe n’essaiera même pas , horrifié devant l’ampleur de la tâche.
J’espère que votre livre avance et que ma petite expérience vous aidera.
Bonjour,
Difficile pour moi de ne pas craquer sur du chocolat, ou des gâteaux… Petite, j’étais plutôt maigre, et mes parents rajoutaient beaucoup de sucre blanc sur tous les gâteaux ou laitage.. J’ai consommé pendant longtemps toutes sortes de barres chocolatées, bref, des cochonneries.. mais qui m’aidaient à « tenir » artificiellement niveau énergie. Aujourd’hui, j’ai définitivement arrêté le sucre blanc, j’utilise du sirop d’agave, et je limite ma consommation de gâteaux.. Mais dès que je mange de la confiture, ou des crêpes au sirop d’agave, bref quelque chose de sucré, j’ai systématiquement le lendemain des douleurs dans les articulations des doigts et de temps en temps des problèmes intestinaux.
Mon souci, c’est le poids : je n’arrive à en prendre que lorsque je rajoute des produits sucrés dans mon alimentation. Je pèse 52 kgs pour 1m70 et j’ai énormément de mal à maintenir ce poids, malgré une bonne alimentation. Donc, du sucré ? pour grossir oui ! mais c’est vraiment le seul avantage que j’y trouve…! et malgré tous mes essais, je n’ai rien trouvé d’autre pour prendre du poids que par exemple des crêpes ou galettes à la confiture.. j’ai beau manger de bonnes quantités de riz, des légumes, des protéines, huile d’olive, fromage de chèvre, deux bananes tous les jours + fruits secs, etc etc…
Donc pour résumer, si je pouvais remplacer les produits sucrants par quelque chose qui compense niveau poids.. je suis preneuse.. et vous en remercie vivement !
Bien cordialement,
Bonjour
Mes difficultés pour arrêter c’est que si je le décide c’est pire j’ai tellement peur de pas en avoir que j’en mange même plus . Passif de boulimique de l’adolescence jusqu’à mes 26 ans. Puis depuis 2014 lors de ma grossesse je suis devenue compulsive au sucre sans jamais avoir arrêté depuis :-/
J’ai lu votre article sur votre sevrage et je sens à quel point c’est votre organisme lui même qui vous a guide dans vos besoins et ça me rassure. Je pratique l’eft mais pas assez régulièrement . Je tente un sevrage par ce biais mais j’aimerais aussi arriver à me lancer dans un sevrage effectif pour n’en manger que quand je le décide et pas par compulsion . Aussi je me disais que vous abordez sans doute cette notion de non choix dans la consommation de sucre , d’apaisement puissant qui empêche de résister .
Merci
Bonjour, j’essaie depuis des années de me sevrer au sucre, mais rien ni fait !!!! je suis pâtissière et donc pour moi c’est très difficile d’arrêter le sucre, je fais au moins un gâteau tous les 2 jours et des fois 2 !!!! c’est une catastrophe ! bon j’en donne mais je les mange aussi ! J’ai très souvent des coups de fatigues vers 11h et 17h! Et si je mange trop de sucre j’ai des impatientes dans les jambes et le cœur qui bat fort et pourtant je ne peux pas m’en passer ! mes nuits ne se font pas d’une traite ! par contre je n’aime pas du tout les bonbons ! comment on s’en sort ?
Je n’y arrive pas. Comme une drogue. D’ailleurs je dis un shoot de sucre. Chaque matin je dis non et le soir je craque selon un Rituel précis. Repas puis télé et gâteaux chocolat et autres. C’est comme si c’était vital. Une question de survie. Pourtant les dégâts sont là: candidose, migraine, surpoids, fluctuation de mes émotions, colère, honte tout y passe. Je m’en veux d’être esclave de cette saloperie. Sucre ennemi que je t’aime. Parfois je me dis qu’il va me tuer
A l’âge de 15 ans, j’ai été soignée pat un homéopathe, qui m’avait dit_ entre autres choses: quand vous ne vous entez bien, prenez un bonbon ou qlque chose comme ça…
Ma question est: tous les organismes fonctionnent-ils de la même façon?
Le médicament n’est-il pas souvent également un « poison » ( à petites doses?)
Plus coquette que gourmande!… je mange peu, suis végétarienne depuis toujours, ne bois pas d’alcool, ni charcuterie; je ne sucre qu’au miel, je n’iame pas le goût du sucre blanc_ mon corps n’aime pas cela, aucune privation!
Cependant… ce que m’avait dit l’homépathe se révèle vrai…
Je ne suis pas accro aux suceries, cependant j’ai tout essayé pour remplacer son conseil_ et non! rien ne fonctionne_ Bien sûr, il ne faut pas e choses industrielles, chimiques etc. mais un bon gâteau, fait à l’ancienne etc.
essayer de me passer de sucre m’a rendue malade et… fait gonfler_
je dois être le 1°/° qui confirme la règle_
Les Hindous divisent en trois groupes principaux les typologies physiques. A chacune son
régime. J’ai trouvé que cela fonctionnait très bien.
ou alors, si on se sent bien… autant garder la formule qui marche…
Le dessert ( un peu de suceé en fin de repas envoie un signal au pancréas, pour aider à la digestion)… un carré de chocolat noir n’est pas idiot à ce moment là il me semble.
Sauf si on a la moindre pathologie qui demande del’éviter bien sûr.
Sinon… le plaisir de manger est la chose la plus importante disait unchirurgien très renommé, spécialiste de l’appareil digestif. Ne pas manger dans le déplaisir. Mieux valait alors sauter un repas!
Ecouter son corps… aimer ce qu’on mange… être raisonable en tout, et si tout va bien… ne pas ( c’est le cas!) se mettre la rate au court bouillon!!!!
( Je pratique des techniques énergétiques… ceci explique peut-être cela aussi?)
Je ne comprends pas trop les liens dans votre exposé.
1- Oui, à l’origine, tous les organismes fonctionnent de manière identique, quelle que soit la couleur de peau. Après, les histoires ne sont pas les mêmes. Chaque organisme s’adaptera à son milieu au fil des générations et fera de l’être vivant toute sa particularité.
2- Il existe deux types de remèdes : ceux qui excitent l’organisme et ceux qui le soulagent. Les premiers sont plutôt masculins et dans la combativité. Ils attaquent avec plus ou moins de force. Ils sont toujours toxiques. Et leur efficacité vient de leur toxicité. Mais il n’est pas nécessaire que cette toxicité soit importante pour le corps, bien au contraire. Toute la thérapeutique est dans le dosage. Les seconds sont plutôt féminins. Ils ne donnent pas, mais reçoivent et prennent ce qui est toxique dans l’organisme. Enfin, une troisième sorte traite au niveau informationnel.
3 – « si on se sent bien… autant garder la formule qui marche… »
Ne confondez pas le silence des organes avec l’état d’attention. C’est ce dernier qu’il faut observer plus que la sensation de bien être dans le corps. Beaucoup de gens se sentent bien et développent néanmoins des pathologies. En fait, leurs sensations étaient édulcorées par la nourriture.
bonjour Docteur,
également en train de démarrer une désintoxication , ou un sevrage du sucre et pas seulement pour maigrir (je ne suis pas grosse – à 59 ans j’ai seulement trois kilos de trop mais surtout car j’ai découvert que je souffrais d’une candidose (les candidas albicans), les levures habituelles nécessaires à notre intestin chez moi se sont transformées en champignons (probablement à la suite d’une prise d’antibiotique il y a deux ans pour soigner mes dents )
je suis arrivé à cette conclusion car j’ai accumulé des symptômes forts désagréables (mycoses de pieds, mycoses buccales, démangeaisons du cuir chevelu (trés fortes jusqu’à m’empêcher de dormir, perte de sommeil, manque de concentration, pertes de mémoire., grosse déprime ..prurit anal….etc ) qui ne disparaissent pas par la médecine allopathique classique et j’ai appris que ces candidas albicans quand ils sont devenus des champignons se nourrissent de sucre. donc pour les éradiquer il faut arrêter de leur donner du sucre . simple et facile comme raisonnement mais tellement difficile à mettre en oeuvre.
car comme pour vous : supprimer les aliments contenant du sucre revient à tous jeter, beaucoup d’aliments contiennent des additifs qui sont des sucres cachés et des glucides et qui se transforment en sucre.
j’ai un jardin je mange les légumes et le plus possible j’achète des légumes bio, j’ai réduit les apports de viandes , j’ai supprimer les produits laitiers de vache (gardé fromage de chèvre) , le pain normal, remplacé par galettes de riz sans gluten, depuis longtemps j’avais diminué le sucre blanc, gardé juste les sucres de fruits,un peu de miel, mais je me sens faible et sans énergie , j’ai compris ce qu’il faut supprimer ou diminuer mais que manger à la place ==> c’est cela la solution qu’attendent beaucoup de patients comme moi qui veulent se débarrasser de cette addiction au sucre,- comment composer ses repas – comment avoir les nutriments nécessaires pour rester en bonne santé et garder un bon moral.
merci par avance de votre aide
je suis admirative de votre expérience de sevrage et attend comme tous la sortie de votre livre
cordialement
Evelyne
Bonjour Wladislas,
Voici maintenant 6 jours que j’ai arrêté le sucre. Ou plutôt que je suis partie à la chasse aux sucres ajoutés. Je suis impressionnée par la quantité de produits qui en contiennent…
Au début, les trois premiers jours, tout s’est plutôt bien passé. Une petite fringale de temps en temps mais rien de dramatique. Mais depuis hier, ça se corse. Je pratique beaucoup la course à pied et la natation (jusqu’à 5 fois par semaine) et j’ai faim constamment depuis que je ne prends plus de sucre. Je n’ai pas vraiment envie de sucre… Mais j’ai tout simplement tout le temps faim. Et rien ne semble faire passer cette sensation (noisettes, fruits). Je dirais que j’ai faim de quelque chose qui remplit, qui cale.
Ma grosse difficulté vient du fait que je suis coeliaque et que j’ai déjà dû éliminer le gluten de mon alimentation. Ma vie en avait été transformée à l’époque. Heureusement, que j’aimais cuisiner. Mais, j’ai récemment appris que les produits industriels sans gluten sont bourrés de sucre et de graisses peu recommandables. Et surtout que les farines utilisées sont à fort ou très fort index glycémique (farine de riz blanc…). Il faut que je me fasse une liste de féculents nourrissants sans gluten et à index glycémique raisonnable.
Comme autres symptômes de sevrage, j’ai des maux de tête type migraine, je me sens complètement vaseuse, tout me demande de l’énergie, et j’ai des trous de mémoire (je n’avais pas cette impression avant le sevrage), émotivité accrue, et je ressens une certaine fébrilité.
Merci pour votre recherche. Si vous avez des conseils pour limiter la sensation de faim, je suis preneuse.
Laure
Pour ma part j’ai aussi découvert les dangers et l’omniprésence du sucre grâce à votre article.
J’avais déjà une tendance assez facile à rejeter les produits de consommation industriels quand ils n’étaient pas bio (je mange bio et suis végétarienne dans ma consommation personnelle)… Ca me dégoûtait. J’avais littéralement la sensation de manger du poison. Mais parallèlement à ça, je pouvais me faire en un repas un paquet de biscuits bio, sans rien manger d’autres. Parfois je craquais et c’était gâteaux apéros+biscuits et j’alternais sucré/salé, ce qui me faisait manger mille fois plus. Le pire, c’était que c’était mon plaisir ! Ca devant la télé, j’étais vraiment heureuse. Une horrible sensation. Mais j’ai un gros défaut, je déteste cuisiner et en mangeant bio, je variais donc très peu. Il fallait que je coupe les légumes (donc crudités) et que je mange, ça devait prendre moins de dix minutes sans quoi ça m’insupportait. Je vis seule qui plus est, difficile de se motiver à cuisiner pour soi.
Et en fait, je pense que je faisais ces craquages monstrueux parce que je n’étais pas satisfaite de ce que je mangeais. Ce n’était pas assez varié dans les goûts, les substances. Je n’y tirais aucun plaisir. Du coup quand je me retrouvais à un apéro ou au restaurant, je devenais véritablement boulimique. Je mangeais mangeais mangeais sans m’arrêter, peu importe mon état de trop plein et de malaise après, j’avais eu du plaisir sur le coup à bouffer (car ce n’était absolument pas manger) tous ces plats ou grignotages.
C’est une lutte qui n’est pas terminée mais j’ai trouvé des solutions dans des aliments sains que j’aime. Les amandes, les flocons d’épeautre ou de sarrasin sans sucre ajoutés et les baies de goji ont été pour moi un véritable miracle, vraiment. Dès que j’avais faim, je me faisais un petit mélange de ça et je prenais le temps de déguster. Je me concentrais sur le fait de mâcher et réduire en bouillie ce petit assemblage de goût sucré et délicieux avant d’avaler, de profiter de chaque bouchée sans culpabiliser le moins du monde car c’était sain. Certes, il y a du fructose et les baies de goji sont séchées, mais c’est devenu MON plaisir, bien plus puissant qu’un biscuit sec au chocolat. Quand je croque dans un biscuit, pour me dégoûter, j’imagine croquer dans un carré de sucre blanc. Ca fait le même bruit, ça a la même consistance et pourtant personne ne prend du plaisir à croquer un sucre nature je pense. Du coup, ça m’a dégoûté assez vite et je n’y tire plus de plaisir.
Je sais que j’ai une volonté très faible. Que chez moi, tant que je n’achète rien, tout va bien. Je mange sainement. Je n’arrive pas à me débarrasser du vinaigre balsamique où je prends toujours un suprême plaisir à déguster dans mes salades ou pour faire cuire mes oignons, ni de mes fruits séchés (pruneaux, noix de coco ou baies de goji dans le fromage blanc, produit qui m’a également vraiment beaucoup aidé dans ma « thérapie » alimentaire personnelle, aucune frustration pour le « dessert » depuis). Mais je me sens beaucoup plus sereine chez moi. Par contre, quand je vais dans un restaurant ou en apéro, c’est encore très très dur. Surtout que ma vie sociale est assez active, mais je me force.
Une fois je parlais avec une amie. Nous devions aller au sushis avec d’autres amis et finalement ça s’était organisé autrement, quelqu’un nous recevait. J’étais très déçue intérieurement, mais je n’en ai rien dit. La nourriture n’était pas bonne, et j’étais très frustrée mais j’ai gardé pour moi. Même l’hôte s’est excusée. Mon amie a alors dit « T’inquiète pas, on s’en fiche de ce qu’on mange, on vient pour tous se voir, pas pour manger ! ». Et là ça m’a fait un petit électrochoc. Moi je focalisais sur la nourriture, ce qu’il y aurait, et sur ce qui allait entraîner le plein de mon estomac. Je faisais passer les gens et le plaisir d’être avec eux en second plan contrairement au « plaisir » déraisonné de la bouffe. J’ai compris que je n’étais pas normale. Que quand je proposais aux gens d’aller au restau c’était pour manger dans ce restau et me péter le bide, pas en premier lieu pour être avec eux. Que mon esprit était totalement happé par la nourriture et me faisait oublier ce qui était au final important. Ca a été une véritable prise de conscience, au point que j’en ai pleuré chez moi. Ma boulimie s’était affichée au détriment de mon amour pour les gens, qui est pourtant très fort chez moi, et j’en ai voulu à beaucoup de choses. Moi, mais aussi la société qui nous bombarde de pubs et de bouffe à torlarigo.
C’est toujours une lutte, mais je vais bien. Je suis en paix, le midi je me concentre sur ce que je fais pour préparer ma salade et je la déguste. J’essaye d’acheter des épices qui varient et je me suis inscrite en AMAP pour être forcée de cuisiner des légumes que je n’aurais jamais pris de moi même. Je commence bientôt et je suis très heureuse de cela. Mes noix de cajou, amandes, baies de goji, flocons de céréales et autres accompagnent toujours mes fringales mais je ne m’en débarasserais pas le moins du monde, comme mon vinaigre balsamique. Peu importe qu’ils aient du fructose en quantité concentrée, ça a répondu à apaiser mon esprit et à tirer du plaisir dans un produit bien plus sain que les paquets de genre Petits Ecoliers, aussi bio soient-ils.
Je suis naturellement sportive, amoureuse des liens sociaux (assos, rencontres, sorties.. etc), je mange bio, végétarienne dans ma conso perso, je ne mange jamais le matin et pratique le jeûne intermittent naturellement depuis des années (mon dernier repas se faisant bien souvent à 18h30 pour reprendre à manger le midi). Mais depuis que je me concentre sur ce que je fais, que je me raisonne au moins assurément quand je suis chez moi, he bien j’ai perdu du poids là où je n’en perdais pas malgré mon mode de vie. Mon bidon s’est aplati naturellement sans que j’en fasse plus que ce que je ne faisais déjà, et compagnie.
Bref… Voici mon petit parcours, toujours en cours… ! Car c’est une lutte perpétuelle, surtout socialement (je perds encore pied quand je retourne manger chez ma famille ou quand je suis reçue, mais j’y arriverai, à terme… J’en suis sûre).
Bonjour, j ai pris conscience des dangers du sucre grâce à vos articles . Pour ma part, je voulais arrêter les sucres par rapport à mon surpoids ( 6kg). Comme je me suis intéressée aussi au jeûne intermittent j ai attaquée les deux. J’ai perdu en l’espace de deux mois et demi les 6 kilos mais dès que j arrivais au Resto je ne pouvais pas m’arrêter de manger. En fait quand je me faisais plaisir le weekend c’était parti pour la boulimie.!! La semaine tout était programmé, je n’achète jamais de produits préparé , tout est fait à la maison. Moins on mange de produits tranformés moins on consomme de sucres sous toutes ses formes cachées. Par contre je me suis passées de fruits car pour moi lé simple fait de ramener ce goût sucré me dirigeait directement vers lui. J ai remarquer aussi que le simple fait de boire beaucoup d’eau me donnait 1 effet satiètogene naturel. Comme tu le dis, j ai la sensation d’être plus claire, d’être plus courageuse, de plus m’investir dans ma vie. C est agréable de se sentir revivre! La gourmandise n’en vaut pas la chandelle.
Excellent 🙂
BRAVO.
Cela me fait toujours plaisir de découvrir que d’autres ont réussi l’exploit et retrouvent les mêmes sensations de clarté. C’est un exploit et je vous en félicite 😉
Bonjour,
ce qui me bloque :
Je suis sportif, je pratique une activité physique régulière (surtout course a pied et velo, piscine mais moins souvent). Pour mon activité velo surtout la prise de sucre de sucre rapide (pate de fruit) m’aide a eviter les fringales
sinon qu’elle est votre avis sur les boisssons a base de carbohydrates ? Pour m’a part je remarque vraiment la différence lorsque j’en consomme ou pas (sur l’apparition des crampes)
Bonsoir Wladislas,
Suite à une prise de conscience concernant mon addiction au sucre grandissante au fil des années, j’ai décidé d’arrêter le sucre il y a aujourd’hui 7 jours. Votre article à ce sujet m’a d’ailleurs extrêmement éclairée et je ne peux que vous encourager à poursuivre. Je découvre votre blog qui est vraiment passionnant !
En ce qui concerne mon sevrage du sucre, jusqu’ici tout va bien, pas de trouble notoire de l’humeur, peu de sensations de manque, au contraire je ressens même beaucoup plus de bien être, certainement lié au plaisir d’en finir avec cette addiction qui m’empêche d’avancer.
En revanche, j’ai rencontré une difficulté aujourd’hui, lors de mes règles. J’ai toujours eu des syndrômes prémenstruels marqués avec de fortes envies de sucre, grandissantes au fil des années et cela proportionnellement à ma consommation de sucre. Suivis de règles plutôt douloureuses. Mais ce matin c’était nouveau : à cela s’est ajouté des vertiges, une douleur insoutenable, des vomissements, l’incapacité de manger quoi que ce soit (même pas un médicament), une sensation d’hypoglycémie très forte, et enfin, des diarrhées. Tout cela en même temps et je dirais que ça a bien duré 5h d’affilé. C’est la première fois que cela m’arrive après 12 années de règles mensuelles.
Pensez-vous que cela ait un lien avec mon arrêt récent de sucre ? Si oui, comment l’expliquez-vous ?
Au plaisir de vous lire.
Marion.
Oui, vous venez de vous débarrasser d’un gros paquet de toxines qui encrassait les canalisations vasculaires.
Les prochaines règles devraient être normales.
BRAVO 😉
Merci Wladislas pour cet article passionnant et les commentaires sont intéressants. Je souffre aussi de cette addiction et ce petit mot pour dire qu’en fait les parents sont responsables de l’alimentation de leurs enfants. Pour ma part, ma mère mettait des morceaux de sucre blanc dans nos biberons. La dépendance est donc née peu de temps après la naissance. Consciente de ce problème (addiction et dents très abimés), j’ai donc essayer d’élever mon fils sans sucre, sans bonbons. Mon fils n’est donc pas accro aux bonbons et boissons sucrées. J’en reviens à la responsabilité des parents et grands-parents qui dès le plus jeune âge soumettent les enfants aux bonbons. Récemment mon beau-fils s’est fait une joie de faire découvrir les bonbons à son gamin de 3 ans ! comme quelque chose de glorieux dans ce geste d’offrir un nounours !!! évidemment je suis passée pour une rabat-joie !
cordialement,
anna
Bonjour Wladislas,
Je m’appelle Pierre et je suis artiste, je viens de découvrir votre blog et votre parcours sur le sucre. félicitation, cela n’a pas dû être facile, mais quel résultat !.
Pour ma part, j’ai aussi un problème lié aux sucres, je vis sainement, mange bio, équilibré, pas de laitage, ni gluten, très peu de viande, surtout du poisson, légumineuses, céréales complètes ( quinoa, millet riz brun, sarrasin..;etc), des graines germées, fruits et légumes bio….
Je peux me passer de produits sucrés pendant une période, mais dès que je suis confronté à des situations de stress et émotionnelles, je craque, pour combler ce stress et ce vide que je ressens en moi. Aussi je voudrais faire un vrai travail par rapport aux sucres et m’en libérer complètement.
J’aurais besoin de votre aide et de vos conseils, quand à la procédure de sevrage, et surtout adopter un vrai programme à respecter bien sûr…
Merci à vous
Au plaisir de vous lire
Pierre
Excellent ! Vous avez déjà une bonne alimentation.
Vous devez traquer les sources inflammatoires, s’il y en a, et ensuite travailler sur vos réactivités émotionnelles. Là, il faudrait un suivi personnalisé ou une technique efficace : EFT (dont vous pouvez obtenir le manuel en vous abonnant à la newsletter), Faster EFT, TIPI; NERTI ou bien mes méthodes personnelles. Pour ces dernières, attendez un peu, je suis en train de mettre en place des formations.
Face à un problème, votre cerveau va puiser dans votre mémoire pour savoir comment réagir. Il fait alors ressortir tout ce qui s’apparente à ce problème. C’est alors une très bonne occasion pour traiter les racines du problème, votre cerveau les pointant avec brio, sans même que vous ne vous en rendiez compte. Chaque évènement pénible devient une occasion inestimable pour se libérer des chaines mémorielles qui polluent notre mental et qui nous maintiennent dans nos problèmes.
Bonjour Wladislas,
Merci de votre réponse, je n’ai pas encore lu votre livre en ligne car j’ai des soucis d’ordinateur, mais j’ai arrêté le sucre depuis 2 semaines, le voyage n’est pas triste…. fatigue, tremblements, confusion, humeurs en dents de scie et émotions qui vont avec.
Mais je tiens bon et je veux aller au bout du sevrage, les smoothies fruits et légumes m’aident beaucoup à passer les moments difficiles.
ma question est: Est-il important de prendre un complément de vitamines, et si oui, lesquelles?
Merci à vous et bonne journée
Pierre
Oui. Car la déminéralisation est une des causes principales de l’appétence pour le sucre.
Est ce que les effets sur le syndrome prémenstruel vous ont déjà été rapporté?
Oui.
Mais l’effet n’est pas systématique car il existe plusieurs causes.
L’arrêt du sucre permet le désengorgement de zones congestives au niveau du pelvis, d’où l’amélioration. Le muscle utérin peut se relâcher et les tissus se réparer.
oui bien sûr le sucre naturel des fruits. Je voulais dire du sucre ajouté, du sirop du glucose, un conservateur amidoné autre ou sirop de riz…
je vais essayer d’avoir l’info.
Pour ce qui est du sevrage du sucre j’ai fait cela progressivement sur 6 mois environ. J’ai d »abord arrêté la confiture, le miel, les sucreries, pis j’ai diminué ma consommation d’aliments à base de farine blanche (pâte, pain), j’ai bani le riz blanc. Cela fait maintenant 2 mois que je ne consomme aucun aliment à base de sucre ajouté ou de farine blanche.
Pour l’instant le plus gros changement concerne le syndrome prémenstruel! c’est fou et rien que pour ça je ne reviendrais pas en arrière!
10 jours avant les règles je voyais que je me transformais, j’étais méconnaissable, gonflée de partout, je faisais de la rétention d’eau de façon très importante! C’était très désagréable et très très fatiguant.
Depuis 2 mois c’est magique! Hormis les petites perturbations du sommeil les autres dérangements ont disparu. Même la tension mammaire est quasi inexistante!
Pour compléter cela je fais une petite cure d’huile de bourrache (2 cuillères à café le matin avec des graines ou de l’avoine ou du pain complet) 7 jours avant le début des règles et ainsi va la vie sans plus de soubresauts et de gros désagréments hormonaux.
Par ailleurs depuis décembre je ne mange plus de viande ni de poisson ni d’oeufs…Cela ne m’attire plus du tout. Du coup pour compenser je mange des graines de tournesol et de courges. J’ai introduit les algues séchées dans mes salades, les graines de lin, de sésame.
En revanche j’ai encore du mal avec les pâtes à base de blé complet…si quelqu’un a des recettes..
Depuis que j’ai arrêté le sucre je perçois également le goût sucré des autres aliments: les carottes et le riz rouge par exemple me paraissent presque comme des bonbons, les oignons et le potiron me paraissent bien doux!
J’ai des envies de chocolat parfois mais je prends du chocolat 100% cacao sans sucre ajouté.
Je n’ai pas envie de plonger dans un gâteau lorsqu’on m’en propose et je ne me sens pas frustrée du tout.
Le seul petit hic c’est la sensation de satiété qu’apportait les protéines animales et qui me manque parfois.
voili voilou
j’ai essayé d’être complète mais je pense qu’avec le temps de nouveaux bénéfices apparaîtront!
Merci pour votre réponse Wlad
J’ai fait sensiblement le même parcours en terminant par la suppression du gluten. Bravo 😉
Bonjour,
À la recherche des sucres cachés…
Pouvez-vous me dire si les figues lerida de la marque pural contiennent du sucre.
Rien n’est mentionné dans la liste des ingrédients.
Merci d’avance pour la réponse Wlad
Je vous promets de partager mon expérience du sevrage d’ici peu
Cela ne fait que 2 mois mais je sens déjà une grande différence!
Du sucre, oui. Un rajout de glucose, je n’en sais rien. Demandez au vendeur ou à la marque.
petite précision aussi, le fait comme vous dites d’arrêter me rend irritable, je verse également dans le désespoir quand je n’ai pas ma dose de sucre, et cette étape me culpabilise pour mon entourage enfant conjoint et du coup j’ai peur de ne pas etre acceptée et je replonge aussi
un peu comme un fumeur qui ose pas ou ne peut pas arreter car il sait derrière qu’il ne supportera plus aucune odeur de tabac…
aussi loin que je me souvienne je suis addict compulsive au sucre,
je le sais et a 41 ans, je le dis au moins de puis 20 ans sans qu’on me prenne au sérieux.
j’ai essayé , je ne parviens pas a m’en défaire. Mère de deux petits 14 mois et 3 ans , je suis en crise sévère, je reve d’arreter car c’est une obsession et je me sens fatiguée. pour l’arret du sucre ma plus grande difficulté c’est le stress, et surtout de savoir que le sucre est partout, cela m’angoisse encore plus, ce qui me fait flancher aussi c’est l’entourage qui,ne me croit pas et qui pense que je dois réguler…
mais c’est justement cela que je ne peux pas alors ca me rend encore plus seule dans ce combat ou je me sens niée et l’extérieur me fait encore plus peur… je me sens jugée et le fait de me dire ce que je devrais et que justement je n’arrive pas m’angoisse et me pousse au sucre!!! mais je suis déterminée et votre récit , pour le sevrage je l’ai vécu et je me sens comprise, j’attends votre livre et vous dit un grand merci pour nous tous,
séverine
bonjour
je reviens vers vous que pensez vous des fleurs de bach ? peuvent elles m’aider dans ma démarche d’arrêt du sucre ?
merci de votre aide et de vos précieux conseils
Oui, mais je n’ai pas suffisamment d’expérience dans les fleurs de Bach. Pour les avoir essayé, je sais que toutes ne se valent pas. Pour le reste, je ne suis pas un spécialiste.
Bonjour, cela fait un moment que je me dis qu’il faut que je change mon alimentation, je pense que le sucre est source de beaucoup de mes problèmes. J’ai lu plusieurs de vos articles et je me suis reconnu dans vos anciens comportements, ressentis, … j’aimerai arrêter le sucre mais je me sens perdue. Arrêter les sucres rapides : sucreries, gâteaux, plat cuisinés, etc… c’est visible donc facile à débusquer, par contre peut on manger des pâtes, du quinoa, du boulgour, brefs des céréales, supprimer la charcuterie, peut-on manger des yaourts, du fromage, , des fruits mais combien ? Enfin difficile de s’y retrouver entre ce que l’on peut manger et ce qu’il faut définitivement supprimer.
Pouvez vous m’aider, par avance merci.
bonjour
je voudrais cesser le sucre mais voilà chaque fois que j’essaie de mettre quelque chose en place au bout de 2 à 3 jour j’arrête pas de volonté ou courage pour continuer où trouver la motivation le courage ou la force nécessaire pour faire continuer et persister car je sais que l’arrêt du sucre atténuerai la rhizartrrose de mes pouces douleurs pieds intestins etc.
mais voilà qui peut me donner des conseils ou quoi faire pour avoir plus de volonté ou persévérance me tenir à ce que je veux faire merci de votre aide et de vos conseils
j’apprécie ENORMEMENT votre site et vos conseils à bientot merci
Un dernier petit mot pour faire suite à ce roman :
Arrêter le sucre m’a beaucoup apporté. Mon ventre me dit enfin merci niveau digestion surtout. Mon humeur et ma santé sont beaucoup mieux (malgré les problèmes de thyroïde). La fatigue s’était envolée également. J’ai l’envie de manger de bons aliments : une pêche mure me fait autant saliver qu’un Kinder à l’époque où je mangeais sucré.
Je m’arrête là pour aussi laisser la place aux autres 🙂
Bonjour,
Mon post arrive tardivement par rapport à votre demande. J’espère que cela ne sera pas trop tard.
Je suis en cours de sevrage depuis Janvier 2015. Le plus dur a été les 3 premiers mois. Aujourd’hui j’ai moins de pulsion vers le sucré et j’ai également bien revu mes habitudes alimentaires.
Les difficultés que j’ai rencontrées ou que je rencontre encore :
– La désinformation ou les informations contradictoires : doit-on arrêter les farines blanches, pâtes et riz blanc (au profit du complet) considérés comme sucre rapide ? Si oui, comment savoir dans quels aliments il y en a (je viens d’apprendre que les figues sèches sont roulées dans la farine blanche, mais ceci n’est pas indiqué sur les étiquettes) ?
– le regard des autres : bien que cela va en s’améliorant (les jeunes étant assez ouvert au problème de santé lié à notre industrie alimentaire), il est difficile de faire comprendre lors de sorties que je ne veux pas manger de sucre pour mon bien. Cela peut être mal vu : je ne m’autorise pas de plaisir. Alors que c’est faux.
– Les autres soucis de santé qui sont influencés par le changement d’alimentation : j’ai un problème de thyroïdite d’Hashimoto qui a de nouveau basculé en hypo depuis mon sevrage au sucre. Mon endocrinologue qui connait ma nouvelle alimentation n’a pas semblé étonnée. Je l’a questionnerai à ce sujet.
– Les premiers temps, on se demande ce que l’on va mettre dans ces placards pour remplacer le sucre, la farine blanche et tous les aliments dérivés.
Aujourd’hui, mes placards contiennent des aliments complets, bio quand je peux, et je remplace aisément le sucre des recettes qui me donnent envie, par de la banane mixée (dans la pâte à tartiner maison au chocolat noir, cela sucre autant que du sucre raffiné), de la vanille bio, des dattes mixées (ou figues), de la poudre d’amandes et parfois avec un peu de miel.
– Comment faire pour que les enfants s’investissent également ? La garde alternée ne met permet pas de lui donner une alimentation correcte à plein temps. Elle est encore trop petite pour juger ce qui est bon pour elle ou non (4 ans). Comment lui expliquer simplement les choses pour qu’elle se sente concernée ? Comment lui faire comprendre que, bien que ces copains mangent Nutella, chocolat et bonbons, cela n’est pas bon ?
Pour arriver à tenir jusque là :
– j’ai un grand soutien de la part de mon conjoint (cela me semble primordial, notamment dans les moments de creux).
– Je ne me prive pas de manger une part de gâteau aux anniversaires, mais je commence à ne même plus en avoir envie car cela m’écœure. J’apporte parfois aussi mes propres gâteaux sans sucre et la farine complète que je propose en dégustation. Les gens jouent souvent le jeu.
– Je liste les plats que je vais préparer pour la semaine avant de faire mes courses. cela m’évite d’acheter des bêtises et me facilite la vie au quotidien : je n’ai qu’à regarder ma liste avant chaque repas pour savoir ce qu’il faut que je mange. Cela prend du temps de la préparer mais je gagne à ne pas manger n’importe quoi sous prétexte que je n’ai pas le temps de réfléchir à ce que je vais cuisiner.
– J’ai pris des compléments : probiotiques (pour un problème de candidose et de flore en général) et du magnésium.
– Je mange des féculents et des légumes à chaque repas + une viande ou poisson si j’en ai envie, salé le matin, ce qui me cale le ventre (plus de fringales). si j’ai envie d’un dessert : un fruit mélangé à du yaourt et des céréales complètes. C’est bon !
– Je me fais plaisir avec des plats simples et des aliments entiers, non industriels !
– J’ai perdu 5kg en un mois au début du sevrage. Comme je ne suis très mince, je me suis inquiétée. finalement, j’ai repris un kilo et mon poids s’est stabilisé depuis. Pas un kilo en plus ou en moins, ce qui m’arrange bien !
Voilà pour mon expérience. Je ne sais pas si cela vous aidera mais je souhaite à tout le monde de réussir ce sevrage.
Je vous souhaite également bon courage pour ce livre que j’attends avec impatience !
Bonne continuation !
Je ne sais pas si il est trop tard pour envoyer ce commentaire mais tant pis!
Ma plus grande difficulté est d’avoir a la maison des sucreries, gateaux en tout genre car si j’étais seule je n’en achèterais pas mais je ne le suis pas! Du coup j’ai bcp bcp de mal a résister sachant qu’en + ma cuisine et mon salon ne font qu’un. je suis principalement dans cette pièce.
Merci pour ce que vous faite.
A vrai dire, je n’ai pas encore arrêté le sucre… j’avais déjà remplacé le sucre classique par du sucre bio complet de rafadura, car je savais que le sucre blanc de base (et même le sucre roux) ne contient aucun nutriment. Je n’achète que du bio, ne mange que très peu de viande et aucun produit transformé (sauf quelques gâteaux bio). Mais je sais que sans sucre, je serai de mauvaise humeur, je me sentirai MAL. Car je suis depuis toujours une accro au sucre. Petite déjà, j’étais réputée pour ma gourmandise légendaire.
Et surtout, comment avoir une vie sociale si on veut éviter tout sucre !!?
J’ai 43 ans et je suis une droguée du sucre… Tout comme avec une autre dépendance je détruis doucement ma vie et mon corps… Quand j y pense, il a toujours été là, sous le masque du plaisir dans ma jeunesse il devait déjà « compenser » quelque chose, je n en avais pas conscience… Et il s est bien installé, se rendant indispensable… Puis avec les années et les coups durs que chacun traverse j ai réalisé que je me consolais avec lui, je console mon mental et répond á un besoin purement physique, car stopper net cette drogue me met dans un état de manque incroyable… J essaye alors diverses choses (les jus, l auto hypnose…) je tiens de quelques jours á quelques semaines mais tout se réinstalle très vite malgré tout… Ces échecs répétés sont usant, et me conduisent en plus á un désamour de ma personne. Je veux pourtant me retrouver, et retrouver ou découvrir la consommation occasionnelle et plaisir du sucre, et me délester de cette silhouette qui n est pas moi. Alors je me dis que la graine du probleme est certainement bien enfouie en moi, et j ai démarré des consultations en semi hypnose…. J en ai fait deux… Et pour le moment sans résultat probant car le sucre est toujours plus que quotidiennement présent dans ma vie. Je suis aussi tres en colère contre moi, d etre tombée dans ce piège diabolique. J avoue être en découragement ces derniers temps et me sentir bien seule face à une addiction qui n est pas vraiment prise au sérieux. Vous lire me prouve que je suis loin d être seule dans ce combat pourtant ! Il faut que je trouve ma solution…
Je suis accro au sucre. Je ne peux pas vivre sans. C’est ma béquille. J’ai besoin de manger sucré tout au long de la journée et je ne sais pas vivre autrement j’ai lu le livre de Dufty et je sais que beaucoup de mes problèmes sont liés au sucre.
Ce qui me manque pour arrêter le sucre? Du courage (beaucoup) et un accompagnement bienveillant. Et des idées pour m’aider à remplacer le sucre par d’autres aliments.
Ce qui me bloque, c’est le fait de ne pas réellement savoir ce qu’il faut faire. Je suis super motivée, mais je ne sais pas quoi manger, quoi faire, ce qui arrivera vraiment,… Ca me fait peur, mais j’ai envie de tenter le coup.
Bonjour,
Moi j’ai des soucis de pancréas avec de l’hypoglycémie postprandial. Ça me donne des fringales et c’est là que je craque pour des biscuits ou du chocolat.
Idéalement il faudrait manger sans sucre rapide et avec des sucres très lent bien dosé. Quand j’y arrive je me sens mieux je m’équilibre et je perds du poids mais je ne tiens pas au long cours. Un repas un peu trop riche déclenche une hypoglycémie postprandial, puis une fringale. Un vrai cercle vicieux. Je rechute et c’est dur de reprendre le droit chemin. Ça fonctionne comme une addiction au tabac. Ma question serait si j’ai fais une fringale sucré que dois-je faire pour m’aider à reprendre un régime pauvre en sucre rapidement.
Idéalement il faudrait manger complet et associer céréales et oléagineux. Pas tout le temps, mais suffisamment pour ressourcer l’organisme au début, et vérifier en s’observant, s’il n’y a pas une intolérance au gluten.
bonjour!
j’ai voulu me lancer, mais je me suis arrêtée en vol avec un gros doute en tête…
j’allaite ma fille de 14 mois, elle mange peu et sa nourriture principale reste encore mon lait.
même si oui, bien sur, ça ne sera que du positif pour elle à terme, elle va forcément ressentir la manque de sucre dans mon lait, non?
ça ne risque pas d’être difficile pour elle?
est ce qu’il vaut mieux que j’enlève aussi complètement les sucres qu’elle peut manger elle même? (quelques boudoirs ou biscottes, même bio c’est pas encore ça…)
ou il vaut mieux que j’attende la fin de l’allaitement pour ne pas la perturber? ou alors j’y vais vraiment très progressivement?
merci pour votre aide!!! 🙂
Le lait reste du lactose, que vous consommiez ou non du sucre industriel.
Il pourra y avoir une variation entre le 2ème et le 4ème jour. Après, tout ira bien.
Pour l’enfant, évitez le sucre industriel.
Bonjour, absolument passionnant votre article, votre partage et aussi, tous les commentaires (je n’ai pas encore fini de tous les lire). Mais dans pleins, je me retrouve.
J’habite Toronto et je ne sais (plus) comment cela est en France mais je trouve les fruits, les tomates ici sans goût dans les supermarchés. Cela n’est pas très invitant moi qui ai le bec très sucré.
J’ai hâte de lire votre livre. Où en êtes-vous ? 🙂
bonjour 🙂
je souhaite commencer un sevrage du sucre, j’y pensais sérieusement mais sans savoir comment m’y prendre, vos articles m’ont donné la clé, je vous en remercie.
une seule chose me freine et m’empêche de le démarrer:
je crains la période difficile du sevrage, pas pour moi personnellement, mais pour mes patients.
J’ai l’impression que j’aurais bien du mal à rester centrée durant cette période! Je médite quotidiennement, et je suis encore bien loin d’être tout le temps en conscience…Donc sur une phase comme ça, il y a des chances pour que mon centrage parte en cacahuète, non?
et je ne peux pas voir mes patients si je ne suis pas centrée, par respect pour eux et pour moi!
qu’est ce que vous en pensez?
merci pour ce que vous êtes et prenez le temps de faire. 🙂
C’est un faux problème.
J’ai appris à développé la douceur dans des états de fatigue volontairement provoqués, remarquant que le manque de sommeil nous rend irritable. Le degré d’expertise ainsi atteint est remarquable.
Vous avez maintenant une occasion de développer l’attention et de réaliser de profonds changements.
Mais si vous partez dans votre tête pour une lutte et que vous ne respectez pas les besoins de l’organisme, alors vous serez perdante. Il ne s’agit pas de cultiver l’échec, mais d’observer les réactions de son corps pour comprendre ses besoins. C’est une expérience capitale et enrichissante.
Enfin, sachez que le sucre entraine l’agitation des eaux du mental. Les pensées sont ballotées et les émotions fluctuantes. Cet état est plus difficile à l’ancrage que sans sucre. Vous avez tout à y gagner.
merci pour votre réponse, et votre vision des choses. 🙂
je ne doute pas une seconde des bienfaits que ça peut apporter.
je vide mes placards, pose l’intention, et je m’y mets.
je vous tiendrai au courant de ce que ça donne sur mon ancrage… 😉
J’apporte mon témoignage 🙂
C’est grâce à vous, Wladislas, et à un certain youtubeur belge qui a aussi décroché du sucre que j’ai décidé de tenter ce sevrage. J’en suis au 27e jour.
Mon profil : végétalienne, « bec salé », je me suis rendu compte ces derniers temps que j’avais de plus en plus envie de Coca et autres cochonneries chocolatées, vers 11h et en fin d’après-midi. Puis, je suis tombée sur votre blog, les vidéos, j’ai lu qqs bouquins (Le sucre ou la vie, Toxic de W. Raymond) et j’ai décidé couper net.
Ca passe super bien, ce qui « me manque » le plus – et encore, plus par facilité, par confort gustatif que par réel manque physique, c’est le pain blanc.
Je ne consomme plus que du pain, des pâtes et du riz complets, j’ai viré les aliments avec des trucs en -ose, enfin bref, je ne mange presque plus que des céréales, légumineuses et légumes et fruits, plus rien de conditionné (sauf s’il n’y a pas de sucre ajouté, genre pois chiches, lentilles etc).
Résultats à ce jour : pas de symptôme physique de sevrage mais une déprime, mais alors une déprime depuis 3 semaines… C’est une tendance naturelle chez moi, je ne suis pas d’une gaité folle d’ordinaire, mais là ! Beaucoup de souvenirs qui remontent, des rêves très vivaces, des crises de larmes…
J’ai lu aussi « libérez-vous des fringales » de Julia Ross qui insiste sur le rôle des hormones sur l’humeur, le poids, etc. Elle maintient qu’un déséquilibre en certains acides aminés (qui peut être de naissance ou induit par plein de choses) peut être à l’origine de déséquilibres chimiques. Je me suis procuré de la L-glutamine, le la L-thyrosine et du DLPA, et je vais voir si cela a un effet régulateur. Je vais faire ma petite cuisine moléculaire et regarder ce qui marche !
En tout cas, sans sucre, je n’ai plus de montagnes russes dans le ventre et la tête, c’est déjà ça ! Je n’y reviendrai pas !
Merci pour vos articles – le dernier sur les additifs est très intéressant, comme toujours.
Amitiés.
Bonjour M. Barath,
Excellente idée que ce livre. J’ai lu il y a plusieurs années « Le sucre, cet ami qui vous veut du mal » et j’ai depuis essayé à de nombreuses reprises de me sevrer du sucre blanc, avec plus ou moins de succès. Je m »intéresse beaucoup à la nutrition et par conséquent j’essaie d’adopter une alimentation saine : pas de produits industriels, céréales complètes, moins de viande et de produits laitiers, plus de légumes…
J’arrive à tenir de longues périodes sans autre sucre que les fruits (frais ou secs) et un peu de chocolat noir (85% ou plus). Là où tout dérape, c’est dans deux cas :
– j’ai des soucis et besoin de réconfort (journée difficile au travail, coup de blues…)
– lors des fêtes (Noël, Pâques, anniversaire) : le sucre est omniprésent, et c’est bien difficile de résister à un petit chocolat quand tout le monde vous en colle sous le nez à longueur de journée, au risque de passer pour un rabat-joie…
Je précise que je suis une grande gourmande, j’ai toujours eu un faible pour le sucré.
Je dis que tout dérape car il me suffit d’un petit dessert à la cantine pour me « remonter le moral » pour que systématiquement, j’aie envie de remanger sucré le lendemain, et le jour d’après… Je me mets alors à feuilleter des livres de recettes ou à penser des heures durant aux gâteaux que j’aimerais manger, tout en me maudissant car c’est mauvais pour la santé (je vois bien l’effet négatif que le sucre a sur mon corps : fatigue, sautes d’humeur, troubles digestifs et cutanés). Tout mon esprit se concentre sur cette quête du sucre. Finalement, telle une toxico je craque jusqu’à en manger déraisonnablement, profitant de ce craquage pour rattraper toutes ces gourmandises que j’aime tant et dont je me suis privée au nom de ma santé et de mes convictions.
Ce qui me manque, ce serait :
– d’une part un programme de « désintox express » pour contrer une reprise du sucre… L’addiction est si forte que je dois aller jusqu’à l’écoeurement pour à nouveau le bannir de mon alimentation. Quels aliments / boissons pourrais-je consommer qui me fassent passer l’envie du sucre, une fois que j’y ai regoûté ?
– d’autre part, même en connaissant le mécanisme psychologique (besoin de réconfort), comment peut-on y résister ? D’aussi loin que je me souvienne, mes petits chagrins et bobos étaient apaisés par un bonbon que me donnait ma mère ou le pédiatre…
J’ai hâte de lire vos réponses et j’espère que mon témoignage vous sera utile !
Très bonne soirée
J’ai fait un premier sevrage partiel du 18 février jusqu’à début avril de cette année. Après, c’était Pâques, les chocolats etc…
Alors que je suis une grande grande consommatrice de sucre, du type à plonger la cuillère plusieurs fois dans le pot de Nutnut pour déguster directement, du type à descendre un paquet de bonbons très rapidement…
J’ai noté ces derniers temps que psychologiquement j’avais moins besoin du « doux ». Ma consommation était devenu moins psychologique, et plus organique. Donc j’ai profité de cette ouverture, de ce « possible » pour envisager réduire. Je crois que ce point est ce qui me gêne le plus par rapport à mes enfants notamment: moi j’en suis à ce point-là, je sais qu’il y a une porte ouverte, mais et si les personnes qui m’entourent ont un besoin psychologique, comment je peux les aider?
J’ai noté comme bénéfices (élimination de tout ajout de sucre blanc ou brun, du miel, des céréales raffinées- j’ai conservé les fruits à haute dose, et les fruits secs pour les fingales, type raisins secs et dattes):
– des cycles menstruels beaucoup plus doux
– réduction de sécrétions au niveau des sinus, réduction de manifestation de sinusite chronique
– à un certain moment, d’une manière très diffuse, une plus grande harmonie/sérénité
Et comme désavantages:
– irritabilité ++++
– déprime (à me demander si je faisais une dépression), vraiment dégoût de la vie
– fatigue
Qu’est-ce qui me bloque?
le « besoin », le sentiment de nostalgie/tristesse, peut-être l’enfant intérieur qui demande le « doux », le « tendre ». La sensation d’être déprimée, de n’avoir envie de rien.
Qu’est-ce qui me manque?
Des informations stables et claires. Je me sens extrêmement désorientée, avec beaucoup d’informations contradictoires sur des régimes très différents. Je cherche le ou les régimes adaptés pour mon cas particulier, mais je ne sais pas à qui faire confiance pour ça. Je me sens un peu paranoïaque! J’ai l’impression que des fois certains professionnels ont un « cheval de bataille », et du coup ne voient que ça, et m’appliquent le discours stéréotypé sans me voir, moi, comme personne.
Jusqu’à présent, j’ai toujours dit depuis très jeune: « je fonctionne au sucre » (d’autres fois j’ai même dit « c’est comme le poison: si tu en prends petit à petit, ton corps s’habitue! Alors j’ai habitué mon corps! »). Parce que c’est vrai, parce que je n’ai jamais grossi malgré les kilos de sucre que j’ingérais. J’en avais besoin, je me faisais plaisir, et ça m’allait apparemment bien! Et là je suis désorientée car j’ai décidé d’arrêter en voyant mon comportement compulsif, mais techniquement je continue à ne pas avoir de problème de poids, ou une grave maladie qui justifie d’arrêter, et quand les gens me demandent pourquoi j’arrête, cela me déstabilise!
Et c’est assez difficile que les gens me prennent au sérieux quand je leur dis qu’avec le sucre je suis assez agressive. Je m’indigne pour tout, comme si je devais partir en croisade personnellement contre toutes les injustices du monde, et je m’épuise.
Bonjour,
l’an dernier, afin d’enrayer des problèmes digestifs et de transits, nous avons suivi, mon compagnon et moi-même, un régime anti-candidas. Nous avons donc supprimé le sucre, en plus du lactose et du gluten que nous ne consommions déjà que très rarement. A savoir, sucre blanc, sucre rapide, dont les fruits pendant 4 mois. Nous mangions par contre les sucres lents comme les féculents. Avec les beaux jours et les fruits de saison qui arrivaient (et que j’adore) nous avons doucement réintroduit les fruits. Le régime était difficile et au début pas mal de frustrations et d’envies extrêmes (gros gâteaux, pizzas etc) mais par la suite un confort physique et une pêche physique retrouvée, presque jamais d’envie de sucre! Après cette période j’ai trouvé les desserts mangés chez des amis ou au restaurant beaucoup trop sucrés et écœurants. Par contre rapidement des envies de sucre en genre est revenue venue, j’en avais pas comme ça avant ce régime. Nous n’avons pas repris la consommation de lactose ou de gluten (sauf exception si invitation pour pas se couper socialement), mais aujourd’hui j’ai des envies compulsives de sucre que j’ai beaucoup de mal à réfréner.. j’en arrive parfois à manger des « cochonneries » qu’il y a dans les distributeurs ( barres chocolatées, etc.. ) choses qui ne n’avait jamais attirée depuis mon adolescence!! je suis arrivée à me demander quels éléments addictifs les fabricants pouvaient bien mettre dans leurs produits! Si vous avez des conseils pour retrouver un équilibre je suis preneuse.
Belle journée
Bonsoir
Me concernant l’addiction au sucre causerait un trouble alimentaire rare et curieux, le night eating syndrome….. Se lever dans un état somnambulique et ingurgiter n’importe quoi a n’importe quel prix, surtout du sucre…..
Après des années de recherche dans tous les domaines (alopathie. Homéopathie, psychiatrie, psychologie, acupuncture, somathopathie, ostéopathie, hypnose, cadenas au frigo et placards…..)
Un soir sur un forum quelconque une dame explorait cette piste et les vertus du régime à faible index glycemique….
Les crises s’estompent quand bien suivi
Courage à tous
Que est le liens entre l’envie du sucre et le process inflamatoires du type allergiques et l’astma?
Bonjour à tous
Je suis une intoxiquée du sucre. Il m’en faut, et les fruits ne compensent pas. Je viens de finir ma compote sans sucre et je trouve qu’il lui manquait un petit quelque chose. J’ai besoin de sucre même quand je ne suis pas sous le coup d’une émotion. Je suis boulimique hyperphage. Je ne sais pas comment m’en sortir, comment sortir du sucre et de la nourriture doudou.
Au secours !
Merci Wladislas pour votre merveilleux blog !
Voici mon témoignage au sujet du sevrage au sucre.
J’ai réussi mon sevrage ! Pourtant j’étais très gourmande, ce n’était pas gagné d’avance.
Voilà comment :
– tout d’abord, j’ai suivi certaines recommandations du régime Seignalet, en supprimant les produits laitiers, les céréales raffinées, et le sucre,
– ensuite, je remplace un repas par jour avec le Miam-o-fruits de France Guillain. C’est très sucré au goût, pourtant aucun sucre n’est ajouté. J’ai l’impression que cela permet de satisfaire mon envie de sucré, tout en me faisant du bien avec les aliments vertueux qu’il contient.
Une fois ces habitudes installées, tout change très vite. J’adorais faire et manger des pâtisseries, et en quinze jours seulement, l’envie m’en est complètement passée.
Les difficultés que je rencontre :
– continuer à faire à manger « normalement » pour sa famille, surtout que mon envie de cuisiner a diminué fortement,
– manger quand on n’est pas chez soi (vacances…),
– maîtriser les risques de carences.
Les avantages :
– des petits bénéfices santé au quotidien, que je ne vais pas détailler ici car cela dépend du métabolisme de chacun.
Voilà, en espérant que mon témoignage soit utile à d’autres !
J’ai supprimé les produits laitiers et le gluten depuis le mois de janvier. J’ai remarqué depuis que je n’ai plus de fringales de produits sucrés et que je suis plus calme, moins « sous pression ». Avant je n’arrivais pas vraiment à me détendre. Du coup j’ai beaucoup moins de manifestations d’hypoglycémie et le cercle vicieux est brisé. Quand j’ai vraiment une envie de sucré, je prends un ou deux fruits secs avec des amandes ou des noisettes.
De plus je sens que je dégonfle tranquillement au niveau abdominal je peux fermer mes pantalons sans problème alors que ce n’était plus le cas depuis des semaines. On trouve de plus en plus de pain sans gluten, c’est génial !
Ca m’intéresse beaucoup de lire le futur livre, j’ai 60 ans et comme tous mes contemporains je me suis gavée entre autres de coca et de Haribo dans mon adolescence, on nous tuait vraiment à petit feu !!! Du coup j’étais en permanence dans la peur de la crise d’hypoglycémie qui me laissait H.S.
Merci pour vos newsletters !
Pour répondre à vos questions.
Je suis accro au sucre, j’ai déjà essayé une fois de ne pas en consommer durant 24 heures, j’ai été tellement mal que j’en ai vomi (Ce qui ne m’arrive jamais), j’ai bu un chocolat au lait et tout est revenu à la normal.
Dans la journée, j’ai souvent faim, mais je sais que c’est comme illusoire, j’ai juste besoin d’une dose de sucre et ça va mieux. Le soir, je mange souvent des petits-déjeuners car je n’ai faim que de sucre.
Je sais que ce n’est pas bon, j’ai par exemple tout le temps froid, je mets beaucoup plus de temps que les gens normaux à me réchauffer, et je mets toujours le chauffage à fond.
La tentation est partout et il me parait complètement inconcevable de ne plus manger de Nutella…
Bonjour,
oui j’ai beaucoup de problème pour ne pas succomber aux sucre, quelques jours avant mes règles, mais vraiment le mauvais de chez mauvais sucre style fraises haribo la honte à 47 ans. Le reste du temps j’arrive plutôt bien à gèrer.
J’ai environ neufs fibromes utérins qui saignent énormément, début d’année j’ai eu une opération qui à fait baisser les saignements mais les fibromes sont toujours là. J’ai l’impression que cela a a voir avec cette envie de sucre.
Merci à vous
PS.
2 semaines sans sucre bien sûr, pourquoi j’ai écrit 3 ???
Un lapsus peut-être, je me projette trop en avant.
Je passerai donc à 1 mois de sevrage pour donner de mes nouvelles et fêter cet anniversaire (j’espère) – bon week end non-sucré à tous
Bonjour,
je reviens vers vous- cela fait du bien. Pour moi- 3 semaines sans sucre !
Virginie, c’est terrible que tu as replongé au bout de deux ans…et moi qui me dit qu’au bout de 6 mois je serai sevré, tranquille…pffff…
Je croise fort les doigts pour toi (si tu te décides de re-arrêter). Pour ma part, même si je replonge- une bouchée, une journée, des mois- je sais maintenant que je recommencerai toujours. Chaque jour « gagné » vaut le coup.
Je me suis battu toute seule 15 ans avec la boulimie, j’ai gagné, je vaincrai le sucre aussi. Amen.
Ptit Bou, pour moi c’est exactement comme tu écris, et comme toi donc,je me suis retrouvé complètement dans le témoignage de N.Mowbray.
Comme elle, je savais que je ne pourrais pas diminuer progressivement (essayé à peu prés 10000002598466222 fois), que ce serai plus facile de couper court.
Pour les « moments d’envie » je prévois yaourt grec avec b. de cannelle, noix de cajou, des petites tartines de pain des fleurs au purée de cacahuètes…(j’évite quand même tout en même temps, hein).
Bon sevrage à tous (Ptit Bou, vu qu’on a commencé presque ensemble, on se tient au courant? 😉 ), à dans trois semaines pour le bilan de 6 semaines, courage, on suit la bonne route! 🙂
Mon cas est un peu différent : j’ai réussi à me sevrer du sucre il y a près de 2 ans. Et malheureusement cette année à Noël, j’ai dérapé sans réussir à reprendre le contrôle. A présent c’est comme si mes 2 ans d’efforts étaient réduis à néant ; j’ai le sentiment de devoir tout reprendre à zéro, et que c’est beaucoup plus difficile qu’à l’époque. Je n’y arrive plus.
Bonjour,
Sa fait tres longtemps que je suis pas venue visiter votre site, ni vous avoir ecrit pour vous donner de mes nouvelles,desoler de plus j’avais promis de vous donner mon experiences de jeune a l’eau uniquement (que j’ai pas fait 😉 ) ainsi que celui a base de jus de legume et fruit uniquement. que j’ai fait pendant 5 semaine
Pour parler du Sucre, je peut le dire je suis completement « guerrie » , malgres moi car j’ai pas chercher a me sevrer, juste a perdre du poids et sortir de mon obesiter c’etais mon objectif, et maintenant je me passe completement de sucre a par celui des fruits frais, c’est les seuls sucre que je consomme, le reste (sucre dans le cafe, chocolats, gateaux, bonbon, boisson sucree…) ne me fait plus du tout envie. C’est une grand victoire pour mois car j’ai beaucoup gagnee en sante et en energie, et heureuse d’etre sortie de l’obesite
J’ai une addiction au sucre depuis mon enfance même si j’ai toujours su contrôler mon poids et ce goût du sucre ,la difficulté c’est qu’aujourd’hui je souffre d’une maladie hormonal !! un BASEDOW -GRAVES ça a commencé par une hyperthyroidie avec grande perte de poids qui a évoluée vers une hypothyroidie ou j’ai pris 25kgs rapidement j ‘ai un besoin de sucre plus qu’a mon habitude cette maladie vous fatigue beaucoup et vous perdez votre énergie j’ai de grandes fringales DE GROS COUPS DE POMPE je voudrai trouver une solution !!! j’ai essayé le jeune thérapeutique mais trop de frustrations ; j’ai craquée au bout de 4 jours de jeune hydrique .même si je me suis senti mieux c’est impossible pour moi sur la durée . Donnez moi la solution pour supprimer ce goût sucré ;JE VOUS SOUHAITE DE TROUVER LES CAUSES de cette addiction ; un poison pour notre santé .
CORDIALEMENT
EVE
Bonjour,
Merci pour votre blog et vos articles. Je souhaitais apporter mon témoignage, à toutes fins utiles sur ma relation avec le sucre.
J’ai la quarantaine légèrement passée. Je souffre de colopathie depuis des années et je suis un ‘tantinet’ anxieux. Je multiplie les pathologies grâce à ce cocktail détonnant et j’admets volontiers que l’anxiété en amplifie les symptômes (voir les crée).
Sachant que les pâtisseries industrielles sont un cauchemar pour ma colopathie, j’ai commencé, avec l’aide d’une nutritionniste à essayer de régulariser l’inflammation de mes intestins (magnésium et probiotiques de chez Pileje) et réintroduire doucement les légumes dans mon alimentation.
Ces deux dernières années, pour de mauvaises raisons, j’ai cumulé du retard de sommeil. D’une part car envie de prendre du temps pour moi, d’autre part, envie de ne pas me réveiller anxieux à 4h du mat. Du coup, lorsque je tirai le plus sur la corde, genre couché entre 2 et 4h du mat et levé tant bien que mal à 7h, j’avais des appels de sucre à différents moments de la journée. Généralement après le repas de midi, parfois vers 16-17h et le soir vers 23h, le tout bercé par une fatigue écrasante en particulier vers 19h.
Depuis quelques semaines j’ai entrepris de me reprendre en main en mettant le sommeil au coeur de l’amélioration de mon corps et probablement de ma tête aussi, en espérant améliorer par là même mon alimentation, donc ma colopathie, donc mon anxiété… et peut-être pourquoi pas, me sentir un jour enfin bien dans mon corps.
Depuis que je dors d’avantage (couché 23h-1h, levé toujours à 7h), et bien je suis moins fatigué (si, si !) même si c’est encore difficile (lever fatigué comme avant le coucher), et j’ai moins d’appels de sucres.
Malheureusement étant dans une période particulièrement anxieuse à cause d’un enchainement malheureux d’incidents (antibio qui m’ont détruit les intestins et mauvaise chute donc conséquences anxiogènes pour moi (hemorroides en particulier), je ne suis pas vraiment dans une période satisfaisante pour juger de l’impact de ce changement de sommeil sur mon alimentation, mais j’ai la sensation que le lien entre les deux est direct.
Par ailleurs, j’ai arrêté le magnésium depuis quelques mois et je compte le reprendre après avoir lu votre article sur le sujet afin d’en mesurer les effets dans cette période pénible.
Voilà, cela vaut ce que cela vaut, mais chez moi, je sens une relation entre sommeil-anxiété-sucre. Me reste à trouver le moyen d’équilibrer tout ça.
Je viens également de lire No sucre de Nicole Mowbray, je l’ai dévoré en une journée ! C’était il y a 3 jours et je n’ai pas touché au sucre depuis. Son approche me correspond totalement. Son rapport au sucre était le même que le mien (compulsif, jusqu’à aller récupérer un bout de crumble dans la poubelle…) Chaque fois que j’ai une envie, je lis un passage de son livre (ou de ce blog). Régulièrement elle cite les bienfaits ressentis depuis son sevrage (il y a deux ans): moins de fatigue, de kilos, une plus belle peau, moins d’angoisse (oh oui ! ).
Elle dit bien aussi de supprimer les pommes de terre, qui ont un IG haut, donc qui augmente la glycémie au même titre qu’un gâteau. C’est ce genre d’informations qui me manquaient je pense: la place des féculents. Oui, non, lesquels, combien ?!
Un bon conseil pour tenir c’est également, en plus d’ajouter des légumes à tous les repas, d(augmenter sa consommation de protéines (de qualité tout en alternant végétales et animales) et de bonnes graisses (huiles, oléagineux, …)
Bon courage à tous, la route est longue mais en vaut visiblement la peine ! Quand on sait que le sucre joue aussi sur l’humeur et peut-être responsable des crises d’angoisse et de la dépression, je compte bien tenir !!!
Bonjour,
J’ai arrêté le sucre avant-hier. Toutes les sucres possibles- pâtes, riz blanc y compris… Je mange les fruits qu’au petit déj.
Ce ne sera pas facile.Je suis (non, J’ ETAIS!) une grande consommatrice de sucre: « je mangeais mes émotions », comme on dit. En plus j’adore faire la pâtisserie et pour compliquer encore des choses- j’ai trois enfants grands consommateurs du sucre.
Je n’ai fait que ça dans ma vie- de me battre avec la nourriture. Périodes de sport à l’outrance, 15 années de boulimie (entre 20 et 35 ans), une approche plus zen des dr Zermati et dr Apfeldorfer à laquelle j’ai essayé d’adhérer (sans succès, mais néanmoins je suis toujours persuadé qu’ils détiennent LA vérité sur la nutrition), quelques régimes au passage, et j’en passe…
Ce n’est que maintenant, à 46 ans que je commence à prendre conscience que le sucre est un vrai poison. Le livre « No sucre » de Nicole Mowbray que je viens de finir a été mon déclic.
Je suis motivé à mort, mais malgré ça, je sais que je ne peux pas me faire confiance à 100%, donc j’ai peur.
Mais j’y crois, il me la faut, cette victoire.
Je sens par tout les pores de mon corps que le sucre m’empoisonne. Ces satanés bourrelets, irritabilité, somnolence, des douleurs diverses, la qualité de la peau et des cheveux, des maux de tête…C’EST LUI!
Très sincèrement, j’espère que j’arriverai et je suis vraiment impatiente de découvrir une nouvelle vie et une nouvelle moi – sans sucre 🙂
Merci de nous lire et bonne chance pour le livre!
Bonjour,
Merci pour cette possibilité de s’exprimer sur ce sujet!
De mon côté, étant en pleine bataille contre des TCA (Binge Eating Disorder et autres joyeusetés), je ne sais pas si c’est une dépendance au sucre, au sel, aux noix, ou simplement pour être précise, à toute la nourriture. J’ai des crises de salées comme de sucré malheureusement…
Le sucre, je contourne. J’évite les produits tout faits (dur pour le chocolats, parfois (souvent) je craque!!!), je fais beaucoup « maison » et je choisi des sucres à IG le plus bas possible : sucre de coco, Rapadura, sirop d’agave, fruits sec…
mon vrai problème, c’est lorsque la crise commence, je mange d’abord les choses « raisonnables », et si je n’ai plus rien sous la main (comme au bureau), je tombe dans le grignotage banal… chocolat ou autre, ou tout simplement 15 figues sêches à la fois alors que 2 ou 3 suffiraient. le sucre appelle le sucre, et le « bon » sucre aussi. Chez moi en tous cas…
Du coup, là ou je bloque… eh bien, je n’arrive pas à entraver ces crises. Mon mental ne suffit plus.
Des alternatives, j’en connais un paquet : les sucres cités plus haut, la VRAIE Stevia, le VRAI xylitol, tout ça tout ça…
(Mais dans mon cas à moi, le problème n’est pas là, il provient d’avant, de mon rapport conflictuel à la nourriture,)
Pour ceux qui cherchent à se débarrasser du mauvais glucose, il y a des solutions je crois, des alternatives. Certes un peu plus chères mais cela peut être une bonne motivation pour baissert la consommation aussi !
Peut-être que de mieux connaître les dégats que cause le sucre (j’ai été marquée malgré tout par « le sucre ou la vie ») nous aiderait…
Peut-être que prendre conscience de ce que nous apporte le sucre (réconfort, passe l’ennuie, ou autre) nous aiderait à voir ce que l’on doit changer en nous pour ne plus avoir besoin de cette compensation alimentaire…
J’ai l’impression que dans notre société, nous sommes tous accro à quelque Chose, pour combler quelque Chose.
Le sucre est une Chose, l’humain dans son contexte en est une autre…
J’aimerais voir un livre qui nous parle de nous, et j’ai l’impression que c’est ce que vous voulez écrire. Pour cela et pour tous vos articles fondés, merci! et bonne continuation.
Mon petit-fils de 6 ans est accro déjà au sucre et je pense que son TDAH et sa dyspraxie ne vont pas s’arranger si ses parents ne prennent pas conscience que seule une alimentation riche en graisses originelles (Taty Lawyers, Natascha Campbell), avec exclusion du gluten et des produits laitiers, permettra de réparer sa dysbiose , lui enlever ces envies de sucre et apaiser son système nerveux ainsi que ses angoisses. J’essaie de passer le message (beaucoup de résistances, on préfère faire l’autruche), je teste aussi quand je peux l’avoir quelques jours et je constate une amorce d’amélioration hélas de courte durée puisqu’il retourne à son alimentation habituelle toxique. Tout ce que vous publiez me parle énormément puisque j’étudie depuis dix ans environ toutes les alternatives naturelles pour recouvrer une santé altérée non par une hygiène de vie défaillante mais plutôt par une gestion du stress et des émotions totalement erronée. J’étudie aussi la radionique, la radiesthésie, la numérologie, le tarot (mon mari est magnétiseur) dans le cadre de notre association (ARMA, radiesthésistes et magnétiseurs de l’Ariège). La méthode TIPI ressemble beaucoup à celle que vous décrivez mais avec un nom différent ; revivre sensoriellement, c’est le propos de cette méthode, qui implique de lâcher prise sur le mental, et c’est là la difficulté majeure. Merci pour votre partage.
je n’arrive pas à manger sans sucre. ce n’est pas bon. un café sans sucre, un thé sans sucre. j’ai besoin en fin de repas d’un dessert sucré. Je craque devant le chocolat et les bonbons enfin tout quoi. Si je savais ou est le blocage , et si je savais ce qui me manque je n’aurai pas besoin d’aide.
Merci – Cordialement
Lilianne
Bonsoir
très bonne idée pour se livre le sucre touche toute génération confondu aussi bien homme que femmes j’ai énormément de mal a me seuvrer du gout sucré mais j’ai remarqué une chose éliminé le quand vous adoptez un régime et la la chute de vos kilos sera spectaculaire associé a une marche quotidienne de 3 km 5 (sauf le dimanche) sait le ticket gagnant mais si comme moi vous retomber dans le panneau de replonger de temps a autre je ne reprendrais pas de poids grâce a la marche mais je n’en perdrait pas non plus alors existerait il un compromis entre sucre raffiné et ceux dit naturel ex: miel stévia sirop de cactus etc…. ainsi que les sucres dit lent qui depuis peut ne le son plus ? ex: les feculent Thierry
Bonjour,
J’aime assez tout ce qui est sucré, sans être totalement addict et en restant quand même raisonnable… Mes questions seraient : quelles sont les différentes catégories de sucre, lesquels sont bons, moins bons ou carrément pas bons du tout, quelle quantité est raisonnable etc.
Mes problèmes de santé sont : arthrose & tendinites, fatigue récurrente, difficultés intermittentes à me concentrer, troubles du sommeil…
A ce sujet je pense en apprendre un peu plus le … 05 mai 2015 à 14H00 ! 🙂
Cordialement,
Claude
Bonjour,
Accro au sucre de longue date, en duo avec ma compagne nous arrêtons »les » sucres depuis 1 mois et une semaine…bien décidé cette fois ci de faire l’expérience jusqu’au bout… mais… au bout …y aura t il une tranquilité face aux multiples tentations et seront nous comme un alcoolique repenti qui ne doit plus j a m a i s reboire de l’alcool.
Pour encourager les hésitants ,déjà quelques points positifs: une plus belle peau, 2kg en moins,
et une sensation de fraicheur, de liberté du corps!
Merci de faire un livre sur un sujet si important!
jean paul
Bonjour
Personnellement je confirme être une addict au sucre. D’ailleurs même dans les périodes où j’essaie de ne pas en manger je finis toujours pas en introduire dans mon alimentation. Je ne sais pas si mon avis peut être interessant car je souffre en plus de troubles du comportement alimentaire. Il y a cette espèce de dépendance à la saveur sucré et tout ce qui fait partie des « colles affectives » (pains, gâteaux, patisseries, etc…). Je sais que le gluten and co ce n’est pas du sucre pur mais j’y vois réellement un lien. C’est un peu comme si les deux se complètent et s’alimentent l’un l’autre. Dans ma dépendance je ressens clairement une envie irrépressible (je me sens esclave de mes dépendances) que je n’arrive pas à réprimer puis souvent je vais dans l’excès et là je sens comme écoeurrée, répugnée mais la fois d’après je recommence. La dépendance au sucre c’est un peu comme la dépendance au tabac (je suis une ancienne fumeuse!). Il y a cette notion d’une tension qui se créé (le manque) qui grandit (ça s’intensifie ++) et il faut absolument satisfaire, relâcher cette tension (manger quelque chose, manger « sucré »), une fois le produit consommé je ressens réellement une décharge d' »extase » pendant quelques secondes puis aussi cette sensation très nette que la tension est relâchée ». Puis arrive une phase de regret: regret de se sentir aussi misérable face à cette dépendance (incapacité de n’avoir pu dire non) mais aussi sentiment du désordre que ça provoque (manque d’appétit, fatigue, agitation, fringales subites, chutes de tension)… C’est du plaisir/déplaisir. Peut-être qu’une consommation limitée peut être assez saine mais personnellement je suis dans l’instabilité et l’extrême.
Avec le sucre je vois ma difficulté énormissime à me séparer de quelque chose de l’ordre de l’affectif et du « compensatoire » (sans doute un lien avec des blessures et carences affectives profondes). Je sens bien qu’il y a là une difficulté à « grandir », à me libérer et être pleinement moi-même.
Je réfléchis depuis plusieurs mois à m’inscrire dans un centre pour faire un jeûne d’une semaine. Je voudrais me confronter à moi même, faire le vide au sens propre et au sens figuré, donner un peu de repos à mon corps, lui permettre de se nettoyer, de se libérer… Découvrir ce qu’il est possible d’éprouver quand le corps n’est pas noyé sous les sucres (lents ou rapides), découvrir ce qu’il y a derrière le « voile », essayer d’approcher un état « conscient » sans être sous l’effet de cette « drogue ».
Paradoxalement je suis très angoissée à cette idée, je suis tellement dépendante que je n’arrive même pas à imaginer être capable de ne pas manger ou prendre de nourriture/saveur sucré… Je suis terrorisée à l’idée de me sentir vide, vide que délibérément je devrais laisser tel quel…
Je n’ai pourtant aucun doute quant au bien-être et le positif qu’apporterait l’affranchissement de cette dépendance…
Hâte de lire votre livre…
Oh Pauline…
comme je vous comprend… je vie la même situation, je me reconnais dans ce que vous décrivez…
Si vous avez envie de discuter à ce sujet, vous pouvez m’envoyer un mail happyness_89@hotmail.ch
Il est parfois agréable de pouvoir parler à des personnes qui vivent la même chose, qui vous comprennent… je n’ai aucune attente, sentez-vous juste libre ! belle journée à vous 🙂
Je suis accroc depuis toute petite, par pulsion et n’ai jamais réussi à m’en passer. Je ne sais pas ce qu’il faudrait…
EN tout cas, en cas de stress, d’ennui, de colère… bref d’émotion forte et négative je me jette sur gâteaux, chocolats…
mais que faire?
Bonjour Monsieur,
Pour des douleurs au niveau de la nuque, du dos avec de fréquente sciatiques, j’ai consulté un chiropracteur.
Ce dernier m’a conseillé, car il s’est vite aperçu que j’avais aussi de l’eczéma, d’arrêter la consommation de lait et de gluten.
Quand je suis ce régime, mon état général se transforme vite, avec, en prime, un regain d’énergie et un état psychique plus « léger et joyeux », moins pessimiste.
Pour ma part, ce régime entraine une privation des aliments que j’adoraient (pain, pate, croissant, fromage, gratin, pate au fromage et bien d’autres…) mais ce régime reste pour moi très facile a faire vu le bénéfice ressenti.
Pour combler ce manque, il reste les aliments sucrés mais j’ai bien pris conscience que le sucre est néfaste pour la santé lui aussi. Par le suite, mon chiropracteur m’a conseillé d’arrêter les aliments sucré également mais cela reste pour moi difficile.
J’ai diminué ma consommation mais n’arrive pas a arrêter totalement.
Le plus difficile pour moi est d’arrêter le sucre dans le café car pour moi, c’est la boisson « plaisir » par excellence.
Je met 1/2 sucre de canne par tasse et en consomme environ 3 à 4/jours
Le matin, c’est l’idée de boire un bon petit café qui me donne envie de me lever mais sans sucre, plus le plaisir de cette boisson, au contraire, et j’avoue que malgré mes recherches, je ne suis pas arrivé à trouver la boisson non sucrée qui pourrait le remplacer.
Boire un café sans sucre n’apporte pour moi aucun plaisir et je préfère alors ne rien prendre du tout, comme le thé ou les tisanes d’ailleurs mais sans café sucré, je ressent comme un manque, une frustration au plus profond de moi.
Par contre, dans la journée, j’arrive très bien a me passer des aliments sucrés.
J’espère un jour avoir votre force pour cesser toute alimentation sucrée mais c’est comme si prendre un peu de sucre allait me donner de la force pour affronter les difficultés de la journée. C’est se faire plaisir, prendre soin de soi pour pouvoir ensuite donner aux autres (je suis infirmière) c’est un peu un aliment « doudou ».
Merci pour tous vos précieux témoignages et conseils qui me motivent pour avancer dans le changement de mes habitudes alimentaires
Christine
Une petite vidéo d’un gars qui était en surpoids et qui s’est sevré, c’est très bien fait : https://www.youtube.com/watch?v=9PTzuXdbddI
Bonsoir,
J’ai actuellement 17 ans. Cela fait maintenant 3 ans que j’ai décidé de me tenir à carreaux… A chaque fois même scénario: je suis hyper motivée les 2 premières semaines, puis je fais un petit écart et là le DRAME ! Je ne me tiens plus ! Ce qui fait que j’ai pris presque 10 kilos en 3 ans et cela est juste inconvenable. Certes j’étais en pleine croissance et l’adolescence est assez traitre pour les filles mais je ne comprenais en quoi étais-je différente des copines minces du collège et j’ai eu une révélation: j’étais dépendante, complètement accro aux sucres ! Les symptômes dus au sevrage du sucre les 2 premières semaines me mettaient dans un état lamentable, pires que l’arrivée de mes chères règles, je tombais dans la déprime, je doutais de mes capacités et tout me semblait impossible à surmonter. Voulant être plus mince je continuais ma méthode du je ne mange plus et je me goinfre après. Conclusion: j’ai presque 10 kilos à perdre aujourd’hui et une motivation alternant entre 100% et 0%. Ne voulant pas retourner dans mes « vieux » travers je me suis renseignée sur les moyens de me stopper dans ma chute vers l’enfer du sucre. Pas de solution miracle, c’est surtout un effort de volonté ! J’ai beaucoup appris grâce à la magie d’Internet et dès demain je commence ma nouvelle alimentation 🙂 je ne pensais pas dire cela un jour mais j’ai hâte d’être priver des sucres en tout genre !
Merci d’écrire ces articles aussi enrichissants et motivants !
Bonjour,
Un livre qui peut aider pour découvrir quel type de dépendant au sucre ns sommes qui résume en fait les choses : Decrochez du sucre dr Jacob Teitelbaum. Les test déterminent 4 profils (hormonal surrénalien candida dépendants aux substances énergisantes) et donnent les solutions pour vaincre cette dépendance. Je le trouve très bien fait il est a 15,90 euros.
J ai une question souvent on trouve sur les jus de fruits même sur la puree d amande bio, lait de riz…. sans sucres ajoutés ou purs soit disant : glucides dont sucres .. Cela veut dire quoi ? Sucre naturels ou rajoutés de manière masquee ? Merci pour cet éclairage.
bonjour, pour ce qui me concerne j’ai une addiction au chocolat sous toutes ses formes
j’ai réussi il y a quelques mois a supprimer le sucré de mon petit déjeuner le matin, ce qui m’a permis de perdre du poids (même si je n’avais pas réellement de problème sérieux d’obésité),
mais actuellement même si je n’en consomme pas le matin je ne peux m’empécher de manger du chocolat exagérément le soir par ennui devant la télévision.
si j’achète une plaque de chocolat je la mange entièrement dans la soirée,
pour cette addiction au chocolat, j’avais pourtant réussi à diminuer sérieusement ma consommation.
je me sens parfaitement bien quand je mange équilibré : mes repas comportent protéines et légumes, ainsi que fruit, yaourt soja, lait de soja, de coco ou de riz, des potages maison, le matin également protéines, yaourt soja nature accompagné de fruits rouges ou noirs, baies de goji, le plus en cuisine vapeur, et très peu de féculents.
je ne consomme ni laitages ni gluten, atteinte de la maladie de Hashimoto et donc intolérance au gluten et lactose.
je confectionne mes pains moi-même
Bonjour,
J’ai eu des problèmes de santé, notamment à cause de l’addiction au sucre, mais aussi à cause de certains dogmes de notre société (TCA), et j’écris moi-même un livre sur sujet. Je ne pourrais pas dire ce qui me manquait ou me bloquait, mais ce qui m’a surpris.
Voulant limiter mes apports en nourriture saturée d’additifs, j’ai voulu limité le plus possible les aliments transformés, et j’avais encore des troubles à cette époque. J’ai donc privilégié l’ajout de sucre plus sains, dans mes aliments. J’ai pris du miel, du sirop d’agave, du sirop d’érable, le plus possible bio. Et ce sucre plus sain, ajouté à ces aliments limités en additifs (yaourts natures entiers, brioche maison, pas de biscuits, pas de plat pré-cuisiné, etc…) m’a changé le palais.
Dorénavant, je n’aime plus les biscuits secs qu’on peut avoir dans nos placards, ni tous les produits de mauvaise qualité. Dans le même temps, mon palais a appris à apprécier les aliments sains, et rationner les apports en sucre. Attention ça ne guérit pas des TCA, çà c’est autre chose. Mais pour une « accro de la bouffe », voir que le sucre n’a plus une place aussi importante dans sa vie… C’est une petite révolution.
Aujourd’hui (grâce à l’hypnose), je suis guérie. Et le sucre ne fait plus partie de mes habitudes alimentaires. J’aime toujours son goût quand il est bien rationné et de qualité, mais je n’en achète plus. Il devient presque une exception quand on a des invités.
Voilà, j’espère que je vous aurais aider un peu.
Bonjour Marion,
étant en pleine bataille contre les TCA, votre témoignage m’intéresse… pourriez-vous m’indiquer le nom de votre livre svp? avez-vous tenu un blog, ou bien parlez-vous de ce sujet quelque part sur le net?
si vous ne souhaitez pas répondre sur cette page, je serais ravie de recevoir un email happyness_89@hotmail.ch
Bonne fin de journée à vous! 🙂
Belle idée que celle d’écrire un livre sur le sucre. Pour ma part je suis sensibilisée à cela depuis pas mal de temps et non accro au sucre. Par contre j’aime énormément les fruits, oui c’est aussi du sucre… Il y a sucre et sucre ! J’ai lu le livre de Danièle Starenkyj qui s’intitule « Le mal du sucre ». Elle décrit bien ce dernier comme étant une drogue.
Par ailleurs, le cerveau a besoin de sucre pour fonctionner.
Dans les magasins d’alimentation biologique, on trouve une multitude de sucre alors quel est le meilleur choix ? Les desserts sont-ils nocifs ? Les préparations « sucrées-salées » ?
Je vis depuis longtemps à la Réunion, île où la principale culture est la canne à sucre. Ici, il y a 4 fois plus de diabétiques qu’en France métropolitaine et une montée fulgurante de l’obésité.
Au plaisir de découvrir votre livre prochainement.
Bonjour,
Pour ma part, je ne suis pas accro au saccharose ni même aux produits sucrés industrialisés et je ne consomme presque qu’aucun produit transformé. Mais aimant quand même le goût sucré, je me rabats sur le miel, les dattes (et occasionnellement le sucre de coco pour les préparations, gâteaux…). À ce niveau là je suis accro !!! Même si ces aliments sont plus naturels, ont-ils les mêmes effets sur le cerveau et la santé en général ? Comment s’en passer, ou quelle quantité peut-on tolérer? Vos réponses me seraient très utiles, j’ai beaucoup apprécié les articles que vous avez publiés sur ce sujet et d’autres.
Dernière question : vous parlez de combler une carence en vitamine B avec des cérérales complètes et crues bien sûr. Mais je n’ai pas vraiment compris comment vous les consommez, faites-vous un porridge cru avec les graines préalablement mixées et trempées pendant un certain temps ? J’ai acheté du millet brun complet et de l’orge mondée mais je ne vois pas comment les consommer crus ? En flocon je ne suis pas sûre que les céréales soient complètes (je me fournis aussi au Biocoop). Merci pour vos réponses.
Bonne écriture pour votre livre, il sera sûrement très instructif !7
J’apporte ici mon petit témoignage concernant mon sevrage au sucre 🙂
Je ne saurai dire si je suis réellement « sevrée » mais les crises d’envie sont beaucoup moins fréquentes (voir quasiment disparues depuis quelques temps), alors qu’elles étaient quotidiennes depuis de nombreuses années.
J’ai toujours été habituée à manger très sucré, dès toute petite, (petit dej’, desserts, goûter… du sucre raffiné bien sûr, du nutella en quantité… enfin bref) et j’ai toujours eut une préférence au sucré. (à choisir à un plat salé, je me dirigeais automatiquement vers le sucré).
Au point d’en faire des crises d’envie de sucre. C’est dans ma tête qu’on me disait… mais non, mon corps me le réclamais et j’en souffrais. Une vraie droguée! Il me fallait ma dose, ou j’avais des crises de stress, des vraies crises de manque!
J’ai tout d’abord réussit à diminuer mon envie de sucré en mangeant plus de fruits, qui étaient quasi inexistant dans mon alimentation. Puis en évitant certains aliments vraiment sucrés comme le chocolat au lait (si je mettais le nez dans une tablette c’était extrêmement difficile de m’arrêter à un carré, je pouvais facilement manger la moitié de la tablette, à m’écœurer même, mais ça ne m’empêchait pas de continuer. Une sorte de boulimie. Je n’ai pas cet effet-là avec du chocolat noir (même celui à 56%)). Je n’en achète plus (du chocolat au lait), comme ça le problème est réglé!
Maintenant je mange salé au petit déjeuner (conseil de ma naturopathe), ce qui n’a pas été si dur finalement.
Je mange toujours régulièrement des choses sucrées, en dessert, au goûter… mais le côté « addictif » semble avoir disparu 🙂 (je dis « semble » car je ne pense pas avoir assez de recul encore pour l’affirmer).
Je n’achète plus de sucre blanc raffiné, j’utilise principalement du sucre de canne, du sucre entier, du sucre de coco, du miel… ça a plus de goût et c’est un peu moins nocif.
Enfin voilà mes conseils!
Je résume :
– manger plus de fruits (c’est sucré mais bien plus intéressant nutrionnellement qu’un gâteau!)
– éviter les choses trop sucrées qui nous font « perdre le contrôle » en arrêtant d’en acheter. (pas de tentation si on en a pas!)
– manger salé le matin
Voilà, j’espère que ça pourra en aider certains 🙂 Et n’hésitez pas à donner votre avis, poser des questions etc!
Bonsoir Wladislas,
Merci pour votre lettre très intéressante , simple et accessible. Le SUCRE qui nous empoisonne plus ou moins la vie! j’étais une enfant qui aimait les bonbons et j’aime toujours les sucreries!J’ai 62ans, une fibromyalgie,quelques kgs en trop et 30 ans de régimes alimentaires derrière moi,(j’ai commencé à 16ans) ma mère cuisinait au beurre frit et beaucoup de viandes. je pense avoir testé tout ce qui se fait en régimes!!!les effets yo-yo , les conséquences sur ma vie de famille, sociale, j’étais dans le « paraître » mince à tout prix…je consomme bio, me soigne depuis longtemps par homéopathie et maintenant avec les médecines alternatives, je m’en sors à peu près avec l’aide de thérapeutes.J’ai banni le sucre blanc depuis des lustres mais pour le sevrage, y’a encore du boulot!!! mon souci, c’est mon repas principal du midi, j’ai besoin de quelque chose de sucré, soit du bon chocolat (miam) un biscuit et des fois je mange un gâteau de chez le pâtissier, ça m’apporte de la douceur et une impression de combler un manque affectif.J’ai une dizaine de kgs en trop qui sont « bloqués » je n’arrive pas à les perdre malgré mes efforts! je marche et fait du vélo;j’aime bien un verre de vin que j’ai réussi à supprimer, le matin j’ai également du mal à ne pas prendre de sucré, fruits secs,confiture ou crème d’amandes.Je manque d’équilibre sur le plan affectif et le SUCRE est une compensation, c’est bon…une impression en tout cas!mais je suis raisonnable quant aux quantités.Mais j’ai besoin d’aide et de conseils car mes douleurs de fibromyalgique ne sont pas supportables tous les jours, loin de là.
Bravo pour votre futur livre, je suis prête à témoigner si vous avez besoin.
comment assumer « l’après repas sans sucre »?
Bonjour,
Je ne mange pas entre les repas (occasionnellement un fruit). Par contre, je me laisse tenter par un dessert après le repas au resto si je suis accompagnée (ne pas être la seule qui n’en prend pas).
J’aime boire un verre de vin en mangeant (compensation sucre??). J’aime aussi finir mes repas avec du sucré (gâteaux secs, au miel…, chocolat noir (90 à 100 %, très rarement pâtisseries).
Je dérape vers le sucré (et la prise de nourriture) si émotions négatives ou si je fais des activités qui sont dures pour moi, je prétexte un apéro avant de manger (raison : je l’ai bien mérité).
Nota : Après le repas j’aimais prendre un fruit, mais depuis que j’ai appris que c’est déconseillé, je me rabats sur les gâteaux secs. Est-ce vraiment mieux ???
Pour ma part, le sevrage du sucre manufacturé s’est déroulé sans accroc, donc mon témoignage est peut-être hors-sujet puisque la question est de connaître les difficultés liées au sevrage… Deux phénomènes semblent liés à ce sevrage : une deuxième grossesse (après l’accouchement, plus aucune envie de sucre, peut-être les hormones opèrent-elles un changement radical des envies et besoins de l’organisme…) et une réorientation de mon alimentation – jus de fruits et légumes crus.
L’apport en sucre est donc assuré par les fruits.
Cela ne me dégoûte pas pour autant des produits sucrés mais je n’en éprouve plus d’attirance et lorsque je fabrique mes gâteaux, biscuits et compagnie, j’oublie parfois le sucre, ce qui ne gâche pas les pâtisseries.
Depuis, je bois mon thé sans sucre et ne le trouve même plus âpre ou amer…
Bonjour,
J’ai 52 en surpoids depuis des années ,ayant consulté une nutrionniste qui m’avait alerter à l’époque de me mefier du sucre ,j’ai mis du temps a baisser ma consommation,deja dans le café progressivement ,à ce jour je ne peux plus boire de café sucré ,j’arrive à me passer du sucre et pourtant enfant j’etais accroc aux bonbons peut lié a mon enfance (mère pas tres aimante) …
Je cuisine beaucoup et j’adore ça je divise en 2 le poids du sucre dans toutes recettes de gateaux (conseil de ma nutri) et ma famille n’a jamais trouvé mes gateaux mauvais au contraire.
Par contre si je mange un gateau (invitée) je suis plusieurs jours a avoir envie de sucré et c’est tres penible à vivre au quotidien ,comme si c’etait une drogue inscrite dans notre corps à vie ..
Cela procure un bien etre sur le coup mais l’effet pervers c’est que le sucre appelle le sucre et l’on rentre dans le cycle infernal .
Je n’arrive pas à maigrir malgré ma non consommation de sucre ,je me retrouve meme la lors de ma derniere prise de sang a avoir 1,25 de glucose alors que je ne mange pas de sucre pur ,mon médecin me dit que c’est à cause de mon surpoids (j’ai un excès de ferritine et de gammas ggt egalement) et ne pouvant faire de sport (gonarthrose avancée).
Merci d’ecrire un livre sur ce sujet car il est important d’informer à ce sujet surtout quand je vois les enfants se gaver de cereales au petit dejeuner bourrés de sucre ,ça fait peur …
Au plaisir de vous lire prochainement..
Bonjour,
Le sevrage du sucre est très difficile pour moi. J’ai conscience que mon corps en souffre mais je ne trouve pas la motivation je pense.
Quand je commence le sevrage, le sucre devient une obsession et je n’arrive pas à penser à autre chose qu’à en manger, et du coup je craque et en plus j’en augmente ma consommation, à n’y rien comprendre.
J’ai noté aussi que ma prise de sucre est en lien avec mes émotions! ce qui complique les choses.
De plus je ne suis pas soutenue à la maison, mon mari ne voit pas l’intérêt d’arrêter et donc il y a plein de tentation à la maison.
Comment faire?
En tout cas merci pour votre blog pleins d’information
Bonjour, je ne sais pas si tu liras ce mel vu le nombre considérable de réponses….j’en ai lu quelques uns. l’essentiel dans ce problème est de prendre conscience que c’est uniquement la quantité massive de candidas albicans présents dans les intestins qui réclame son repas quotidien. J’ai fais l’expérience il y a 2 ans, sur environ 9 mois de réduire progressivement tous les sucres transformés et de ne garder que le sucre des fruits. Au bout de quelques mois, je n’avais plus envie de gâteaux et autres sucreries auxquelles je n’aurais pas résister avant. Un changement familial m’a fait revenir a mon ancienne alimentation. Mais j’ai tellement la nostalgie de cette période que je suis en train d’y revenir tranquillement mais surement. Nous avons la responsabilité de ce que nous portons à notre bouche…..cela devient qui nous sommes !Merci infiniment pour tout ce que tu nous offres.
publié par le site « La Nutrition » :
Comment le lobby du sucre a torpillé la lutte contre les caries dentaires
Selon des documents qui émergent aujourd’hui, l’industrie du sucre américaine a torpillé avec succès les tentatives des autorités américaines de lutter efficacement contre les caries. De ce point de vue, les pratiques de l’industrie du sucre sont similaires à celles de l’industrie du tabac, écrivent les auteurs de l’étude qui paraît dans PLOS Medicine.
Cristin Kearns, une chercheuse en santé publique de l’université de Californie, a retrouvé 319 lettres, compte rendus de réunions et autres documents couvrant la période 1959-1971, dans les archives de Roger Adams, un chimiste de l’université de l’Illinois qui était consultant pour le département « recherches » (International Sugar Research Foundation) de l’industrie sucrière ou Sugar Association.
Kearns en a déduit que l’industrie du sucre savait déjà dans les années 1950 que le sucre contribuait directement aux caries dentaires, mais qu’elle a adopté une stratégie de diversion pour éviter que les autorités sanitaires n’encouragent la population à manger moins de sucre.
Lire : Le lobby du sucre
Ainsi, les industries du sucre et de l’agro-alimentaire ont financé des études sur un prétendu vaccin destiné à prévenir les caries, sur l’ajout d’enzymes aux aliments pour détruire la plaque dentaire ou encore sur un sérum anti-caries. Preuve de l’entrisme des industriels : les experts de l’industrie du sucre siégeaient largement dans les commissions du National Institute of Dental Research (NIDR), l’organisme de recherche américain chargé du Programme contre les caries en 1971. Pas étonnant dès lors que 78% des recommandations de l’industrie du sucre aient été adoptées par le NIDR.
« Les dentistes savent bien que la meilleure façon d’empêcher des caries est de réduire la consommation de sucre, dit Cristin Kearns. Les problèmes dont nous débattons encore aujourd’hui auraient pu être résolus il y a plus de quarante ans ».
Pour Stanton Glantz de l’Université de Californie à San Francisco, co-auteur de cet article, les tactiques de l’industrie du sucre sont calquées sur celles de l’industrie du tabac, qui a réussi à persuader le National Cancer Institute de ne pas financer des programmes pour arrêter de fumer. « Nos révélations, dit-il, sont une piqûre de rappel pour les responsables gouvernementaux chargés de protéger la santé publique, ainsi que pour les associations qui poursuivent les mêmes buts, afin qu’ils réalisent que l’industrie du sucre, comme celle du tabac, fait passer la protection de ses profits avant la protection de la santé. »
En France, l’organe de propagande de l’industrie du sucre s’appelle le CEDUS.
Lire aussi : L’édition publique au service de la propagande pour le sucre
J’ai de nouveau entamé une cure sans sucre il y a 4 jours. J’ai trouvé une chose en magasin bio qui m’aide énormément: une plaque de chocolat à 100% de cacao, sans sucre dedans ! J’en suce 2 carrés à la fin du repas, et j’ai la sensation d’avoir eu ma « friandise », et j’arrive ensuite à ne pas avoir trop envie de sucre dans l’après-midi. Auparavant j’avais essayé avec du chocolat à 80% en moyenne, mais même la faible teneur en sucre présente, me donnait envie de sucré tout le reste de la journée. Les seuls fruits que je mange c’est le matin car je me prépare les Miam ô Fruits, qui permet de se recharger en vitamines et minéraux ! Et ça aussi ça aide lorsqu’on cesse la consommation de sucre !
Bon courage à tous, et vivement la lecture de votre livre M.Barath !
Bonjour,
Comme suite à votre courriel, oui j’ai un problème avec le sucre, mais pas permanent
seulement quelques fois dans l’année mais avec une envie incontrôlée et une consommation exagérée.
Le reste du temps, je gère bien. J’ai essayé le Gymnéma sans trop de résultat.
Cordialement.
Domi Falco
Bonjour,
J’aime bien cette topique, Mais, veuillez excuser mon français, je suis australienne. Je suis un kinésiologue et coach d’intimité, et le sucre est sur mon radar personnellement et professionnellement. J’ai remarqué que le sucre bloque ma capacité d’intimité. Il crée un écran entre moi et le reste du monde, et me prend au lieu de séparation – moi vs le monde. L’état opposé à ce que je cherche qui est ouvert et réceptif – un sentiment d’unité.
Merci
Nicole
Bonjour,
Je suis très honoré par votre commentaire.
L’état que vous décrivez résulte de l’équilibre des différentes hormones entre elles.
Le sucre crée des remous insuliniques avec des conséquences sur les surrénales et la thyroïde.
La mise au repos du système hormonal (l’arrêt du sucre y contribue) permet à l’organisme de récupérer et se traduit par une sérénité.
Il n’y a plus d’agression interne et l’on peut s’ouvrir au monde extérieur.
Vous avez très bien décrit les sensations de cet apaisement.
Bravo 😉
D’apres mes bilans sanguins je n’ai pas de probleme de sucre. Néanmoins, à 58 ans, avec la même alimentation, je commence à avoir du mal à maintenir mon poids, 3 kg en un an sans rien changer. bilan normal, je fais très attention, mais j’aurais tendance à grossir. Je suis petite, 1,50m, Que devrais je faire? mon plaisir sont mes tartines de confiture du matin, la dernière confiture je l’ai faite avec de l’agave bio….je commence à mettre mes jeans 34-36 de coté pour acheter du 38! Ex danseuse, je ne supporte pas trop cette situation! Merçi si vous pouvez m’aider, merçi pour votre site que je découvre.
Bonjour,
Mes soucis avec le sucre ? Même si j’ai beaucoup diminué (farines blanches, pommes de terre, pâtes, confitures, viennoiseries, etc…), il me reste encore quelques obstacles : des tentations du soir : chocolat même noir mais encore trop sucré par exemple ou abus de fruits secs au gout sucré : figues, pruneaux, abricots.
Mais j’ai parfois du mal à résister à un gâteau ou à du chocolat au lait et il m’arrive de rebasculer dans une alimentation moins raisonnable (la vie de famille y contribue);
Merci
Bruno
Bonsoir M. BARATH,
Pour ma part je ne consomme pas de boissons sucrées c’est déjà pas mal je prends pas de sucre dans mon café, en revanche j’adore la confiture fait maison bien entendu (à savoir 500g de sucre pour 1 kg de fruits de mon verger) et puis j’aime la patisserie fait maison 75g de sucre pour 250g de farine c’est évidemment sucré mais pas comme la patisserie des professionnels.
Alors la consommation oui tous les matins j’adore trois tartines de confiture et pour la patisserie 1 x par semaine soit des tartes aux fruits quand c’est la saison ou bien biscuit pour accompagner le café. Si cette consommation correspond à un déreglement du metabolisme je n’en sais rien ! ! !
Pour finir j’ai quelque fois des envies tres fortes de patisserie mais juste un morceau et cela me suffit.
Le comble en ce moment, je fais un jeûne sur votre conseil j’en suis au deuxième jour je consomme uniquement de l’eau et des infusions mais la demande de sucre à present ne se fait pas sentir. Si la demande devrait se faire sentir que devrais je faire?
Autre question puis je prendre durant mon jeûne l’eau ou le bouillon de cuisson de légumes
car aujourd’hui cela a été trés dur pourtant j’étais toute l’apres midi dans mon potager loin des odeurs de cuisine.
Merci d’avance et merci pour vos précieux conseils
Alain
Hâte de lire votre article sur la cure du foie, perso, je ne la sens pas cette cure !
Pour le sucre, je suis en diminution (en douceur) suite à des candidas albicans un peu trop nombreux…Mais je n’ai pas arrêté les fruits, j’ai définitivement cessé de sucrer certaines préparations et quand ce n’est pas possible, j’utilise le xylitol.
merci de partager votre expérience, c’est génial !
Bonjour,
Très simplement j’essaye d’écouter les signals de mon corps pour pouvoir y répondre adéquatement. Néanmoins il m’est soivent difficile de reconnaitre une envie de sucre dépendant d’un besoin réel (coup de fatigue) d’un besoin psychologique (découragement).
Des conseils en ce sens seraient appréciés: merci d’avance
Bonjour,
pour ma part le sevrage se fait tout doucettement.
J’ai changé de travail en Janvier, l’ambiance y est excellente, de ce fait je me sent mieux dans mes baskets.
Je suis moins stressée, donc moins de pulsions vers le sucre.
J’en ai profité pour changer mes habitudes alimentaires, échangé tout féculent par du complet, le riz les pâtes, la farine…..
Quand j’ai faim je me jette sur un paquet de radis plutôt qu’un paquet de biscuits et ça me suffit. J’étudie chaque étiquette de chaque produit que j’achète, surveille la quantité de sucre, il est vrai qu’il y en a PARTOUT ! du sucre.
N’ayant aucune volonté de pratiquer un sport, je marche au moins une heure 3 à 4 fois par semaine, souvent le soir après le repas avec mon époux, cela nous permet par la même occasion de discuter tranquillement.
Je commence à me sentir mieux physiquement, mon petit bidou disparaît petit à petit, moins de douleurs articulaires, et j’ai perdu quasiment 5Kg.
Je me permet juste un petit écart le matin avec mes collègues à la pause café, chacun apporte des petits biscuits raffinés, je m’autorise à en manger 1 histoire de ne pas faire bande à part et cela ne me perturbe en rien.
Ce qui est sur pour ma part, c’est que dans ma dépendance il y a une grosse part de psychologie. Pas de grosse contrariété, de gros stress, tout va bien.
J’espère tenir le coup définitivement.
J’ai hâte de lire votre livre aussi !
Bon courage à tous
ISA
A 48 ans, sportif régulier sans problème de poids ( 187 cm 79 kg) je voyais quand même mon tour de taille s’épaissir et souffrais de douleurs articulaires chroniques.
Après 9 mois de vie sans sucre j’ai perdu 4 kg, ai vu fondre ma graisse abdominale et disparaitre mes douleurs articulaires. Cela en faisant simplement la chasse au sucre blanc, soda, viennoiseries et desserts sucrés. Je me suis rattrapé pour les fringales et envies de sucré sur les fruits secs après avoir écarté ceux qui présentent du sucre ajouté ou du sel ( en bio : dattes – raisins – pruneaux – amandes – noisettes ).
Mon gout se rééduque tout seul et je ne suis plus esclave que de mon bar à fruits secs …
Le souci est celui des desserts au restaurant, pas de desserts sans sucre, et beaucoup trop rarement une coupe de fruits.
Merci Wladislas Barath pour cette mise en garde plus qu’efficace sur l’addiction et les dangers du sucre raffiné.
Bertrand.
Tenez bon, ca vaut le coup !
Bonjour
que de commentaires . cela fait du bien de voir que nous sommes nombreux à souffrir de ce mal!
Oui c’est une drogue, oui il faudrait l’équivalent des alcooliques anonymes.
j’ai 43 ans, en surpoids, des douleurs d’articulations terribles donc je ne fais pas de sport ….. Je n’arrive plus à maigrir et je sais que mon soucis c’est le sucre.. J’ai tenu un an en faisant un régime d’indice glycémique bas. C’est dur surtout quand on a 3 enfants qui veulent manger « normal ».
J’avais perdu 18 kilos et tout allait bien et puis invitation à noël et obligation sociale stupide de manger un morceau de bûche..;et là ce fut la spirale infernale qui revenait: on retombe dans le gouffre et tous les efforts sont anéantis. je sais que je suis une alcoolique du sucre et que si j’arrive à reprendre ma désintox il faudra compter les jours …..
C’est vrai aussi que lorsque je prends des compléments type magnésium, B6 et fer cela m’aide car les carences du corps appellent le sucre.
merci d’avance pour votre livre et pour tous les conseils car cela peut me SAUVER LA VIE je suis vraiment épuisée…
Bonjour,
J’ai toujours eu une addiction au sucre et surtout le chocolat, c’est une véritable drogue. J’ai à peine terminé un repas que je cherche du sucré, je suis incapable de rester sur du salé. Et plus je commence tôt dans la journée, pire c’est !
De plus, manger ainsi trop sucré favorise un corps acidifié et me crée des douleurs et des tendinites à répétition.
Je me suis battue pendant cinquante ans pour essayer de me corriger mais rien ne marchait.
La seule chose qui calme cette appétence pour le sucré chez moi, est un complément de Tryptophane mais il faudrait que je le prenne en continu. Qu’en pensez-vous ?
J’ai hâte de lire votre livre !
Bonjour,
Le goût sucré fais partie de ma mémoire affective, au delà de celle cellulaire. J’ en suis consciente et je peux écouter ce que cela me dit quand ça se présente. Et choisir de lâcher prise avec son conditionnement. Ce qui est plus difficile, c’est le conditionnement chimique qui agit malgré ma volonté et mon travail sur la libération émotionnelle quand il est caché dans un produit.
La meilleure solution pour moi est de ne rien avoir à la maison qui soit sucré ou contenant des sucres cachés. A l extérieur je ne consomme rien.
Mon alimentation est à base de jus de légumes et fruits extraits, ainsi que fruits et légumes crus ou vapeur. Donc je garde le gout sucré par ce biais, ainsi qu une cuillère de miel avec propolis par jour. Elle comprend aussi 2 ou 3 pommes de terre par semaine.
Etant assez restrictive, pour l instant je ne compte pas éliminer autre chose, notamment quand je suis sous effort.
Parfois l envie me prends de manger des féculents. Je manges donc un peu de pâtes au riz ou mais (sans amidon modifié) ou des lentilles.
Grace à la suppression progressive de gluten, café, aliments additionnés de sucre, protéines animales et tout autre chose qui n’est pas comprise dans la liste précédemment citée, je n’ai plus aucune douleur ni difficulté de sommeil ; par contre, dés que j’introduis un de ces aliments, immédiatement j’en ressens les conséquences.
Merci pour votre travail de divulgation
bonjour c’est plus fort que moi je n’ai aucune volonté!!!!!! je me maudit j’ai des pulsions pour rien de plus très nerveuse et je me dis que personne ne peux m’aider sans volonté de ma part je me dis demain je n’en prend pas et pourtant
je lis souvent votre livre pour me booster mais cela ne dure pas je vous remercie vous m aider quand même peut être que je vais y arriver j’ai quand même fait des progrés alimentaires je mange des dattes noix amendes etc que je ne faisait pas du tout avantj’ai même pris les ceréales achées mais je mets du fromage blanc et pas du lait
merciiiiiiii a bie^ntôt
Bonjour Wladislas,
Une petite expérience qui pourrait vous intéresser…Il y a plusieurs années j’ai suivi un régime hyper-protéiné sous suivi médical…Je me souviens que les sucres étaient supprimés. je puis affirmer qu’après quelques semaines lorsque je réintroduisait le sucre petit à petit, j’en étais dégoûtée…!! Bon, l’été arriva et le rosé aussi…après ce fut plus difficile…
Bonjour.
Pour ma part, je ne consomme plus aucun aliment raffiné, encore moins de sucre ( plutôt rapadura, miel,, sucre roux). Je n’ajoute plus de sucre au thé ni au café. J’ai divisé par 3 ou 4 les doses de sucre des patisseries que je confectionne. J’évite au maximum les laitages de vache, ainsi que les blés modifiés. Je mange beaucoup de fruits, de légumes (de saison et bio). Aucun plat préparés dans mon frigo (bourrés de sucres cachés: lactose, galactose, conservateurs et j’en passe!). J’adore manger, j’aime cuisiner. J’ai changé mes habitudes alimentaires, il y a 3 ans, car j’avais des problèmes digestifs. Les changements se sont faits en douceur, Je teste des tas de recettes, j’en invente, j’adapte. C’est souvent très réussi. Il faut oser, ce n’est que du plaisir! Aucune carence, je suis en parfaite santé. J’ai gagné en énergie et gardé l’équilibre tout en continuant à me faire plaisir.
Sucre quand tu nous tiens !
Aux enfants on a donné des bonbons.
Le terme est mensonger, ce n’est pas bon, ce n’est pas sain.
Le petit déjeuner de référence était pain blanc beurre confiture miel.
Depuis que je suis retraité je fais la cuisine pour le ménage. Je suis effaré de voir la quantité de sucre préconisée pour les confitures, les gâteaux, les desserts.
Maintenant au petit déjeuner je prends un muesli avec surmehlich (lait fermenté) et des fruits. Je privilégie les fruits, légumes et aliments complets.
Mon objectif est de limiter au maximum le sucre raffiné et les sucres ajoutés.
En journée cela va très bien, mais après le repas du soir, pourtant varié, soupes, salades, restes du midi, c’est la fringale des choses sucrées. Mais pourquoi donc ??
Je m’en veux d’y succomber.
Par ailleurs je soupçonne le sucre d’amplifier les émotions, de nous rendre trop émotif.
Adolescent j’avais réussi un certain temps à ne consommer aucune chose sucrée artificiellement, et trouvé un bel équilibre émotif et physique.
Néanmoins je ne souhaite pas devenir radical ou extrémiste, mais instaurer un équilibre harmonieux.
Votre livre à venir sera très utile, à moi et certainement aussi à beaucoup d’autres gens.
Merci pour votre travail.
bonjour,
dans le cadre d’un régime de chrononutrition et apres une formation sur la perte de poids(je suis pharmacien),j’ai assez bien réussi à me passer de sucres (le plus difficile étant pour moi de ne pas manger de fruits)….jusqu’à noel ou chocolats obligent j’ai repris une alimentation normale et depuisje suis incapable de ne plus finir un repas sans prendre de chocolat;meme si je me rends compte que l’apport de sucres bloque ma digestion et me donne « un coup de barre » post prandiale.je crois que si vous arrivez à mettre une méthode au point ,ce serait fantastique.
Merci pour les articles de votre site,je l’ai connu par les lettres d’olivier soulier.comme je vous l’ai dit ,je suis pharmacien ,il m’a fallu des années pour me « desintoxiquer » du formatage universitaire mais je fais des progres tous les jours!!!!cordialement et bon courage pour le livre.
marie pierre
Depuis ma tendre enfance, J,aime le sucré. Actuellement dans la cinquantaine, je l’aime encore. Sachant que ce n’est pas bon pour la santé, je consomme très peu soit l’équivalent d’une cuillère à table par jour sous forme se sirop d’érable ou du sucre brut, aucun sucre blanc ni succédané
Rien ne me bloque de le couper complètement. Le fait que j’aime le gout sucré, il s’agirait d’un sacrifice pour l’enlever complètement.
Merci
Je vous aime
Mes premiers symptômes d’hypoglycémie sont apparus en 1976. Jusqu’en 1990, personne ne savait quel était mon problème. On m’a alors diagnostiqué entre autres un problème avec l’altitude (à l’époque je travaillais à Fermont dans le nord du Québec) et, comble de diagnostic, le « mal du siècle », sans me dire ce que c’était.
C’est en 1990 qu’une iridologue puis, quelques temps plus tard, un naturopathe m’ont parlé de l’hypoglycémie. À l’époque les médecins n’en savaient rien ou peu et n’y croyaient pas.
Les symptômes de cette « maladie » sont épouvantables, nombreux et curieusement disparates. Et c’est là qu’a commencé un difficile sevrage qui est passé de l’abandon total du sucre à des ruées compulsives sur des aliments hyper sucrés. Je pense que ça ne serait jamais arrivé si je m’étais donné les petites permissions (utiles) quand j’avais un goût de sucre.
Lentement mais sûrement, j’ai commencé à avoir presque le dédain du sucre. Peut-être que mon état de santé si pénible me forçait mentalement à détester ce voleur d’énergie, je ne sais pas, mais je me suis rendu compte que finalement, ce ne fut pas si difficile après la première année de sevrage.
Aujourd’hui, même quand je me fais des smoothies il arrive que je les trouve trop sucré alors qu’ils ne contiennent que des fruits.
Ce que j’ai bien compris de toute cette trop longue période (qui a encore des effets aujourd’hui) c’est que le besoin d’énergie qu’on compense par le sucre n’est qu’un symptôme d’une mauvaise alimentation. L’impression d’énergie que nous avons après la prise de sucre est trompeuse. Plus on bouffe de sucre pour s’énergiser plus cette énergie diminue.
Quant à la prise de supplément de magnésium (comme tout autre supplément) je pense que c’est explicable seulement dans des situations d’urgence jusqu’à ce qu’on rétablisse sa santé par une bonne alimentation (fruits, légumes et jus verts surtout). Je préfère me permettre un bon chocolat noir de temps à autre plutôt que de me bourrer de supplément de magnésium (qui sont des éléments isolés qui ont pourtant besoin de la synergie d’autres éléments pour être bien assimilés).
Bonjour,
J’ai 28 ans. Mon premier sevrage au sucre fut lors d’un jeûne d’une dizaine de jours. Les effets du jeûne et l’experience m’ont transformé. Je recommande à tout le monde de s’interesser au jeûne. Mais j’ai replongé dans le sucre comme un vrai drogué. Les fringales que j’avais avant le jeûne pour le sucre sont revenus.
Aujourd’hui je n’ai plus ces fringales et j’ai vaincu le sucre. Tout comme mon frère et mon épouse.
Nous avons rencontré un micro-nutritionniste qui nous a changé la vie !!
Il a dabord diagnostiquer chez nous une candidose. Nous étions colonisé de manière agressive par le champignon « candida albicans ».
Nous avons supprimer de manière temporaire de notre alimentation tout ce qui nourrit le candida, tout en avalant des gelules 100% naturelles (notamment à base d’ail) mais néamoins efficaces pour détruire les colonies de candida.
S’en est suivi (aprés « desherbage » du candida pendant 2 mois) la prise de probiotiques (et autres compléments alimentaires) pour réensemmencer les parois de l’intestin de bactéries favorables, et concurrentes du candida.
Dans ce « régime » le sevrage au sucre est difficile pendant une quinzaine de jour. Lorsque le candida albicans est déjà bien affamé et partiellement detruit, son emprise sur le systeme nerveux et mental diminu et il devient plus confortable de ne plus manger de sucre.
Lorsque l’on reussi l’implantation des probiotiques, on réintroduit au compte goutte les aliments evités pendant 5-6mois, car ils deviennent de nouveau digeste (l’intestin retrouve ses pouvoirs).
Ma femme avait le syndrôme du côlon irritable : ter-mi-né !!!
Pour ma part j’étais tout le temps fatigué, je dormais sans me reposer, bouche pâteuse, tendance depressives, petites demangeaisons, des mycoses, difficultées à digerer, à supporter l’alcool…
Le jeûne avait éloigné tout cela mais j’ignorais l’existence et les mecanismes d’une infestation par le candida albicans. C’était la clé du succés du sevrage au sucre. Et de la santé retrouvée !!!
Pour plus de renseignement voilà la page web de Stephane Delage qui m’a autorisé à la communiquer :
http://dieteticien-delage.fr
Petits indices pour savoir si vous êtes infestés par le candida albicans :
Vous avez des fringales de sucre et/ou de mcdo, pizza…
Vous avez des mycoses
Vous êtes irritable, souvent fatigué et deprimé
Vous êtes fragiles des intestins, syndrome du colon irritable par exemple, brûlures d’estomac…
Les yeux qui collent, la bouche pâteuse etc etc
Vous échouez dans la perte de poids de manière durable
Vous êtes gonflé du bidou
Le candida infeste tout l’organisme et agi sur le systeme nerveux, l’humeur, l’immunité, les hormones…
Menez l’enquête, faites des tests, il est possible de traiter cela juste en douceur, avec des produits naturels et par privation temporaire des aliments favorisant candida albicans.
A mon humble avis, bien des gens se soigne pour des problèmes qui ne sont pas LE problème de base qui est le candida et perdent des années à trouver. C’est méconnue.
Cela n’en est pas moins incontournable.
Louis Daraspe
Bonjour,
Je souhaite en savoir plus sur le sucre et ses inconvénients… Mais aussi ses « avantages ». N’avons-nous pas besoin de sucre pour le fonctionnement de notre organisme. Suite à des soucis de santé, j’ai dû changer d’alimentation, avec entre autre la suppression du gluten et des produits laitiers, ainsi que d’autres aliments auxquels j’étais intolérant. La naturopathe qui me suivait m’a surtout recommandé de ne pas supprimer le sucre, parce que c’est un besoin de l’organisme…
J’étais, et je suis encore sceptique… Ne peut-on pas avoir suffisamment de sucre comme « carburant » grâce entre autre aux céréales,… qui sont, si je ne me trompe des sucres lents…
D’autre part, on me recommandait de ne plus consommer de sucre de canne ou de betterave. Mais plutôt du sirop d’agave, ou du sirop d’érable, du fructose, voire du xylitol… Quelles différences entre ces sucres ?
Merci à vous de réaliser ce projet de livre sur le sucre .
Cordialement.
Joseph
Oui, Joseph, nous avons besoin de sucre. Et les fruits (même les légumes) nous donnent largement ce dont nous avons besoin. Un naturopathe qui conseille de continuer la prise de sucre est dangereux. Allez-y lentement pour vous débarrasser des sucres nocifs et les remplacer par les fruits et vous en serez comblés.
Quant aux céréales, on découvre de plus en plus leur nocivité dû aux sucres lents, par exemple. Elles créent aussi des colles (et provoquent du mucus) qui se retrouvent dans nos intestins et y sèchent là pour finir par causer des problèmes de santé tout aussi graves, peut-être pire, que la consommation de viande. Du moins, c’est une découverte que j’ai fait récemment. Je constate déjà une différence sur ma santé après l’abandon de celles-ci.
bonjour,
je prends de l aspartame(beaucoup) depuis des années pour limiter mon apport de sucres rapides.depuis quelques semaines j ai pris conscience que ce n est pas bon pour moi et qu il faut que j arrete…Solution radicale=j ai arreté le café le matin que j ai remplacé par une grande tasse de citron pressé+une cuillère de miel,et quand j ai envie d un(pseudo)café,je prends une chicorée sans sucre ou avec une cuillère de sirop d érable.
Si j ai une envie de sucre dans la journée=amandes +chocolat noir.
Du coup je ne prends plus du tout d aspartame et pour moi c est plutot un bon début de sevrage.
Qu en pensez-vous et que me conseillez-vous?
Merci!
Le sucre.. au bien vaste sujet.. J’y suis accro. J’ai bien réussi par moments à m’en passer ou diminuer, mais depuis longtemps je n’y arrive plus. Résultat des kg en plus. J’aimerais vraiment me sevrer mais c’est quadi impossible pour moi.. Dès que je me lève j’ai envie de sucré. Si j’arrive à me retenir c’est plus tard que je vais craquer. Je pense que je suis dépendante physiquement et psychiquement aussi. Je comble forcément un autre manque (affection? Amour propre?..)
Je me réjouis de lire vos informations.
Bonjour et merci pour pour votre blog, c’est vraiment généreux de votre part de partager autant votre savoir 🙂
Ce que je voudrais voir dans votre livre :
– une semaine type de votre alimentation avant sevrage
– une semaine type après sevrage
– comment se passer des féculents non complets sans avoir faim ? Je mange au self, inutile d’espérer des féculents complets
– du coup comment se sevrer quand on ne maîtrise pas la préparation de ses repas : … Et pas de conseils du type se préparer à manger chez soi, la vie de une femme active étant assez active sans y rajouter des contraintes ad vitam…
– des détails sur la lucidité qui apparaît après le sevrage, cela pourrait être une motivation pour le sevrage
– comment gérer les événements familiaux et sociaux sans replonger dans le suçre
Voilà se passer de sucre blanc c’est facile mais les féculents non complets, je sèche.
Grâce au jeûne intermittent j’ai retrouvé l’énergie qui me faisait défaut et que je cherchais dans le sevrage au sucre jamais réussi.
Au plaisir de lire votre livre !
Bonsoir Wladislas,
Quel plaisir de vous lire, j’ai hâte (je l’avoue) des futurs articles en préparations ! et c’est moi qui vous remercie beaucoup pour ce partage humain.
Concernant le sucre, je suis passée de ‘dévoreuse’ de sucreries en tout genre et plus encore à une alimentation saine (ou presque) : jus fruit-légumes, cru, graines germées etc et bio quand je peux.
Pratiquement du jour au lendemain, j’ai tout changé et j’ai très rapidement eu les effets positifs d’un bien être incroyable. J’ai pris conscience que j’avais besoin de manger toutes les cochonneries vendues lorsque j’avais du mal à gérer un stress, une émotion, c’était ma drogue !
Je pense que c’est mon choix d’aller vers la connaissance de mon corps et comprendre ce qui me faisait réagir vers ces dépendances au sucre, un peu comme un éveil de conscience…
Depuis, j’aime le sucre naturel, genre dates, fruits sec (noix cajou) et comme mon palais est ravi de mes changements, il m’offre des saveurs multipliées, donc je suis toute gagnante.
Je ne suis plus attirée par les anciennes sucreries et les regarde avec désintérêt.
Actuellement, j’en suis au stade de pouvoir écouter les signes de mon corps, j’interprète et constate les différences entre besoins réels et besoins émotionnels.
Il m’est arrivée de vouloir ‘craquer’ sur une pâtisserie bien crèmeuse, me rendre compte qu’elle est loin d’être savoureuse et de me demander comment j’ai pu trouver qu’elle était succulente !
Il me reste en mémoire gustative les sucres raffinés, la langue pâteuse, les maux d’estomac et toute la panoplie du mal être de cette consommation, je souhaite à chacun de pouvoir s’en libérer, c’est une belle santé qui est à la ligne d’arrivée !
Merci Wladislas et bonne continuation.
J’ai fais plusieurs tentatives de sevrage au sucre, mais trop dur de s’en passer, j’ai toujours l’impression qu’il me manque quelque chose, je peux rester des jours sans chocolat ou pâtisserie mais je craque dès le moindre problème, je me jette dessus. Je pense que c’est un manque de motivation, je ne sais pas et compte bien sur votre livre pour m’aider.
Merci pour votre aide dans bien des domaines.
A bientôt
Bonjour Wladislas,
J’ai déjà fortement diminuer ma consommation de sucre mais régulièrement je craque et alors je mange n’importe quoi du moment que c’est sucré, bonbons, biscuits, chocolat etc… mais par contre pas de boissons sucrées du genre coca ou autre. Après je culpabilise, je me sens mal mais c’est trop tard !
Mon truc à moi c’est le « chrome » alors je fais une cure et je me sens beaucoup mieux et en plus cela permet de perdre du poids (celui que l’on prend en mangeant beaucoup de sucrerie dans mon cas). Mais je ne le fais pas systématiquement car je n’y pense pas toujours.
Merci de m’avoir lue et j’attends votre livre avec impatience.
Bonsoir,
Impossible de me sevrer du sucre, si je n’ai pas ma dose quotidienne de biscuits (goûter) minimum je suis en manque je me sens très mal. Parfois j’arrête un jour car contrainte (dimanche, magasin fermé par exemple) et le lendemain, j’ai trois fois plus besoin de sucré et je mange un goûter deux fois plus grand. Après je ne suis pas du tout contente de moi. Quand je n’ai pas de sucré, je me sens obligée de manger des repas pour le goûter, par exemple du riz avec de la sauce, ou alors je fais deux diners de suite, et je ne me sens jamais apaisée avec ça, tant que je n’ai pas la chose sucrée. Parfois aussi, je trouve quelque chose de sucré dans mon placard mais que je n’aime pas spécialement, je le mange en pensant que ça va me sevrer de mon besoin « vital » mais ça ne marche pas car comme je ne trouve pas ça bon, il n’y a pas de plaisir et je me sens encore plus frustrée. Je déteste cette addiction au sucré. Un fruit ne me fera jamais le bon effet, je peux en manger trois tonnes, ce n’est pas la même chose. Il faut que je me sente pleine, rassasiée, « over-sucrée ». Bref je déteste ça. Mais plus j’essaie de me priver, et plus je re-compense les lendemains… Cercle vicieux… 🙁
bonjour,
Le sevrage au sucre a ete pour moi toujours une galère il faut savoir que depuis l âge de 14 ans j étais une enfant puis adulte j ai à présent 41 ans qui mangeait des douceurs sucrées coca light café me permettaient d adoucir mon quotidien et l ensemble me donnait l impression de me rebouster. Depuis 2013 j ai essayé les sevrages suppression totale de tt sucre et miel. Après une semaine ou tt allait bien la deuxième l irritabilité fatigue m envahissaient. Par l association régénère et les nombreuses video plus l article sur le sevrage que vous avez écrit ont commencés a me déculpabiliser je n étais pas seule a essayer et à avoir des difficultés. A ce jour je suis sevrée plus de sucre rarement du gluten mais purée de noisettes en cas de fringales de sucre je pars également avec des amandes noix noix de cajou qui lors de besoins calment mes envies de sucre. Beaucoup de jus de légumes carottes pommes citron persil trop bons en cas de coup de fatigue et surtout dormir. Je me suis rendue compte que mes soucis étaient lies à un mauvais système digestif trop d acides stress mauvaise alimentation peu de sommeil avec le sucre beaucoup d insomnies palpitations au coucher. A présent je me couche plus tot lorsque je fatigue au lieu de manger du chocolat pour rester éveillée. L important est de retrouver une alimentation vivante non transformée et se reposer lors du sevrage. En effet pour moi les fringales étaient liees au coups de fatigue qui non écoutés car il faut travailler s occuper de la maison et des enfants. A présent lors de fatigue je me pose parfois juste un temps suffit. Pour moi il faut enlever les mémoires qui en cas de fatigue disent mange du sucre cela ira mieux et se programmer vers non je mange quelque chose qui va bien te nourrir sans te faire du mal. Pour moi la guérison releve de l organique redonner un système digestif sain donc le soulager et remineraliser le corps alcaliniser avec les jus de légumes puis mental. A ce jour j ai dégonflée ma fille dit que je ne suis plus pâle et elle est étonnée que je ne dise plus que je suis fatiguée en plus mon esprit est super clair et gai. Bref même le chocolat ou pizza sont fades face à une belle salade de légumes avec du poulet de de magnifiques aromates. Belle transformation a tous
Bonjour Wladislas,
J’ai beaucoup, beaucoup de mal à arrêter tout ce qu’il serait bon que je supprime ou du moins réduise fortement. Je prends de bonnes résolutions (jus de légumes, cure de jus de citron, etc., etc. Et même si je suis outillée pour y arriver, rien ni fait. Je tiens maximum une semaine.
Curieusement, alors que ma tête me dit : « Martine, reprend-toi ! tu es en pré diabète et tu ne fais pas ceci , tu ne fais pas cela, etc. » Modifier mon programme alimentaire n’est jamais sorti en séance de kinésiologie. (Que ce soit moi qui teste ou quelqu’un d’autre ! ) Aussi me suis-je mise à réfléchir. Pourquoi ? Pourquoi alors que je devrais ….. mon corps ne profite jamais d’une séance chez quelque praticien que ce soit pour sauter sur l’occasion de demander voire supplier pour un changement. La réponse est toute simple, à mon sens : C’est que d’une certaine manière, il y trouve un moyen d’équilibrer quelque chose. Un peu comme si c’était un moindre mal.
C’est alors que j’ai rencontrer un livre qui m’a apporté un début de réponse. L’auteur, Roger Gould (Gérez vos émotions et perdez du poids) explique qu’au cours de sa longue pratique, il s’était rendu compte que ce n’est pas tellement la question : « Que mangez-vous ? » qui compte mais bien : « Face à quelle impuissance êtes-vous ? »
Et là, ça a fait « tilt » dans ma tête.
Depuis des années, je suis face à l’impuissance dans différents domaines essentiels de ma vie et ne sachant pas comment gérer cette impuissance, je compense le stress provoqué en m’abrutissant de sucre.
Mon sentiment aujourd’hui est qu’il me faudrait travailler sur ces impuissances ou plus profondément sur l’Impuissance pour que je puisse me revaloriser et retrouver l’amour et le respect de moi et de ma santé pour trouver l’énergie nécessaire au sevrage. Sinon je pense que je continuerai à tourner en rond.
Merci de m’avoir lue ; je me réjouis déjà à l’idée de lire votre livre.
Bonjour, j’ai laissé le sucre derrière moi grace à des pistes audi avec des messages subliminaux qui correspondaient à un régime chrononutrition : plus de sucre ds la café et le thé, plus de boissons gazeuses sucrées(j adorais et maintenant ça m ecoeure!!). Sinon, je craque des fois sur des chocolats blans, ou au caramel…des plaisirs d’enfance mais c’est parce que j ai arrete de fumer, je suis celib et le sucre et mon seul petit plaisir
Cher Wladislas,
quelle superbe idée, un livre » mode d’emploi » sur le sevrage du sucre; rien qu’a lire certains commentaires, il y a vraiment besoin !!!
si besoin d’un coup de main pour la mise en page ou photos, ça serait avec plaisir 🙂
Bonjour Stanislas
Votre livre sera le bienvenu pour combattre la frenesie du sucre.
Le sucre je ne peux pas m’en passer et en plus sous toute ses formes.
Depuis quelque temps, j’ai pris conscience qu’il fallait que je m’alimente mieux.
car je suis toujours entrain de grignoter et en fait des gâteaux, du chocolat etc…
Quand je suis particulièrement énervée, je prends d’avantage de sucre.
Je voudrais vraiment essayer de banir le sucre de mon alimentation.
JE commence en utilisant la sève d’Erable dans le café, les yaourts et je trouve
que c’est une bonne alternative au sucre, j’utilise aussi le miel (mais je crois que j’ai
tendance à en abuser.
c’est pourquoi j’ai hâte de lire votre livre car j’ai vraiment besoin d’aide
Merci.
Bonjour Wladislas,
Je vous est découvert depuis un peu plus d’un an, et trouve vos dossiers très intéressants.
Depuis que je suis petit, j’ai été élevé aux produits et boissons sucrés de toutes sortes.
Heureusement que je fais du sport car sinon je serai devenu obèse.
Je ne fume pas, je ne bois pas mais je suis gourmand.
Depuis que je m’intéresse au bien-être, je fais de plus en plus attention à ce que je mange, notamment en regardant régulièrement les étiquettes des produits et ai considérablement diminuer ma consommation de produits en sucre (plus de coca et boisson aux fruits, plus de tartine au Nut …chocolot).
Je me suis mis aux jus de fruits avec un extracteur de jus, mange le plus souvent des légumes, poissons et œufs, peu de viande et de moins en moins de produits laitiers et de fromage et temps en temps un jeûne mais je n’arrive pas à me décrocher des petites douceurs.
Donc pour l’instant je n’ai pas assez de volonté pour stopper complètement.
J’ai beau me raisonner en me disant que c’est mauvais pour mon corps, mais le goût et le plaisir rapide prennent le pas sur le raisonnement. Alors pour l’instant je suis dans une impasse. J’imagine ce que doit éprouver celui ou celle qui veut arrêter de fumer.
Merci à vous pour ce que vous faites.
Olivier
Bonjour,
Vaincre mon addiction au sucre est un combat quotidien.
En fait la seule solution qui me permet de ne pas consommer des sucres raffinés, c’est de confier ma carte bancaire a mon compagnon. Si je ne suis pas en mesure d’acheter les sucreries auquelles il m’est difficile de resister, je n’en mange pas et tout vas bien. Très vite le manque disparait. A vrai dire, après une periode de quelque jours sans sucre raffiné, il se peut que j’en consomme, non par craquage, mais uniquement parce que je me dis « a quoi bon? »
Il est difficile de se controler lorsqu’on a pas le sentiment ou le ressenti de réellement porter atteinte à sa santé en mangeant des mauvais sucres. En fait c’est meme le contraire, le corps l’associe au plaisir a court terme. Mais ca reste un plaisir. Si je me laisse aller à une petite quantité de mauvais sucre après c’est fini, je replonge completement jusqu’a me gaver et en avoir des nausées. Après un épisode pareil, on se dis que c’est degoutant et on la « tient » cette association négative avec le sucre raffiné. Mais ca ne dure qu’un instant, très vite, je veux manger du sucre! donc je n’ai aucune solution si ce n’est de me prier de mon argent comme on le ferait à un enfant!
J’ai plaisir à cuisiner chaque jour en choisissant des produits frais, bio et non transformés. Le sucre n’est plus dans les placards de ma cuisine. Ce qui ne m’empêche nullement de confectionner, quelques fois, de bonnes tartes aux fruits.
Reste impossible, cependant, de résister périodiquement au choix alléchant de gâteaux que les pâtissiers de chez nous savent si bien bien mettre en valeur !!
Je me demande d’ailleurs pourquoi certaines personnes ont tellement de facilité à ne pas être attirées par tel bon dessert … alors que d’autres s’en passent volontiers …
Au plaisir de vous lire …
Bien à vous
Anika
on nous fait de la pub en ce moment sur les TMC Pourrez-vous nous expliquer, on nous bassinne avec des recettes hyper grasse,info ou intox?
Bonjour Wladislas
(Merci à Sylvie pour son ténoignage dt je me sens proche)
●○● Jeune, il m’a suffit de comprendre les mécanismes biologiques en jeu, pour galvaniser mes efforts : la volonté était suffisante pour diminuer ou supprimer la consommation de sucre. J’étais satisfaite de retrouver ma ligne.
●○● Il y a une trentaine d’années, une analyse révèle que Candida Albicans, mycose mal connue à cette époque et aux effets très désagréables (les traitements proposés alors étaient peu efficaces), s’était installée dans mon organisme. Rien n’a pu l’éradiquer. Parallèlement, mon envie de sucre devenait déraisonnable.
Dans les lignes suivantes, je ne change pas de sujet, il est toujours question du sucre …
●○● Il y a une vingtaine d’années, c’est au Salon Marjolaine à Paris lors d’une conférence, animée conjointement par un médecin français et un médecin américain, que j’ai trouvé les premières informations sérieuses :
– d’une part le lien entre le SUCRE et Candida Albicans,
– et d’autre part, les caractéristiques de Candida Albicans
Ce que j’ai compris sur Candida Albicans :
– Lorsqu’il est installé, il est quasiment indélogeable de l’organisme. L’enjeu consiste donc à le maintenir à bas bruit.
– Ces chercheurs avaient même découvert que, dans certaines maladies, les traitements classiques n’étaient d’aucune efficacité. Il ont constaté que Candida Albicans agissait comme un verrou. En affaiblissant la mycose, les traitements pouvaient enfin guérir le patient de la maladie. Mais pas du Candida !
– Candida Albicans absorbe du sucre, c’est sa nourriture. Mais comme tout organisme vivant, il excrète des rejets, et les produits de ses rejets sont des toxines pour l’organisme.
– Comme il consomme du sucre, il agrave les fringales et surtout installe la répétition du mécanisme et c’est l’escalade. Comme il consomme de + en + de sucre, Candida Albicans se développe et rejette plus de toxines. L’organisme est pris en otage,
Candida Albicans est la cause de l’appel irrépressible du sucre.
En plus… Candida Albicans étant un champignon qui se développe en mycellium, celui-ci se faufile entre les cellules des parois de l’intestin et les écarte, participant à la porosité de l’intestin et faisant le lit d’autres allergies et de graves maladies. Me trouvant dans cette situation, je suis devenue intolérante au gluten et aux protéines de lait car ces particules, profitant de sa porosité, traversent l’intestin et se retrouvent dans le sang qu’elles empoisonnent.
●○● Il y a une quinzaine d’année, j’étais malade dès que je mangeais. Je m’empoisonnais. J’ignorais pourquoi. Même une tranche de jambon bio avec une salade verte nature. Nausées, céphalées, crise de foie, insomnies, concentration impossible et épuisement total. Alors, je repoussais au plus tard l’heure de mon premier repas de la journée jusqu’à 17 ou 18h pour faire le minimum vital car j’étais à bout de forces. Affammée, je prenais un mini-repas, ensuite c’était l’enfer.
Par ailleurs, l’incompréhension du monde médical et de l’entourage mettant cet état sur le compte d’une dépression, c’était la double peine.
●○● Il y a 12 ans, nouveau médecin. Bon diagnostic fait sur la seule phrase « Chaque fois que je mange, j’ai l’impression de m’empoisonner ». Je ne consomme plus de gluten ni de produits laitiers. Mais Candida Albicans a prospéré malgré les traitements les plus puissants (que l’on donne aux malades du sida). Pendant le traitement contre la mycose, je peux me sevrer de sucre. La volonté suffit. Et lorsque Candida Albicans se redéveloppe, les rages de sucre reviennent. Je suis consciente que cette addiction ressemble beaucoup et est aussi redoutable que l’acoolisme. Pire même, car aucune structure médicale n’existe. Les cliniques privées capables de comprendre et de prendre en compte l’ensemble des symptômes sont hors de prix.
Je rêve d’un équivallent aux Alcooliques Anonymes. « Bonjour, je m’appelle Julie, je me goinfre de sucre qui est transformé en alcool par mon métabolisme, je suis donc alcoolique ».
Le sucre, c’est perdre son énergie et sa joie de vivre, c’est perdre sa concentration et donc une partie de son intelligence, c’est vivre en permanence en mode « veille », c’est vieillir avant l’âge, c’est également reçevoir fréquemment des jugements d’autrui.
Et pourtant, il y a 6 mois, grâce à un concours de circonstances, j’ai pu ne pas consommer de sucre pendant 5 jours. Plus de problèmes d’articulations, l’esprit clair, la bonne humeur, les 5 sens plus sensibles … de belles surprises ! C’était lors d’une monodiète, mais le foie étant en trop forte détoxication, c’étaient aussi 5 nuits sans dormir et des céphalées. J’ai craqué et ai remangé, et donc je suis retombée dans le sucre le soir.
Merci pour ce futur livre
Julie
Bonjour, je viens poser une question à Julie qui souffre comme moi du candida albicans ….je voudrais savoir quels examens vous avez faits pour établir un diagnostic précis.
grand merci!
cordialement
Bonjour à tou-te-s,
J’ai lu tous les commentaires sur ce sujet avec attention car je creuse le sujet depuis un petit moment. Je m’inquiète pour mon père qui prépare une seconde crise cardiaque avec une veine fémorale déjà bouchée à 50%. Accro au sucre, il ne pense pas à arrêter les viennoiseries industrielles, les sirops, les pâtisseries et j’en passe. Il ne se rend absolument pas compte de l’impact que ça a sur son corps. Mon grand-père est lui-même décédé avec un diabète sévère. Il croit avoir déjà beaucoup réformé son alimentation et a effectivement beaucoup baissé sa consommation de cigarettes. Mais le sucre étant la base de toutes ses addictions, c’est compliqué. De mon côté, je vois aussi que je suis accro – certes moins que moins que mon père, mais quand même. Il me manque des outils pratiques. J’ai compris intellectuellement l’impact du sucre (l’article d’Olivier Soulier est très éclairant par exemple) et il me faut maintenant une méthode SIMPLE. J’ai identifié une pensée-racine/croyance de base dernièrement : le sucre apporte de l’énergie, rapidement et efficacement. J’ai fait de la natation pendant 7 ans étant jeune et ma mère me bourrait le sac avec des barquettes entières de balistos et autres Yop pour les compétitions. J’ai été littéralement nourrie au sucre blanc toute ma vie. Je crois qu’il faut écouter et parler à ses cellules d’une manière ou d’une autre. Toute seule dans mon coin, c’est pas simple. Je continue à vous lire tou-te-s avec le plus grand intérêt. Bien à vous,
Affifia
Je n’ai jamais eu le courage de le faire parce que j’en consomme tous les jours.
Bonjour, bravo pour ce livre, qui j’espère deviendra vite un outil pour nous aider au sevrage de ce poison qui détruit l’organisme. Mon fils est sevré, en très grande forme, heureux avec 40 kg en moins…. moi, je n’y arrive pas, j’essaie, j’essaie, pfff dès mon repas fini, je ressens un manque, un vide à combler par du chocolat, biscuits ou autre saloperies à un point tel de ressentir des maux d’estomac, des crampes au ventre et si je résiste, alors ça devient une pensée fixe qui ne me quitte pas. Une souffrance…J’enrage et je cède pour me culpabiliser ensuite. Il y a tellement de choses différentes que l’on dit sur le net, dans des revues, de ne pas exagérer avec les fruits, avec les céréales, que je ne sais plus où est le vrai ou le faux. J’ai vraiment besoin d’un plan, d’un guide pour enfin savoir réellement ce qui est bon pour la santé, ce qu’il est souhaitable de privilégier dans notre alimentation. J’ai de gros problèmes d’intestins bloqués par mon traitement de morphine durogesic 150, toutes les 48h. Je voudrais vraiment me sevrer du sucre, et ses dérivés mais sans guide, c’est très difficile. Ce livre, en préparation, est oh combien le bienvenu. Un grand merci pour toutes vos recherches, que vous mettez si gentiment à notre disposition par votre blog.
J’ai eu des envies d’aliments sucrés avant qu’on ne découvre des candidas albicans. Depuis, j’ai suivi un traitement associé à un régime alimentaire sans gluten, sans laitage et sans sucre, la dépendance au sucre a cessé et j’ai perdu 10kgs (j’en avais pris 35kgs!)
Il m’arrive ponctuellement de prendre un gâteau sans gluten et sans laitage avec un peu de sucre roux et j’en reste là.
J’espère que mon témoignage pourra aider d’autres personnes car avant de faire le diagnostic du candida albicans, personne ne trouvait les raisons de mes envies et de mes problèmes de santé (intoxications diverses) d’autant que j’étais déjà sensible à une alimentation saine, équilibrée et en majorité bio.
Bonsoir,
Les sucreries et moi cela fait longtemps , trop longtemps! ma balance en fait les frais. Comme un petit démon, le sucré m’appelle pour me dire vient te réconforter auprès de moi, je vais te faire du bien car tu ne vas pas bien, je vais te calmer, te réconforter, te remplir d’un vide d’amour et peu de temps après avoir englouti du sucré, je culpabilise. Mes envies surviennent principalement le soir quand mon entourage est couché, quand le calme arrive dans la maisonnée et quand je me retrouve avec moi même. Il y a des périodes plus intenses que d’autres et elles sont accompagnées par une fatigue physique et émotionnelle.
J’aimerai trouver la solution et la clé de cette prison ; il faudra sûrement agir sur mon subconscient (peut être en passant par l’hypnose ?)car je pense ne pas être assez forte pour y arriver toute seule !
J’ai hâte de découvrir le fruit de vos recherches dans votre livre.
Bonjour Wlad,
J’ai fait un sevrage de sucre il y a un an et demi passé à cause d’une candidose qui entraine un leaky gut avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur la santé. Je n’ai pas eu le choix et le temps de faire quelques aménagements créatifs pour autant de plaisir car je n’ai pas supprimé que le sucre mais le gluten etc…. Le sucre je le remplace par des grains de vanille, ou de la cannelle et tout va très bien…Plus d’énergie, plus de pêche, l’esprit plus clair des kilos en moins….Et au départ ce qui était un passage transitoire est devenu une hygiène de vie et en ce qui concerne le sucre on ne m’y reprendra pas 😉 Bonne continuation et beaucoup de succès pour le prochain livre.
Bonsoir, j’ai vraiment difficile de m’imaginer que je ne mangerais plus de chocolat. Pour moi, l’idéal serait de diminuer le sucre mais je suis vraiment accro. Je peux passer une journée sans en manger mais quand le soir arrive, je craque et il n’y a plus de limite. J’ai fume pendant près de 40 ans et j’ai arrête complètement après de nombreuses rechutes mais je ne me vois pas faire la même chose avec le sucre. Ce qui me stimule, c’est de me dire que si je réduis fortement le sucre, peut être que ma cellulite va aussi fortement diminuer. Pour le reste, je mange beaucoup de fruits des légumes du jardin et très peu de viande et de charcuterie. Faut il vraiment arrêter complètement le sucre ou est ce possible de le diminuer fortement . Pour la cigarette, c’était impossible, c’était tout ou rien.je suis impatiente de connaître vos conseils et merci d’avance
Voilà pour ma petite expérience:
J’ai arrête le sucre du jour au lendemain il y’a 5 mois. J’adorais les produits sucrés (genre kinder, gâteaux industriels…) et jai depuis toujours une préférence pour le goût sucre.
J’ai complètement arrête le sucre raffine et tout ce qui en contient. Mais je continue d’aimer les saveurs sucrés comme les fruits frais et fruits secs que je consomme en assez grande quantité.
quelques jours après avoir débute mon sevrage j’ai eu des courbatures très douloureuses pendant 2 jours. Voilà tout. Cela n’a pas été très difficile pour moi d’arrêter le sucre. Pourtant j’en étais une grande consommatrice. J’ai remplace mon pain par du pain complet. Les rares fois ou j’ai consommé du sucre cache c’est en mangeant des petits pois en conserve.
Je consomme beaucoup de fruits de saison et de bananes que je ne trouve pas trop sucrées contrairement a vous malgré mon sevrage. Quand j’ai des fringales je mange des fruits secs: figues sèches essentiellement ainsi que des noix de cajou, amandes…
J’ai restreins ma consommation de viande/ poisson a 2 fois par semaine max, 1 a 2 verres de lait par semaine, du pain blanc quand je suis invitée… Sinon c’est pain complet bio, plats maisons a base de légumes, fruits en tout genre, huile d’olive… Je ne ressents pas de manque particulier, ni ne rencontre de difficultés particulières… J’étais pourtant une adepte du sucre. La motivation pour arrêter je l’ai trouve dans votre article qui m’a ouvert les yeux sur le sucre raffine qui déminéralise mon corps et cela m’en a complètement dégouté.
J’ai essaye de trouver le livre de William Dufty sur le sucre en vain. J’ai appelle toutes les librairies, cherche sur le net…en vain. Il n’est plus édite…. Donc j’ai hâte de pouvoir lire votre livre.
J’ai découvert le sucre blanc et les sucreries industrielles à l’âge de 9 ans. Elevé aux confitures du jardin, au lait de chèvre et à la macrobiotique. J’ai été assez gourmand sur les aliments sucrés par la suite. A 18 ans une hernie hiatale m’a fait stopper complètement les sucreries, le café, l’alcool pendant 6 ans. Depuis je n’ai jamais reconsommer de sucre blanc et me suis écarté des desserts, surtout industriels. L’attirance pour le sucre s’est représentée par la consommation festive d’alcool à mon âge adulte. Aujourd’hui 35 ans beaucoup moins, je me rends compte que l’habitude à modeler ma consommation de sucre, a permis de réduire considérablement ma consommation d’aliments sucrés. De même pour l’attirance que j’avais, parfois forte pour le sucre. Je me suis rendu compte que le sucre est partout, naturellement à sa place. Qu’il n’est pas utile pour l’organisme d’aller lui en fournir d’avantage. Surtout pas les sucres déformés.
Bonjour,
C’est en réponse à votre mail que je me permets d’écrire sur votre blog.
Depuis 9 mois je suis passé au crudivorisme après un passage par le sans gluten qui a duré 18 mois. je n’ai eu aucun mal à me sevrer des sucres superflus.
Aujourd’hui, ma consommation de sucre se fait à travers les fruits.
Ceci dit, mon état de forme physique me dit que ce n’est pas suffisant.
Les soirs où je fais du sport, je me fais une boisson de récupération avec 3 cuillerées de sucre complet et du sel.
Par ailleurs lors de période de fatigue je consomme 10 grammes par jour de D-ribose.
Depuis quelques temps je m’intéresse au xylitol pour mes soins buccaux dentaires.
J’évite la consommation de ce dernier en interne à cause de ses effets laxatifs…
Je ne sais pas si c’est beaucoup de sucre au total.
Je ne consomme pas de produits industriels depuis longtemps.
Plus que ma consommation de sucre c’est celle de sel qui m’inquiète car mes sources de sel sont quasi inexistantes alors que ma consommation de potassium a explosé…
Qu’en pensez vous?
J’ai hâte de lire vos propos sur la cure de foie que l’on m’a suggéré plusieurs fois mais j’ai toujours été réticent…
Bonjour, j’ai toujours manger sucrer depuis toute petite et j’ai beaucoup de mal a m’en passé meme si par moment je mange moins de sucré, il y a d’autre fois ou je ne paut pas m’empecher de me goinffré de chocolat et de gateaux a la creme surtout…
J’ai beaucoup de mal a trouver un equilibre!
Oui j’ai banni le sucre à quelques fois dans ma vie…mais je recommence « sans trop d’excès »…et j’ai parfois des rages (et …ainée que je suis je ne peux mettre ça sur le dos des pré-menstruations 🙂 🙂 )…Dernièrement, je me suis rendue compte que j’ai certain doute qu’il faut bannir le sucre au complet…notre cerveau n’a-t-il pas besoin de sucre … en tout cas d’une certaine quantité? …et comme ce doute est toujours en « back ground », ça me donne une bonne raison ou bonne excuse de recommencer à me sucrer l’bec. Et qu’en est-il pour le miel et le sirop d’érable…bon sucre oui ou non.
pour ma part je me suis sevré de sucre pour la première fois au Pérou lors d’une formation dans la jungle avec des « guérisseurs » cela faisait parti du protocole. en milieu naturel cela ne m’a pas posé de problèmes juste une grande rigueur! lors d’un jeûne de 6 semaines aussi,mais toujours en vivant à la montagne! le sevrage en milieu urbain est bien difficile,car le sucre c’est aussi la douceur et la compensation facile et immédiate à l’agressivité ambiante! peut-être aussi y a-t-il un point de vue plus positif qui ,pourrait aider certaines personnes: plutôt que de parler de sevrage ou suppression,qui me paraissent négatif parler d’une découverte du gout naturel,pour moi en tous cas découvrir le VRAI gout des aliments (sans egsosteur!!) fut une révélation car depuis notre plus tendre enfance nous ne mangeons qu’avec egsosteurs de gout :sucre/sel; pour moi ce fut une expérience fantastique,mais que je n’ai jamais pu tenir plus de six mois…Une action progressive me parait obligatoire pour une action de longue durée,désapprendre est bien plus long qu’apprendre! et si on parle conscience: sortir de la DICTATURE du GOUT pour entré dans le bien vivre! l’aliment est la médecine que nous utilisons le plus (3 fois par jour!!!) penser alimentation comme un besoin et non un plaisir…..le « besoin » étant déjà un plaisir!
bonjour,
je suis ravie de découvrir votre demande! Je consulte régulièrement votre blog, tout y est intéressant, merci pour toutes ces informations que vous nous fournissez.
Le sucre! vaste sujet! je suis ravie d’apprendre que vous êtes en pleine écriture d’un livre sur ce sujet!
Je viens d’assister à un atelier « nutrition-cancer », animé par un merveilleux naturopathe.
Et là nous apprenons que la première denrée à supprimer en cas de cancer, devinez? eh oui, c’est le sucre! car la tumeur a besoin de glucose pour se nourrir! Tumeur où qu’elle se situe!
Déjà je livre cette information, car elle est primordiale!
Pour ce qui me concerne, je n’aime pas d’une façon générale le « goût sucré », mais, oui, il y a un mais, j’ai besoin de chocolat au quotidien! mes deux carreaux de chocolat noir, vers 15-17h, et ça c’est assez terrible (bon, le mot est fort, tout est relatif dans notre monde encore en guerre) terrible donc à supporter!
Donc j’aimerai pouvoir me débarrasser complètement de cette envie, de ce besoin irrépressible, de chocolat noir (beurk le chocolat au lait, trop sucré)
ça me taraude le mental jusqu’à ce que j’aille chercher mes deux carreaux! ça m’obsède littéralement!
c’est donc une addiction pour moi! ça doit se passer dans mon cerveau, non ? comme toute addiction; alors, comment faire pour m’en débarrasser!
Car j’ai essayé, comme d’autres le disent aussi, je réussis à éradiquer toute envie, durant des semaines et des mois, et il suffit qu’on m’offre une boite de pralinés, noir et si possible fourrés, et là, le cercle infernal se remet en route, et c’est reparti comme en l’an 40!
help!!!
Je vais en parler prochainement à mon (nouveau) médecin traitant, homéopathe, acupuncteur, organothérapeute, avec qui j’ai rdv le 8 avril, je vous en dirai peut-être plus un jour sur ses recommandations à lui.
En attendant je fais d’énormes efforts pour résister à l’envie de ce chocolat noir, fourré aux amandes, noisettes, café, (tjours du bio) !
Merci de nous avoir permis de nous exprimer sur ce sujet qui hante tellement de personnes!
Anita
Bonjour Mr Barath
Je ne bois pas sucre tout simplement car je n,aime pas. Dernièrement j,ai été bien malade’ une tension à 198 plutôt émotive , beaucoup de clignement de l,’oeil’ manque de magnésium plus plus’ j,avais pris du poids , je mangeais tout et n,importe quoi, beaucoup de sucre et du café pour soi disant me rebouster’ résultats j,étais très mal. Je vais mieux grâce à une cure de magnésium et de vitamine b12′ depuis bizarrement j’ai moins faim et la demande de sucre est quasi nulle’
j’ai repris de l’homéopathie ainsi que de la phytoterapie pour le stress et j’ai moins envie de sucre. Je n’ai malheureusement pas vu votre vidéo sur le sucre mais si vous avez quelques conseils pour le remplacer ? Merci pour votre generosite’ j’ai hâte de lire votre livre.
Bonjour
alors moi, je limite le sucre, je ne sucre pas le café, je ne mange de la confiture qu’une ou deux fois par an, je mange du miel tous les matins sur mon pain aux graines de lin et autres,mais alors pour me priver de féculents, je n’essaye même pas, je réduis certes et mange beaucoup de salade sans sauce, et jamais de gâteaux, mais du chocolat noir des fruits, mais me priver de manger deux ou trois fois par an un dessert de mon enfance, je n’essaye même pas… Je sais que ce n’est pas bon pour l’organisme, mais c’est si bon pour mon moral..
merci pour vos articles que je lis avec grand intérêt et que je diffuse à mes connaissances, et pour la cure de citron c’est très dur pour moi m^me en ajoutant le bicarbonate, mes dents sont très sensibles
En lisant l’article que vous aviez rédigé sur votre propre sevrage j’ai eu le déclic. j’ai enchaîné d’autres lectures, parcours et vidéos et pris peur de cette abondance de nourriture qui nous empoisonne à petit feu. J’ai donc décidé de me nourrir d’aliments de base fruits légumes viande poisson lait écrémé et noix c’est tout. Je n’achète plus aucun aliment transformé.
Je n’ai plus mangé une seule friandise ou aliment industriel depuis le 22 novembre 2014, je n’ai pas craqué une seule fois, et je n’en ai même pas envie.
Je me sens mieux physiquement depuis, je n’ai plus l’impression de m´encraser.
Parfois il ne faut pas grand chose, l’article au bon moment et renforcer son déclic en se documentant un maximum pour garder notre conviction que le sucre est un poisson parce que il n’y a rien de plus précieux que la santé.
Bonjour,
Le sucre et moi, c’est une grande histoire d’amour mais dont je ne connais pas la source ou peut-être ma petite enfance avec mon grand-père.
Ai-je déjà fait abstraction des sucres rapides (sucre, confiserie, gâteaux, glace) ?
Oui, le 31 octobre pour Halloween, j’ai mangé tellement de bonbon, que j’en suis tombée malade, j’ai eu une crise de foie même si les médecins disent que ça n’existe pas, c’est pourtant ce que j’ai ressenti… Donc dès le lendemain, j’ai décidé d’arrêter le sucre, très dur mentalement, mais j’avais tellement mal, que là ça devenait un choix obligé.
Une semaine après alors que la douleur était passée, j’ai voulu remanger du chocolat, pas grand chose, mais dans la nuit je me suis réveillée avec la même douleur. Ce jour là, j’ai décidé d’arrêter le sucre tout simplement. ¨Pendant pratiquement deux mois, aucun sucre rapide, et tout compte fait je me sentais super bien, pas de bonbon, pas de chocolat etc. Puis un jour en buvant mon café à l’extérieur, j’ai voulu manger un carré de chocolat, je me souviens très bien du goût dans la bouche, en fait je prenais conscience que je n’aimais pas ça, le chocolat avait un goût de pas vrai…. C’est idiot mais c’est réellement ce que j’ai ressenti, c’est comme si d’un seul coup je me rendais compte que ce n’était pas bon au goût.
Le sucre ne me manquait plus mais en plus, je mincissais à vu d’œil, j’étais de celle qui mangeait une tablette par jour. J’étais heureuse de mon déconditionnement, une seule chose me manquait, le plaisir que le chocolat « semblait » m’apporter, en fait il était considéré comme une récompense (en tous les cas pour moi) j’ai donc remplacé le sucre par des massages 2 dans le mois, un plaisir sain.
Est-ce que je ne mangerai plus jamais de sucre ?
Noël est arrivé et avec lui, les bûches, les chocolats etc. Bref, tout le mois de décembre, je n’ai pas acheté une seule boîte de chocolat, mais le jour de Noël, j’étais invitée et je n’ai pas refusé le chocolat que l’on me tendait, (dû certainement au conditionnement, Noël c’est avant tous les chocolats), j’ai malheureusement mangé ce chocolat. Je me suis dit, depuis deux mois, je n’en mange plus, c’est pas un qui va me faire du mal….. Déjà, je me rendais compte qu’au goût, je n’aimais plus ça, j’étais sauvée du sucre, mais je ne pensais pas au revers de la médaille. Le lendemain, j’en ai mangé deux et trois le surlendemain etc.
Donc, je remange du sucre (chocolat, gâteaux) de nouveau comme une droguée à la seule différence, c’est qu’avant je pensais aimé ça (au goût) mais maintenant, j’ai conscience que lorsque j’en mange, c’est comme si je mangeais un aliment vide.
Une nuit, j’ai fait un rêve, j’allais chercher du sucre dans une boîte, j’en prenais une pleine poignée et lorsque j’ai ouvert ma main pour le manger, c’était des cafards qui étaient à la place….. Attention, je ne veux pas dire que l’on mange du sucre parce qu’on a le cafard mais bien le contraire, dans mon rêve on m’expliquait que le sucre donnait le cafard…… étrange non, mais en me regardant vivre, je me rends compte que dès que je mange du sucre, dans les deux jours qui suivent, je me sens fatiguée et triste…. Pour moi, le sucre change notre caractère.
Mais malgré tout ça, je me rends compte que je mange de nouveau du sucre et en excès, et pourquoi je ne sais pas.
Bonjour, je ne pense pas avoir une dépendance au sucre mais il y a certainement beaucoup de sucres cachés dans les aliments industriels !? Il serait également intéressant de savoir comment les limiter.
Je pense qu’en orientant son alimentation vers une alimentation vivante et naturelle, la dépendance ou le besoin de sucre perds « automatiquement » de l’importance !?
Cordialement.
Bonjour
Ca fait deux ans que je fais des tests et des analyses suite à des fractures spontanées et une suspicion de préparer un cancer des os ou myélome multiple et finalement le médecin craint dans les annés prochaines un cancer et en attendant j’ai pensé à un moyen de prévention.
Le sevrage de sucre. Mais ce n’est pas facile pour une personne qui a toujours besoin de sucre surtout avec le stress et la fatigue je n’arrive pas à m’en priver.
Merci
Bonjour,
Je suis également très intéressée par ce livre bien que je fasse moi-même mes recherches.
Personnellement, ça fait des années que je n’achète plus de produits industriels. J’ai remplacé par des gâteaux maisons, des jus de fruits (bien que très riches en sucres rapides), et de temps en temps des écarts.
Mais ces derniers mois, j’ai vécu une période très difficile et j’ai donc augmenté ma consommation de gâteaux… et même maison (et au sucre non raffiné), ça en fait du sucre…
Donc pour vous faire part de ma routine de ces dernières semaines: j’ai arrêté de faire des gâteaux maison (mais si j’ai envie d’en manger quand on m’en propose, j’analyse si j’en ai envie et prends une part.). Personnellement, je le vis plus comme un combat contre le sucre caché et le sucre raffiné donc je ne m’interdis pas de manger entre les repas. Au contraire. Je prévois le fait que j’en aurais envie en emmenant sur moi des fruits frais, des amandes, des noix (variées), des fruits secs (raisins)… Je me dis que c’est préférable (d’après mes recherches). Et surtout, étant folle du chocolat, j’ai fait un pas immense, par hasard, en goûtant au chocolat noir (moins sucré et meilleur pour la santé). Du coup, je me prends aussi un ou deux carrés de chocolat noir (fin) ou noir avec des éclats de framboises. J’apprends aussi à manger moins durant les repas et à mâcher et je bois de l’eau toute la journée. Le sucre est à la fois une envie psycho et une envie physique (besoin du corps habitué) donc je ne me contente pas d’arrêter… Et je fais bien d’y aller progressivement car maintenant le sucré sucré me dégoute un peu et je réduis progressivement. Et j’ai aussi remarqué que je me sens parfois bizarre… Je suis en manque de sucre physiquement (crise d’hypoglycémie). Et goûter des amandes et des fruits me rassasie. Mais c’était difficile car parfois ennuyeux de ne pas se jeter sur un gâteau au chocolat!
Pour ce qui me manquerait à moi: une vue d’ensemble des conséquences du sucre, de où on le trouve (caché ou pas), de sa nature (raffiné ou non), et des alternatives naturelles (bien que controversées comme le sirop d’agave qui est encensé mais dont il faut se méfier). J’ai dû le faire par moi-même comme je l’ai dit plus haut mais je déplore qu’on trouve tant d’informations erronées sur des blogs lus et relus (que je ne citerai pas)…
Mon adage c’est: réduire sans se priver. Ne pas se rendre malheureux. Et du sport si possible!
Mes conseils (sur lesquels vous pourrez, j’espère, être d’accord): apprenez à goûter les aliments (ça vient aussi en arrêtant les excès de sucre comme de sel!), testez au lieu de partir du principe que vous n’aimez pas (comme pour le chocolat noir!) et étudiez les étiquettes de vos produits.
Merci et bonne écriture!
Bonjour ! Voilà une excellente idée ! un livre pour sortir de l’addiction au sucre ! un problème bien compliqué pour une majorité de personnes ! Je fais en ce moment un régime de régénération du foie et cela m’oblige donc à me passer de chocolat (ma drogue préférée et la seule d’ailleurs !), de produits laitiers (dont yaourt sucré),etc… et il est vrai que c’est un véritable combat au quotidien contre les habitudes alimentaires encrées en nous depuis l’enfance ! Le réconfort d’un carré de chocolat en rentrant du boulot pour faire le lien entre vie professionnelle et la deuxième journée à la maison qui commence ! Le goût de sucré pour finir le repas ! C’est limite de l’ordre de l’affectif ! J’essaie autant que possible de me passer de sucre ajouté, et quand j’en prends c’est du miel d’acacias, du sirop d’agave, du sucre de coco pour la pâtisserie, des fruits, mais je ne pourrais me passer complétement de glucides ! ne pas manger de céréales complètes est impensable pour moi ! je ne consomme que des sucres naturels ou des glucides complets, je serais incapable de manger sans glucides ! Je pense que vous parlez du sucre blanc et du sucre ajouté dans tous les produits industriels et pas des sucres naturellement présents dans les aliments complets de qualité ! Voilà mon vécu et mon ressenti par rapport au sucre, j’espère que cela vous aidera ! la question serait que proposer à nos enfants, addictes au sucre pour les aider à s’en passer sans être mis à l’écart par la société qui comme vous le dites très bien, range systématiquement tous ceux qui tenteraient de manger et vivre autrement que ce qu’elle nous propose dans la catégorie des sectaires et des complotistes ! j’attends avec impatience votre livre….
Bonjour,
78 ans passés, en forme, je mange de tout modérément et varié..
aucun problème avec l’alimentation.
J’ai mon potager bio, ne consomme pratiquement que des produits de saison, pratique jardinage et bricolage, aime (entre autres) la naturopathie, la phytothérapie, les huiles essentielles, fleur de Back, l’homéopathie, la bio électronique de Vincent, la médecine holistique, quantique…
Tout un programme simple, je vais faire des envieux, tant pis pour les toubibs et pharmaciens qui feraient faillite avec beaucoup de personnes dans mon genre.
Bon courage à tous les mal à dit…
Bonjour,
J’étais effectivement une grande impulsive du sucre: je mangeais sans problème aucun un gros paquet de M&M, une tablette de chocolat ne me faisait pas peur…Et il me fallait ma dose!
Une séance d’hypnose à ce sujet m’a été faite: le chocolat m’écoeure du fait de son goût terriblement sucré. J’ai des maux de tête si je m’obstine à en manger- ce que je ne fais plus: j’ai compris.
Et il est vrai que je me sens libérée!
Bon courage à chacun!
Bonjour Wlad,
Ma fille de 15 ans est très dépendante du Nutella. Pas moyen de le supprimer. Si elle n’en a pas, elle ne déjeune pas. Très souvent je prends de la pâte à tartiner bio, mais elle râle et finalement je cède à chaque fois. Je lui ai pourtant montré la vidéo mais rien ne l’arrête.
Peut être avez vous une idée.
Très cordialement
Josiane
Bonjour,
Merci pour votre blog très intéressant. Après avoir lu votre article sur le sucre, j’ai commencé très progressivement mon sevrage en novembre, il n’est pas encore terminé. J’ai d’abord arrêté les bonbons et nourritures industrielle, j’ai remplacé les céréales blanches par des céréales complètes, remplacé les desserts par de la compote, des banana chips, de la banane écrasée mélangée avec de la purée d’oléagineux, sucré mes préparations avec dattes et figues séchées, et mangé beaucoup beaucoup de fruits, quand j’avais envie de sucre les clémentines et oranges étaient parfaites. Petit à petit j’ai eu de moins en moins envie de sucre. Et j’ai perdu 5 kilos sans y penser, et pourtant je mange beaucoup plus gras (graisses végétales), moins de gluten, plus de légumes sans me forcer. Mais quand je reçois des gens ou que je vais chez eux, je mange inévitablement un petit peu de sucre, et bim, j’ai à nouveau ce besoin presque incontrolable. (j’étais vraiment addict avant). La pratique de la pleine conscience m’aide un peu. L’important c’est d’écouter la sensation sans forcément y répondre, mais c’est pas facile. Je suis en difficulté pour savoir avec quoi sucrer mes gateaux fait maison (j’ai essayé sirop d’érable, sucre de coco et ça me fait le même effet que le sucre de canne même non raffiné, je me ressers sans ressentir de satiété) Mon mixer n’est pas suffisament puissant pour mixer des dattes, mais je vais investir prochainement dans un nouveau mixer. J’ai également des difficultés pour ma fille de 2 ans qui préfère les choses sucrées, surtout qu’elle va chez une nounou qui fait de la nourriture classique (gateaux industriels au gouter etc). Je ne peux pas changer les repas qu’elle prépare et j’ai du mal à imposer à mes parents et beau-parents d’exclure complètement le sucre de l’alimentation qu’ils lui proposent quand elle va chez eux…
J’ai hate de lire votre livre!!!
bonjour
Trés intéressant cette idée de livre car cette addiction au sucre c’est vraiment difficile, pour ma part j’ai souffert toute ma vie de compulsion sucrée et puis en juillet dernier j’ai décidé de comprendre comment fonctionnait mon corps, mon métabolisme et ça m’a vraiment éclairée car finalement je n’avais jamais investigué dans ce sens ce que je voulais c’était du résultat sans chercher à comprendre le fonctionnement de mon propre corps quelle hérésie tout de même!! donc après maintes lecture sur internet j’ai découvert le candidad albikan et je me suis dis tiens peut être que si je supprime le gluten, le sucre raffiné bien sur, je me sentirai mieux et cela a été une révélation mon corps n’avait plus envie de se remplir juste le gout des légumes, des fruits des aliments sains quel bonheur, en paralléle je fais beaucoup de relaxation, méditation, auto hypnose car mon émotionnel me guide souvent vers le sucre et avec tout cela depuis juillet – 18 kilos, un moral au top, la vie qui change donc pour ma part c’est miraculeux!! voila mon expérience
Bonjour,
Jamais un jour sans sucre, mais je peux des jours sans sel. Des jours que sucre, du plaisir !
J’entends par sucre, chocolat (tous), biscuits secs (tous), viennoiseries industrielles ou non, crèmes dessert (toutes), flans mais pas yaourts (même sucrés). Ne surtout pas passer dans les rayons biscuits, chocolats et brioches des hypers, bio ou non, car au final c’est 50% de mon ticket de caisse. Chez le boulanger aussi d’ailleurs,je ne regarde que la briocherie et je lui laisse le pain.
Par contre je ne suis pas attirée par les fruits, les confitures, les compotes, les bonbons (tous), le sucre tel quel (mon café et mes tisanes sont sans sucre), les gâteaux de pâtisserie c’est bof, sauf si c’est chocolat et chantilly. J’ai pourtant 15 kilos de trop, mais la sensation d’apaisement que me procure le sucre est vitale pour moi. La seule fois ou j’ai réussi à m’en passer ( sauf 2 carrés de chocolat noir le soir) c’est lors d’un régime Dukan que j’ai fait sur 2 mois, avec 10 kilos perdus ( je n’en ai repris que 2). Des séances d’auriculothérapie avec homéo n’y ont rien fait pour moi.
Au plaisir de vous lire…
Je ne pourrai jamais me passer du sucré car ça m’apaise.
Hello !
Voilà des années que je souhaite bannir le sucre blanc de mon alimentation…
Je suis une véritable accro / addict aux glucides : céréales, légumineuses, fruits en abondance, chocolat.. Sevrage impossible ( surtout les jours de sport ou certaines périodes du mois en fonction de mes hormones )
J’ai des envies incontrôlable de sucré, ou d’être rassasiée par une bonne assiette de riz
Je fais du sport ( 3h de cardio par semaine ) mais vu mes excés je grossis tout de même 🙁 j’aimerais me nourrir surtout de cru, de bons gras : colza,noix … Mais le naturel revient toujours à la charge
J’attends vos préçieux conseils dans votre livre !
Bon courage pour l’écriture
Birdie
Bonjour monsieur Barath et merci pour cette exellente idée. Je vous encourage pour votre dévouement et votre souhait de voir tout le monde retrouvé la santé et le bien être.
Pour ma question, j’aimerais bien me sevrer
au sucre surtout pour améliorer ma santé mais ca me manque de la motivation et aussi ce qu’on peut remplacer au sucre?
Bonjour Wladislav, bonjour à tous
J’apporte ma petite pierre à l’édifice: moi aussi accro au sucre !!! Je pense en effet que cette « addiction » qui passe complètement inaperçue dans notre société nous a été transmise par nos mères, en tout cas dans mon cas c’est ce que je crois. Je le vois avec mon fils de 10mois, je fais déjà attention à ne jamais rajouter de sucre dans ses aliments, pour ne pas mal l’habituer dès le début de sa vie… Mais ma mère lui donnera des gâteaux, du sucre blanc dans le fromage blanc, etc… Vade Retro, Sucranas!! Aha.
Plus sérieusement, j’ai essayé d’arrêter ma consommation de sucre suite à la lecture de l’article de Wladislav, mais ça a été trop dur, état psychologique difficile, disputes avec mon conjoint, je deviens invivable, imbuvable, je vais très loin!!! Du coup j’ai peur de réessayer bien que je suis complètement convaincue du caractère néfaste du sucre… Je pense que je serais une autre personne sans le sucre dans ma consommation quotidienne, mais cela me paraît une montagne à gravir que d’entreprendre un sevrage….
Peut-être en aurai-je le courage grâce à votre ouvrage !
Merci en tout cas de vos efforts.
J’aimerais une newsletter plus fréquente, par exemple hebdomadaire, qui rappellerait vos bons préceptes à ceux qui vous suivent.
À bientôt !
Même si je mange sainement, je pense presque constament à manger du sucré. J’ai l’impression de devoir resister toute la journée et surtout lorsque je pars et je suis au travail.
Le sucre m’apaise, me réconforte, me déstresse et me donne du courage. Enfin, ce ne sont que des impressions car parfois, dès que j’en mange, je ne me sens pas bien. Mon estomac me fait mal et me pèse (à force d’en abuser, j’ai dû l’abimer) et pourtant je craque très vite.
Craquer c’est manger un morceau d’ananas, un morceau de chocolat 90%, des céréales sucrées ou du pain blanc destinees mon compagnon. Le sucre est partout et même en essayant de l’éviter, je fini par en manger à petite dose mais régulierement.
Certaines association comme proteine et sucre sont pê particulièrement nocives?
Je me suis mise au sport et je cours 2 à 3 fois par semaines pour déstresser autrement mais mon appétit augmente évidement et je ne sais plus quoi manger. Je fais plus moins attention a mon alimentation depuis très longtemps et j’ai lu beaucoup de méthodes différentes qui se contredisent toutes :regime proteiné, frugivorisme, crudivorisme… et avec toutes ces lectures, cette envie de manger plus sainement, je reste obsédée par le sucre.
J’envisage des séances d’hypnose mais là je me demande si je n’exagère pas…demander à quelqu’un d’autre de me contrôler, c’est étrange:/
Dans le livre « I quit sugar », on conseille d’y aller progressivement, de ne pas manger trop de fruits, pas produits raffinés et après la premiere semaine de tout arrêter et de méfier du sucre qui se trouve partout pain, sauce, vinaigre balsamique et même tomates sechées?
Quelques recettes sont sucrées avec du stevia ou du sirop de riz? La stevia, je ne sais pas si il faut s’en méfier et le sirop de riz a un index glycémique très élevé. JE ne suis pas convaincue… peut-on vraiment se passer de sucre avec ça?
Je me suis faite les mêmes réflexions que Sylvie. Pour moi aussi, je me sens mieux apres 4 jours sans sucre mais en ce moment je tiens à peine 3 jours. C’est plus « facile » en arretant le chocolat même à 70 voire 90%, le café et le pain, même complet.
Malheureusement j’adore le pain et les fruits et sans ça, j’ai vraiment l’impression de me priver de tout.
J’ai remarqué que mange salé dès le matin diminue ces besoins de sucre mais j’aime tellement commencer la journée avec du fromage frais ou yaourt de soja, un peu de céréales non sucrées et des fruits ou du pain complet et des fruits.
J’adore les fruits mais est ce que je dois m’en méfier? Est-ce qu’on a autant besoin de glucides que la pyramide le recommande?
Ce serait un plaisir de lire votre avis sur le sujet.
Bonsoir,
je serais heureuse aussi de lire votre livre quand celui-ci sera terminé. Pour le sucre, ça fait très longtemps que je l’ai supprimé de mon alimentation et cela ne manque plus du tout. je pense que c’est une question de volonté comme d’arrêter de fumer. Lorsqu’on supprime un aliment de son alimentation, avec le temps, on en oubli le goût et le corps ne réclame plus. je m’oriente vers une alimentation crudivore, mais je bois encore un peu de café, et je ne peux plus boire de café sucré, ça m’écoeure et d’ailleurs je n’apprécie plus aucun aliment qui est sucré. J’étais également une accro du fromage, je n’en mange plus et pareil ça ne me manque pas. On peut donc réapprendre à manger ce qui est bon pour le corps, avec de la volonté, on y arrive. La seule gourmandise que je m’autorise, ce sont des crêpes végétaliennes sucrées avec du sucre de fleur de coco et de la cannelle. Mais je pourrais les manger nature.
Depuis que je fais attention à moins en prendre en fin de repas je fais moins d’hypoglycémie vers 11H et 17H. J’ai toutefois besoin de sucre le matin et je le prends sous forme de miel.
J’ai hâte de vous lire pour savoir comment s’en désaccoutumer totalement.
Une seule question ? pourquoi vouloir toujours prendre un dessert sucré en fin de repas. Comment compenser cela ?
Merci pour votre engagement, vos recherches et votre altruisme.
Bonsoir Wladislas.
Je dois vous écrire depuis bien longtemps et cette perche et la bienvenue!
J’ai essayer pas mal de chose grâce à vos articles et je dois vous remercier pour le changement que j’ai pu avoir tant sur le plan physique que dans l’éclairage sur les divers sujets que vous évoquez.
Concernant le sucre j’ai suivi vos conseils d’éviter le blanc et apprendre à reconnaître le sucre caché…J’ai rapidement ( presque tout ) arrêter : soda, sucre en morceaux, viennoiserie, et les 4h industriel. J’ai remplacé par le miel et parfois du sirop d’agave.
Mais par contre aucun interdit, si je veux boire un coca, no soucis, j’ai juste enlevé tout ça du quotidien, enlever le régulier !
J’ai pratiquer le jeun par 2 fois et la c’est vrai que le rapport à la nourriture devient différent, sucre compris.
Je précise que je suis sportif et absolument pas en surpoids, j’ai donc fait ce jeun pour mon bien être personnel. J’ai trouvé facile et on se rend mieux compte de toute les sollicitations autour de nous! Télé, radio, magazine, magasin etc, tout est fait pour que nous consommions!
J’espère vous avoir un peu aidé comme vous m’avez aidé dans la réalisation de mon marathon.
Encore MERCI.
Bonsoir,merci pour l’intérêt que vous porter a cette difficultés par rapport au sucre.
Pour se qui le concerne en premier lieu je ne manque que BIO donc les sucre que je consomme n’est jamais raffiner .
Pour moi le sucre est avent tous un souvenir d’enfants avec ces bonbons que je manger car je ne me sentais pas aimer une douceur remplace une douceur,
En suit pour se qui est de maintenent étant Naturopathe je connais très bien les méfait du sucre,mais j’avoues avoir du mal a me passer d’un dessert ou du chocolat noir il m’arrive de ne pas en prendre pendent un petit moment mais a chaque fois il y a une sensassion de frustration qui s’installe par contre je ne mange jamais entre les repas quant il y a un desser c’est uniquement en fin de repas et c’est souvent du chocolat noir.et jamais de produit laitier même en crème dessert .je conseille a mes clients d’éviter dans consommer mais ne leurs interdit jamais car je connais la frustration que cela peut apporter voilà j’espère que cela vous sera util
Amicalement Rely
Bonjour, j ai arrêté le sucre raffiné (pour un début c est déjà pas mal) depuis janvier. C est finalement bien plus facile que ce que j avais imaginé. Du coup je comble mes envie de sucre par des dattes fraîches notamment.
Mon but c est surtout d enlever le sucre raffiné qui est nocif pour notre santé. Ce qui me permet de manger des fruits, du miel.
Le plus difficile je dirais que c est d avoir à l esprit qu il se trouve (le sucre) de partout et de toujours vérifier la composition des aliments ( jambon, saumon fumé, biscotte….ect).
Pour l instant ce seul retrait de mon alimentation me convient et n est ni psychologiquement ni physiquement difficile. (Étonnement) le fait de m être renseigné également sur tout ce qui est additif ect me fait voir les produits fini (que j aimais tant) comme du poison…sa rend les choses plus facile.
Je me questionne au sujet des féculent , sont ils mauvais? Faut il juste limiter la consommation ? Les céréales complète sont elles moins mauvaises?
Bonne recherche… Sur ce sujet intéressant.
Bonjour ! (et merci!!)
Aussi, j’arrive à faire 3-7 jours puis je retombe. Au mieux, 15-20 jours.
Ça me demande de plus en plus de courage pour redémarrer.
Plus jeune, j’ai souffert de désordres alimentaires ; anorexie puis boulimie, régimes à répétition. Un sevrage ou une restriction provoquera une éventuelle crise de compulsion alimentaire (pour le moment !). Physiquement (digestion) et mentalement, je trouve ça très difficile et décourageant.
Je ne sais plus comment m’y prendre. J’aurais besoin d’un groupe de soutient ! Les gens qui m’entourent, ne comprennent pas trop ma démarche. Et pourquoi j’y tiens autant. Je sais que je peux y arriver. Dans mon cas, je pense que ça me prendrait un bon 3 mois pour arriver à avoir un certain air d’aller ( ?).
Je note tout. Je peux lire dans mon cahier qu’au bout de 4 à 6 jours sans sucre :
Je me sens tellement bien ! Je n’ai plus de « cravings », je n’ai pas d’obsession de certains aliments et la faim diminue, je suis plus calme, mes idées sont plus claires, j’ai plus d’énergie, je me sens amincie, il n’y a pas de sueur nocturne, mes articulations ne font plus mal etc… Mais pourquoi je retombe? Je ne trouve pas la source…
Symptômes de sevrage : Oh ! Les premiers jours, ouf !! Pas facile. Irritabilité (qui augmente de fois en fois), anxiété, tristesse, léthargie, j’ai l’impression de ne pas faire partie de la vie ou à part des autres etc..
Le stévia en gouttes, c’est non pour moi. Même s’il est supposé être « neutre », je pense qu’aussitôt arrivé sur la langue, le signal est donné au cerveau et engage le processus comme si c’était du sucre. ( ?) … et il me garde dans l’habitude du goût sucré. Le stévia en poudre verte (feuilles séchées), ça aide mais le goût est particulier.
Le chocolat 70 % ? Pour moi, c’est changer une addiction pour une autre. En fait, c’est le sucre que je recherche (il reste un petit 30 % de quelque chose d’autre non !) Je me joue des tours en m’autorisant ce chocolat. L’idéal, est de le faire soi-même ou … l’oublier?.
Le café est à éviter pour moi. Un entraine l’autre… Il joue trop sur ma glycémie.
J’y arrive davantage quand la consommation de céréales (farine) est au minimum (j’évite le gluten). Les bananes, les dattes ré ouvrent la porte du sucre (pour l’instant).
La médiation, le « mindful eating, le EFT, la marche, les jus verts, légumes verts sont mes stratégies qui soutiennent le plus. Sarah Wilson (I quit sugar) propose une cuillère d’huile de coco pour stopper l’envie du sucre, et bien, ça marche.
Éviter les frustrations, les émotions, les conflits (ben là :O ).
C’est ici que le groupe de soutient me serait utile. Parfois, j’ai besoin davantage de support pour désamorcer la prise de sucre ou pour me « remémorer » pourquoi je fais ce cheminement. 🙂
Bonjour
Pour moi je suis pas une adepte du sucre mais mon vrai souci et celui du sel .. alors j ai hâte de vous lire à ce sujet.
Très bonne soirée à vous tous et toutes.
Bonsoir Monsieur,
J’ai souvent des envies de « sucré » j’ai beau essayé de ne pas y penser c’est plus fort que moi comme une drogue. J’avoue, je suis attirée en cas de problèmes, contrariétés,… par des produits sucrés que salés. j’aimerai arrêter mais ma tête ne veut pas et je ne perds pas de poids ce qui m’handicap beaucoup. Quand je fais une cure de magnésium je n’ai pas ou presque ce ressenti. Je n’utilise presque pas de sucre blanc, actuellement j’emploi dans les yaourts, fromage blancs du sirop d’agave.
Si vous avez la solution définitive c’est avec plaisir !
Cordialement.
Bonjour,
Nous sommes une famille de cinq personnes.
Nous privilégions le déjeuner sucré. C’est à dire pain et confiture maison au sucre de canne.
Pour le reste, nous sommes peu enclin à consommer des friandises et autres barres chocolatée.
Pour le chocolat, c’est du chocolat noir.
Je ne me sens pas prêt à arrêter la consommation de sucre le matin à moins que vous me donniez des bonnes raisons de m’en passer.
Par quoi alors remplacer le petit déjeuner?
Merci et bon travail.
Bonjour,
J’ai décidé d’arrêter le sucre après avoir lu vos articles, entre autres, et après avoir pris conscience de mon addiction… Je mangeais du chocolat le soir, des desserts sucrés après les repas et avais de réelles fringales.
Je n’arrivais que difficilement à rester raisonnable quand j’entamais bonbons, chocolat ou autres gateaux…
J’ai maintenant arrété le sucre depuis deux semaines, mais pas les féculents ni légumineuses…
Pour le moment je m’étonne de ne pas ressentir d’effets secondaires. je mange des fruits (j’ai souvent envie de bananes) et le lait de riz que je buvais auparavant me semble trop sucré.
Depuis que j’ai arrêté les aliments sucrés, je me sens beaucoup moins fatiguée et plus dynamique!
J’attends de voir combien de temps je vais tenir sans grosse fringale! Mais de vous lire me motive beaucoup! Merci!
Perso, je jeûne pour me sevrer, et c’est vrai que les premiers jours, il y a des besoins énormes de sucre. Voir une tablette de chocolat noir ou un paquet de M&M’s est un supplice pour moi, accroc a cette friandise. (j’en mange facile un paquet de 500 gr seul dans l’apres midi, au cine ou a la maison. Apres je me sens mal, langue qui brule, gorge prise, pesanteur… j’en passe. puis des que ca passe, en 2 a 3 jours ou je jure ne plus retoucher cette cochonnerie, je replonge…c’est vraiment pour moi niveau cerebral, la petite discussion intérieure, qui finit par l’emporter sur toute raison, après tout, on ne vit qu’une fois, je suis en forme, pas de soucis de santé… allons y, mangeons encore.
Sans stimuli, je m’en passe. si le stock est vide, plus de chocolat dans le placard, je peux rester sans envie un moment, mais he;as, les courses de temps en temps meme en magasin bio, et hop une tablette. Par contre quand l’envie me prend, j’ai essaye la meditation, des occupations, etc, la seule façon de m’en débarrasser est soit de foncer au supermarché, soit de m’enfermer et jeter la clé!
Bonjour,
Je sais qu’il existe déjà plusieurs livres sur le sucre, que je n’ai pas encore lu, ET je pense que le vôtre sera sûrement unique et je serai heureuse de le lire car j’apprécie beaucoup vos articles qui me paraissent se baser sur des critères qui ont du sens.
Chaque semaine je me dis que je vais arrêter totalement le sucre et chaque semaine je ne tiens pas ma promesse. Je trouve que je mange peu de sucre car pas de boissons gazeuses, pas de bonbons, pas de miel, de confiture ou autre, jamais de sucre dans le café ou quoique ce soit, du chocolat minimum 80%, deux carrés, mais disons une fois par semaine je vais craquer pour une viennoiserie ou un gâteau sec sans gluten.
Je suis à 95% sans gluten et n’ai perdu aucun kilos alors que les personnes que je connais qui mangent sans gluten ont toutes perdu 4kg et en fait ma motivation pour l’arrêt presque total de sucre (sauf les fruits et les céréales) serait de perdre du poids. Est-ce une bonne motivation ? Peut-être pas. En fait je suis plus attirée pas les aliments acides (vinaigrés), amers (artichauts et autres), pimentés et salés que par le sucré et pourtant me dire que je n’ai droit à aucun sucre, fait que je vais avoir envie de qque chose de sucré….!! Tout un programme…. Et que penser des sucres qu’il y a dans les laits de riz, d’amande et autres, soit disant sans adjonction de sucre, mais sucré naturellement. Est-ce vrai ? Est-ce aussi à proscrire ? Quels seraient les sucres tolérés ou bénéfiques pour l’humain ? Merci d’avance de vos réponses et bon travail pour votre livre.
c’est d’abord en remplaçant le sucre par le miel dans ma boisson du matin et le thé de 17h, que le goût du sucre m’est devenu gênant ! il est vrai que mon meilleur allié pour combattre le goût du sucre ( toujours liè à la fatigue) ce sont des céréales germées ( lentilles+ soja+alfafa+radis noir etc*) 1 grand bol par jour ! depuis je ne peux même plus manger de la confiture sur du pain: je n’aime pas la saveur sucrée de la confiture! même à l’hôtel j’emmène mes graines à germer, c’est ma garantie contre le vertige du sucre.
NB ce sont des céréales que je fais germer moi même, je les mange dés que le germe apparait,
si le sujet vous semble intéressant je peux donner plus de détails
Le goût se modifie peu à peu lorsqu’on change son alimentation, notamment en ce qui concerne le goût amer (passer du chocolat à 85%, puis 90, puis 95, puis 99, puis 100)
Je crois que le sucre extrait de l’écorce de bouleau (xylitol) qui a au moins comme qualité d’empêcher les caries et qui est moins calorique, peut nous aider à nous déshabituer du sucre industriel. En ce qui me concerne, il améliore mes problèmes intestinaux.
En cas d’envie irrépressible de sucre, je pense qu’il vaut mieux consommer des dattes et des figues sèches, abricots secs, pour éviter les produits fabriqués qui contiennent en plus du sucre de la farine et d’autres cochonneries.
Quoiqu’il en soit, difficile de se restreindre ! Et il faut quand même se faire plaisir au quotidien, non ?
J’ai fait un sevrage au sucre suite aux conseils d’une diététicienne et ce, pour me débarrasser de quelques kilos.
Pendant au moins 2 semaines, idéalement 3 semaines, elle demandait de supprimer tous les sucres rapides et l’alcool. Les fruits étaient permis à des moments bien précis afin d’abaisser l’index glycémique: soit au petit déjeuner entre les 2 tranches de pain au gluten … soit seul en respectant un délai de 3 heures avant et après un autre aliment.
Le plus difficile était de traquer TOUS LES SUCRES CACHES …une bonne paire de lunettes, une loupe, et beaucoup de temps pour lire minutieusement toutes les étiquettes et ne prendre que les produits sans sucre, ni glucose ni dextrose.
Aucun écart n’était permis pendant cette période de déconditionnement.
(Son livre : Le régime libéré aux éditions Pire – Auteur : Miss Calorie)
j’ai été très accro aux produits sucrés jusqu’à 30ANS .je me suis déshabitué en buvant une gorgée sans sucre et en ajoutant après un peu de sucre en diminuant les doses de sucre et augmentant le nombre de gorgée ss sucre au début de mon thé ou café ou autres .j’ai introduit un verre de vin aux repas !mon corps me réclamait du chocolat…et je lui en ait donné à volonté…et j’ai fini par en être complètement écœuré …je compensait aussi avec des fruits très murs et secs aussi !20ans +tard j’ai pu me rendre compte que les jours ss vin déclenche l’appel du sucre mais je m’en passe avec grand plaisir! a part 1sucre roux pour 1/2 théière le matin .si cela peut etre utile…Bon courage
Bonjour
Ha !! Le sucre … Un carrée par lui même ne m’attire pas du tout mais tout ce qui est sucrée : oui
Gâteaux chocolat ect …. Mais qu’est ce que cela cache ? Mon corps réclame quoi ?? une sorte de compensation … De plus le sucre appel le sucre !!
C’est que le bas blesse ! Plus on en mange plus on en veux .. Pourquoi cela déclenche quoi dans notre métabolisme ?? Et organisme ?
Cela serait intéressant a savoir !!
Et tout les apports de sucre cachée ?
L’alcool se transforme en sucre nous le savons … Bref comment faire . ? Les pâtes les féculents … Le sucre est partout …
Mais il nous est nécessaire aussi
Mais j’ai vraiment des appels de sucrée : et je ne fruste pas mon corps mais c’est toujours culpabilisant … Alors je vous demande : que faire ??
Je suis, j’étais un bec à sucre… ou une droguée du sucre.
Grâce à la lecture de vos articles, et de quelques autres recherches. J’ai considérablement réduit mes apports.
Déjà fini les produits industriels, place au naturel… Fini aussi le sucre classique (de canne ou de betterave) de tant en tant si besoin, un peu de sirop d’agave, ou de miel.
Et je garde les fruits (qui peuvent être très sucrés), le goût du sucre étant toujours présent avec les fruits, je n’ai pas senti de sensation de sevrage brutal (peut-être parce que je ne le suis pas tout à fait).
De temps à autre (1 fois à 2 fois par mois) je m’autorise une exception (type gâteau) essentiellement en sortie à l’extérieur… mais même si le goût apporte un plaisir certain sur le moment … je ne me sens pas forcément bien après… essentiellement au niveau de l’estomac.
Parfois il m’arrive d’avoir des petites fringales, j’aimerais bien avoir plus de détails sur l’utilisation des graines (lesquelles par exemple) et comment peut-on expliquer leur effets dans le cadre d’un sevrage du sucre ?
Merci pour toutes vos lumières !
Bonjour,
J’ai déjà eu à faire un régime sans sucre pour des problèmes d’hypoglycémie dans le passé.
Je ne tiens jamais longtemps ce régime et aujourd’hui je me sens toujours dépendant du sucre que je consomme en grande quantité même si je privilégie sa forme naturelle (miel).
Je n’arrive pas à limiter ma consommation qui me semble compulsive. Je pense qu’il doit y avoir des raisons derrière cela, chimiques et psychiques (manque de sérotonine, besoin de combler, de compenser, de se réfugier…).
Mis à part jouer sur le stress et le côté psychique, améliorer le terrain général du corps, je ne vois pas comment me défaire de ce besoin.
Bonjour !
Je pense que le « sucre » est une question d’éducation surtout actuellement,( vive les publicités ) lorsque j’étais petite, quelques fois, en colonie ou pour les grandes occasions nous avions droit au sirop …grenadine, menthe, citron…même si je le buvais, je n’ai jamais été trop accro aux sirops et puis, ado, j’ai connu les sodas, coca, Gini….mais ce que je recherchais, c’était le goût du fruit et j’avoue ne pas avoir été super accros non plus ,de temps en temps oui , mais il me reste la soif que seule l’eau peut étancher, actuellement, il m’arrive de prendre à l’occasion des boissons alcoolisées, mais c’est toujours le goût du fruit que je recherche …donc le sucre ne m’apporte pas satisfaction dans ce sens là autrement dit.;.les sirops…très rarement et très légers les sodas encore plus rarement…peut être 1 à 2 fois par an et encore !..et l’alcool 1 verre par mois maxi pour des repas de famille ou pour la détente . je me suis sevré de la cigarette à 30ans et ne veux surtout pas avoir d’autre chaine qui pourrait entraver mon chemin, alors je me méfie du chocolat et l’apprécie mais sans en abuser .
le café , le sucre, les fruits ont bien meilleur goût sans sucre il suffit d’essayer quelque temps pour sentir que le sucre est en trop !
Par contre le sucre dans les pâtisseries…mais la farine de blé , autrement dit le gluten me gonfle donc je sais que tôt ou tard, pour un anniversaire je remangerai du gâteau donc je n’en fais pas une obsession par contre riz ,pâte, patates .et autres sucres lents ..uniquement à midi, (sauf si légumes plus protéines ) le soir légumes en soupe assez épaisse .Les matins c’est ce que je veux et ma préférence va souvent au salé ., fruits secs , œufs ,;j’essaye de manger au moins 2 fruits par jour .vers 10h et 16 h..
Voilà , moyennant quoi, je n’ai jamais trop faim je ne me sent pas « gonflée « après le repas et n’ai pas souvent de coup de pompe sauf si je dois faire un vrai effort et dans ce cas là , je prévois de manger un fruit avant ou une barre de céréale .jamais de produits laitiers je n’aime pas le fromage et ne supporte pas le lait ( problèmes articulaires et o.r.l.)
je précise que j’ai 54 ans , je suis infirmière et praticienne d’acupuncture et essaye sans me prendre la tête de bien manger pour avoir un corps et esprit léger .
Je pense qu’il faut manger pour nourrir son corps et non pas combler un manque affectif ,dans ce cas là en prendre conscience et savoir que toute la bouffe du monde ne comblera jamais rien pas plus que la drogue, la cigarette ou autre …
Si mon commentaire peut apporter de l’eau à votre moulin ou mots à votre livre….
Que la brise légère du printemps allège votre cœur !
Bonjour,
Je réponds à votre invitation à partager à propos du sevrage du sucre.En ce qui me concerne je ne suis pas tout à fait dans cette démarche.Je suis davantage « salé »que « sucré » et ma consommation de sucre pur (chez nous déjà le sucre n’est pas blanc) est limitée à la confection de gâteaux ou pâtisserie.Il m’arrive de consommer du miel comme un « alicament » pour absorber des huiles essentielles ou pour compléter une tisane pour la gorge.Ou encore du sirop d’érable comme condiment. j’ai remarqué que pour ma part une fringale de sucre (sous forme de chocolat le plus souvent et plutôt noir) est davantage le signe d’une autre carence: baisse de forme ou d’énergie ou anémie ferriprive ou encore inactivité forcée ou non. J’essaye d’aborder le problème autrement qu’en consommant du sucre! Quant à ma part de glucides (il parait que le corps ne fait pas de différence entre les simples et les complexes) elle est dans mon alimentation assez conséquente parce que je mange peu de viande. Céréales et légumes, légumineuses font souvent mon assiette.Mon régime alimentaire est celui de raison garder et de me garder loin des écoles de pensée diététique trop strictes.Cela ne me ressemble pas.Manger est à la fois une nécessité (à moins de vivre de prana je n’y suis pas encore!)et un plaisir que je m’accorde volontiers en étant le plus proche de mes sens et de mes besoins. C’est sûr que dans l’industrie agro-alimentaire il faut faire le tri :bonbons, biscuits gâteaux etc ne sont pas des aliments nécessaires et leur consommation répond à des « pseudos besoins » :carence affective, besoin de douceur ,oralité déséquilibrée.. A mon humble avis:l’excès est nocif en toute chose que ce soit l’excès de privation comme de consommation.
Votre blog offre de nombreuses pistes de réflexion sur ce sujet comme sur d’autres, j’espère que votre livre en préparation apportera un éclairage global et un regard sans œillères sur la question.
Bon travail!
le sevrage au sucre pour moi a été radical……en fait victime du cancer j ai très vite compris qu il fallait que je supprime tous les sucres raffinés……….
le sevrage du à la nécessité a finalement été facile ,voici 2 ans que je l ai supprimé et il est vrai qu aujourd hui quand par hasard je prend un dessert …………..il est toujours trop sucré……
je continue tout de même avec les fructoses……….et quelques féculents …..riz surtout
Merci pour ce que vous êtes et ce que vous faites pour vous et nous tous……..:-)
Bonjour, j’ai 58 ans. j’ai le bec plutôt salé. Mais je reconnais que je suis passée par une période sucrée qui a duré presque 4 ans. Pas de pâtisseries ou biscuits mais du chocolat noir, quantité de fruits, légumineuses diverses et … Gruau d’avoine avec lait de soja. J’ai dit stop quand j’ai réalisé que j’avalais 500gr de gruau d’avoine sec et 3 l de lait de soja en 3 jours…
J’avais doublé la quantité initiale pour le même effet de satiété. Voici 4 mois que j’ai tout supprimé sauf le chocolat. J’ai remplacé par des fruits secs, de la noix de coco, des légumes et du fromage. J’ai perdu du volume. Voici 2 jours que je remange du chocolat à moins de 70% et des fruits : c’est vrai que le regain d’énergie est immédiat mais je transpire,
J’ai la tête qui tourne, je stresse, j’ai besoin de m’activer, de marcher. Donc, j’ai décidé de
garder le chocolat de plus de 80% et de ne manger qu’un fruit vers 16h.
Arte a diffusé un reportage il y a peu, sur le sucre et les lipides. une des conclusions était que la personne qui supprime les glucides de son alimentation met son corps en danger : le pancréas risque de ne plus pouvoir produire de l’insuline, selon le principe que la fonction crée l’organe. La personne risquait de devenir diabétique.
Je m’interroge : est-ce exact ? Ou est-ce encore une désinformation volontaire ?
Bien à vous.
Je ne pense pas que mon temoignage puisse apporter quelque chose car pour moi le sucre n’a jamais été un problème. Cependant, lors d’un contrôle mon taux de triglicérides était à la limite et je me suis posé la question de savoir pourquoi. En fait, j’ai vite trouvé. A chaque repas, j’avais ou des pâtes, ou des pommes de terre, ou du riz, ou du pain. J’ai donc supprimé tout ça en les remplaçant par des légumes et je suis revenu à un taux normal.J’ai aussi remplacé la viande par du poisson et supprimé le lait, les fromages et les plats préparés. Si je dois acheter de la sauce tomate, je lis toujours les étiquettes et choisis le produit dont la liste des ingrédients est la plus courte, ce qui se limite souvent à l’ingrédient principal, plus un ou deux ingrédients tels que l’huile d’olive et une épice ou deux.
Ainsi j’ai perdu mon ventre et ai ratrappé ma taille de jeune-homme:-). J’ai aussi noté, qu’avant je devais souvent m’éclaircir la gorge en faisant des hmm hmm, à longueur de journée. Cette habitude a disparu. Du coup, je peux me permettre deux espressos par jour avec une cuillère de miel et parfois une barre de chocolat mais exclusivement noir à 80 ou 90%.Les gros répas pour moi c’est le matin et vers 14h. Le soir, souvent je ne mange pas, ou quelques fruits ou noix vers 5 ou 6h.
Bonjour , dur , dur , de ne pouvoir se dire NON , c’est la preuve que les adultes ne sont que des enfants . Soit , si vous ne savez pas dire NON lorsque c’est nécessaire , personne ne peux le faire à votre place .
Bonne chance à tous
bonjour,Mr barath,bravo pour prendre l initiative de ce livre,car le sucre est une addiction dont on ne se rend pas compte
j ai une steatose hepatique ,j évite de manger tout ce qui est gras et sucre ,les viennoiseries…
mais des que je suis invitée ,ou que je suis stressée , fatiguée ,ou que je vois des sucreries ,gâteaux,chocolat …,je tombe dessus,je n ´arrive pas a m arrêter ,c ´est l’interdit ,j’utilise l’EFT,malgré cela je récidive ,je voudrais arrêter une fois pour toute .merci pour tout
Bonjour Wadislas,
oh oui le sucre, c’ est terrible, il n’ y a pas un jour ou je me dise de pas y toucher sinon je sais qu’ une petite gourmandise pour ma part est égale à une puis deux, trois … jusqu’ a ne plus en pouvoir… Et cela me vaut le lendemain d’avoir très mal à la gorge, certainement dû au taux de sucre contenu dans ce que je mange comme gâteaux , chocolat ou bonbons… qui provoquent chez moi des irritations.
Ce n’est pas par manque de volonté car je peux tenir 2 voir 3 jours sans y toucher mais arrivé à ce stade les désagréments type mal de tête et fatigue sont si terribles que même si j’arrive a tenir le coup toute la journée du 3ème jour, le soir venu je succombe… je n’ arrive pas à dépasser ce palier…
Je suis épileptique et je sais que le sucre n’est pas ce qu’ il y de mieux dans mon cas, surtout qu ‘ coté de cela je fais au mieux pour avoir une alimentation équilibré malgré ses pulsions sucrées… enfin voilà
Donc je peux dire que j’ ai hâte que vous éditiez votre livre afin de mettre vos conseils en pratique.
Au plaisir de vous lire.
Cordialement
J’ai des antécédents diabétiques puissantes. Mais je suis la unique personne de ma génération, que n’a pas de problèmes diabétiques. Et depuis que je prends du magnésium, mes envies de chocolat sont disparues, et je ne sent pas des envies sucrées. Neamois, dans un article que je viens de lire, on parle de la relation de deux parties du cerveau. Et donc une détermine par notre pre histoire, en recherche de énergie pour stocker, et que cela détermine actuellement nos envies de sucreries. Sinon, je suis extrêmement intéresse dans vos travaux sur la cure de fois (je fais, deux fois par année, la cure de HUlda Clarck, et aussi des petits cures) et sur le jeûne.
Bonjour,
J’ai personnellement eu des problèmes avec cela plutôt quand j’étais adolescente. J’ai été allaité jusqu’à tard avec un sevrage difficile, peut-être cela joue-t-il en partie (?), en tout cas mon addiction était fortement liée à mes parents et surtout ma mère, laquelle s’inquiéter du coup de me voir manger trop et donc me culpabiliser, ce qui entrainer un cercle vicieux. Quand je suis partie de la maison familiale, ça n’est pas tout de suite parti. Cette addiction a disparu lorsque j’ai arrêté de me culpabiliser du fait que je mangeais trop, car quand je le faisait j’avais une sensation de privation qui entrainer une peur du manque, et donc je manger des sucreries de plus belle. Plus j’essayais de resserrer la bride, plus mes pulsions s’emballaient, et je me sentais de plus en plus dépassée et incapable de changer.
C’est pourquoi je pense, d’après mon expérience, que le besoin de sucre est une recherche d’une douceur, d’un apaisement, d’un réconfort, comme le lait maternel (qui est d’ailleurs très sucré au gout). En s’apportant du réconfort et de l’amour propre, on finit par ne plus avoir besoin de ces compensations extérieures. Ne pas rester bloqué sur notre problème, à essayer de se changer à tous prix, mais s’ouvrir à l’extérieur, faire autre chose…c’est certainement valable pour pas mal d’addictions je pense!
La rigueur, elle, n’a pas beaucoup d’effet dans cette histoire, voire même rend le problème spasmodique et cyclique au lieu de continu, ce qui n’est pas plus souhaitable, surtout d’un point de vue cellulaire (si cela est vécu comme manque, il y aura d’autant plus de stockage du sucre la prochaine fois qu’on « replongera »)…
J’espère que mon témoignage pourra vous aider.
Bonne journée en tout cas
Emma
impossible d’arrêter le sucre. J’ai essayé la stévia (c’est infect) l’aspartam me fait avoir encore plus envie de manger sucré. Bon j’ai arrêté de fumer il y a 4 ans, peut-être est-ce dû à cela.
je n’y arrive pas tout simplement.
Cordialement
Oui, il y a un lien entre le tabac et les bactéries dans l’intestin. En arrêtant le tabac, ces bactéries prolifèrent et réclament plus de sucre.
je viens de relire l’article sur le sevrage de sucre et pense mettre en action ces principes simples de manger des graines!! les symptômes comme la fatigue, la fatigue musculaire et cette fringale de sucre qui n’a pas de sens après un repas !! m’interpellent.
Il est vrai que lors du jeûne, j’ai pu faire 15 km sans souci, ni hypoglycémie, au contraire en me sentant légère et plus consciente des muscles internes du ventre , moins essoufflée aussi.
L’exercice y est sans doute pour quelque chose mais ce n’est pas tout!! à suivre…
Bonjour,
oui j’essaye actuellement de me defaire de l’envie de chocolat. je ne mange pas de sucre mais le chocolat noir min 70 est vital pour moi.
je suis à mon 22iem jour de sevrage et il m’arrive tout de meme d’en avoir envie. je prends alors une cuilleree de miel quand c’est trop difficile de résister.
je sais que j’y reviendrai apres ces 40 jours.
C’est un besoin physique.
je ne sais si cela vous interessera.
Bonne continuation dans vos écrits. que le se succes s’en suive.
Cordialement et dans la lumière carinne Th Beaune.
Merci pour votre témoignage.
J’ai 53 ans et une sclérose en plaques. Les premiers symptômes se sont fait sentir à 26 ans. Là déjà j’ai commencé à chercher comment m’en sortir et j’étais tombée sur un article de médecine naturelle qui disait à quel point le sucre était mauvais, or j’étais addicte au sucre, au plus haut point. J’ai immédiatement décidé d’arrêter cette quasi drogue. Ca a été difficile, mais quand on est malade et qu’on veut s’en sortir, on arrive à tout faire. J’ai arrêté du jour au lendemain, mais le manque se faisant inévitablement sentir, j’ai mangé des fruits secs style abricots, pruneaux qui ont un goût très sucré, mais qui ne contiennent que des sucres naturels. Les effets se sont fait sentir très vite: perte de poids, alors que j’étais déjà très mince et moins de symptômes de sclérose. Depuis je vis sans sucre et les aliments qui contiennent du sucre, me semblent immangeables car hyper sucrés. Il m’arrive encore de manger des fruits secs, ni par envie, ni par besoin, mais tout simplement parce que c’est sain d’en manger un peu en hiver. Puis ma maladie a empiré et j’ai fait une formation de naturopathe et là aussi j’ai compris à quel point le sucre était malsain. Depuis je me soigne moi-même et je vais bien, mais jamais, au grand jamais je ne remangerai de ce poison.
Monsieur Barath, je vous félicite pour tous vos articles et votre livre à venir, mais surtout pour ce travail sur le sucre. Le corps et surtout le cerveau ont besoin de sucre, mais pas de sucre blanc, qui est destructeur au plus au point. Quand au succédanés, ce sont les pires des poisons.
Désencrasser l’organisme. La solution est là. Mais pas comme on l’entend. Il s’agit de désobstruer les capillaires.
Tant qu’on consomme du sucre, on « bitume » le sang (comme dirait un ami ;)). L’intensité du sevrage dépendra de l’étendue de la sclérose capillaire.
Bonjour,
Si vous parlez de sucre ajouté dans les boissons industrielles sachez que je ne consomme pas ces produits. Cela fait plus de 10 ans que je ne consomme plus de sucre raffiné dans mes jus ou boissons. Je ne consomme que de l’eau. Cela s’est fait naturellement, j’ai commencé par remplacer le sucre par du miel puis je me suis passé du miel au fil du temps. Je sais que lorsque j’ai envie de sucre c’est parce que je n’ai pas assez mangé de fruits. Dans ce cas, je me jette sur tout ce qui se trouve dans ma cuisine comportant du sucre raffiné mais ça ne dure pas longtemps. Une fois repue, le sucre raffiné me répugne je n’y retouche plus pendant très longtemps.
Très intéressant cette idée de livre.
Bonjour Wladislas
Contente d’avoir de vos nouvelles et aussi de savoir que vous travaillez à cet ouvrage sur le sucre . J’arrive à m’en passer un certain temps surtout après un jeûne puis, dès que je commence à manger un morceau de chocolat ou de glace que j’aime bien,c’estl’emballement et je n’arrive que difficilement à m’arreter.Pourquoi???
Combien de temps dure votre jeûne ?
le jeûne dure une semaine, sachant qu’il faut une semaine de préparation et une semaine de sortie de jeûne . Nous en sommes à la quatrième année; après avoir fait un stage d’une semaine près d’ Orléans pour me rassurer puis en gite et enfin à la maison.C’est chaque fois être confronté à ses peurs, apprendre à se connaitre et à se faire confiance.
Et là cela devient un besoin, besoin de laisser l’organisme remettre le compteur à zéro, besoin de se retrouver avec soi même et en dialogue avec son corps.
Francine
Et malgré ces jeûnes, le sucre vous attire toujours ?
oui, c’est comme une dépendance dès que je recommence à en prendre, un besoin….
qui dépasse ma volonté qui pourtant est forte en général.
c’est profondément ancré en moi, douceur, besoin de se rassurer (mais de quoi??)
avec un compagnon qui adore le sucré , le chocolat .
Tentation permanente
Sinon, je n’en achète pas et ça va.
J’ai tenté de me sevré à la suite de la lecture de votre article, motivé comme jamais. Après deux semaines passée sans souci je commençais à désespérer car les envies de sucre étaient toujours là, je ne ressentais pas les bénéfices de la cure. Après trois semaines je me suis laissé tenté d’abord par un gâteau, puis deux avant de succomber totalement et de laisser tomber la cure. Avec le recul je me dis que je n’ai pas assez persévéré mais je pense que je ne le voulais pas assez mentalement. J’aime pâtisser depuis petite et la pâtisserie est pratiquement une passion pour moi. Je me dis qu’arrêter le sucre (et donc les gâteaux) ce serait enlever une grosse partie de ma personnalité. Je ne me visualise pas ne pas manger de sucre. Comment changer cette vision des choses ? Comment réussir à trouver du plaisir ailleurs que dans le sucre et à me défaire de cette addiction?
En utilisant votre passion. Elaborez des recettes avec sucres complets, puis sans sucres ajoutés. Vous avez tout un monde à découvrir. 😉
Bonjour Wadislas, bonjour à tous,
Très franchement, je n’ai jamais décidé d’arrêter le sucre, de toute façon je ne pense pas être un modèle de bonne alimentation ni de bonne nutrition, ce qui revient sans doute au même.
Je ne fais pas de fixation sur le sucre, je consomme du sucre roux pour sucré mes breuvages thé, infusion, et café que je tente de diminuer.Je met 2 morceaux de sucre par tasse, par contre j’ai arrêté d’acheter des biscuits et du chocolat, j’en consomme très très rarement sauf quand je me prépare un gâteau (en moyenne une fois par mois).Mais je ne pense pas être un bon exemple puisque de toute façon hormis le fait que je n’achète pas de sucre blanc et uniquement du sucre roux, je n’ai jamais eu l’idée d’en arrêter complètement la consommation, en revanche j’ai complètement arrêté le sel et cela ne me manque pas du tout, en fait j’ai l’impression que tout est déjà salé (la sauce tomate, les légumes lorsque je les cuisine, le vinaigre ou crème de balsamique avec lequel j’assaisonne mes salades !!! étrange sans doute, un jour je n’avais plus de fleur de sel et j’en ai jamais racheté cela va faire 2 mois et ça ne me manque absolument pas…un jour je ferai je l’espère pareil avec mon sucre roux….
Je me reconnais dans presque tous ces commentaires. J’ai une forte addiction au goût sucré, surtout le chocolat. Je vais aller voir un hypnotiseur pour faire quelque chose, pour effacer cela de ma conscience, parce que c’est ainsi que l’on se programme.
Votre livre sera peut-être très intéressant s’il peut aider a vivre sans avoir l’idée fixe d’aller trouver n’importe où une sucrerie qui trainerait par là, et tout cela pour assouvir son désir. C’est tellement puissant qu’on ne peut pas résister. C’est vrai que l’on a besoin d’aide.
Si tu veux essayer des séances à la maison avant d’aller voir un hypnothérapeute, Sonia, je peux t’en proposer deux en mp3 (à écouter au casque impérativement !) :
http://tinyurl.com/kmvgndp
http://tinyurl.com/p97km7s
Bonjour,
Très bonne idée ce livre !
Pour ma part j’ai réussi 2 sevrages, un de 4 semaines, et un de 6 semaines. A chaque fois la même chose: je mange bien aux repas principaux, le petit dej est souvent constitué du Miam ô Fruits. Et au moment où je me crois sevré et capable de me contenter d’une douceur (gâteau maison) par semaine, je m’en prépare et hop ! je retombe dedans ! Et chaque fois il m’est très difficile de me remettre en selle. De plus je perds peu de poids car je pense que je compense pas mal lors des repas. Malgré les légumes et fruits très présents dans mon alimentation, je pense abuser des féculents (même si toujours complets.)
Ce que j’aimerais c’est vraiment un guide motivant (rappeler les nombreux bienfaits de l’arrêt du sucre, des témoignages de gens qui comme vous s’en sont sortis, ..), et un guide de quoi, comment, quand manger en quelque sorte !
Voilà. Merci pour ce site fortement inspirant ! Mais un livre serait plus facile qu’un ordinateur à avoir à porter de main pour se plonger dedans à chaque doute et/ou chaque envie.
Bonjour à toutes et à tous.j’ai changé mon alimentation en privilégiant des glucides a index glycemiques bas (liste aliments sur internet).Eh bien ,mes envies sucrées ont disparues vu que mon pancréas ne secrète plus d’insuline a tout va !.Plus d’envies intempestives,une satiété plus longue entre les repas qui évite les grignotages combinée avec un peu d’exercices en intervalle training méthode tabata (20 secondes a 85-90% de sa FC Max et 10 secondes de repos répétées 8 fois) eh bien graisse sur le ventre qui diminue, économies sur tout ce qui est industriel et des menus plus variés ( en finir avec les menus patates riz pâtes ) .Pour l’instant ,mes envies soudaines de sucré ont disparues.
Amitiés.Vincent.
Bonjour
Je me réjouis de lire votre futur ouvrage.
Pourriez-vous préciser si vous voulez traiter du sevrage au sucre blanc ou du sevrage à toutes les formes de glucides ? Quand vous parlez des effets néfastes du sucre sur le cerveau et le corps, parlez-vous seulement du sucre raffiné ? Dans l’un de vos articles vous dites : « Les sucres – et plus particulièrement le sucre blanc – sont des poisons ». Qu’entendez-vous ici par « les sucres » ? Tous les glucides, y compris le sucre complet, le sirop d’agave, le miel et le fructose trouvé dans les fruits ? Voire aussi les glucides présents dans les légumineuses et les céréales complètes ? Je ne sais pas bien où est la limite.
Personnellement j’essaie seulement de supprimer tout ce qui est raffiné (sucre, farines, riz), et pour ça, je dirais que ce qui me rend la tâche difficile, c’est la quasi absence dans le commerce de produits préparés à base de sucre complet (ou miel ou autre équivalent riche en minéraux). Autant l’on peut trouver des produits à base de farine complète, autant pour le sucre, la quasi-totalité des produits transformés sont à base de sucre raffiné, même dans les magasins bio. Il reste la solution de faire ses gâteaux, biscuits etc. soi-même, mais pour le chocolat par exemple c’est difficile ! Il manque à cet égard une prise de conscience collective qui fasse de l’argument « avec du sucre complet » un argument vendeur… Puisse votre livre contribuer à faire advenir une telle prise de conscience. Merci pour tous vos articles qui sont passionnants.
Pour des raisons d’hypoglycémie depuis mes quinze ans, et de migraines fréquentes, je me suis sevrée du sucre il y a un an et demi environ. Ca m’a semblé aussi épouvantable qu’un sevrage de drogue ou de cigarettes ! J’ai éliminé tous les sucres raffinés et ajoutés, les sirops, les boissons sucrées, le sucre dans le café, les pâtisseries et les biscuits, et évidemment l’alcool sous toutes ses formes. Mais pas les fruits, ni les sucres lents (pain, céréales, etc.) J’ai acheté des biscuits pour diabétiques, j’ai fait les pâtisseries avec du Stevia. Plus de sucre dans le café et au fur et à mesure, plus besoin de Stevia ou d’aspartame dans le yaourt ou le fromage blanc… Chocolat à 86% de cacao. Ce qui m’a épouvantée, c’est le manque ! Mais peu à peu, je me suis rendue compte que quand je mangeais accidentellement des choses sucrées, je me sentais mal. Mais surtout, que je ne souffrais plus d’hypoglycémie ! Je pouvais prendre un petit déjeuner à 7 h du matin et tenir sans embarras aucun jusque 13h. Et sans angoisse. Une vraie libération.
Aujourd’hui, ce régime n’est plus aussi drastique. Pas de biscuits, pas de sucres ajoutés, pas de pâtisseries… sauf à quelques rares occasions. Jamais de desserts. Mais apéros de temps en temps, un verre de vin…
Pour répondre à la dame qui craque au bout de quinze jours, je dirais que l’aspartame et la stevia ont été des substituts qui m’ont aidée à tenir. Envie de sucré ? Un petit morceau de chocolat pour diabétiques, ou un fruit coupé en morceau avec un petit suisse et de l’aspartame, c’est le bonheur !
je suis accro surtout lorsque je m’ennuie, me retrouve seule et face à mes questions existentielles : Que suis je venue accomplir dans cette vie ?
Je suis en cheminement spirituel et je me rue sur le sucre sans doute pour faire taire mes peurs même si je pense maintenant que ça les nourrit
je réduis petit à petit le sucre blanc par une alimentation plus riche en protéine et en farine ou féculent complet
Voilà ce que je peux dire sur le sujet
Bonne continuation
bonjour,
j’ai découvert votre site grâce à votre article sur le magnésium et je dois dire que ça m’avait plutôt bien servi.
Votre histoire sur le paquet de haribo que vous aviez avalé un soir sur le chemin du retour m’avait beaucoup plu et quelque part interpellé. Donc oui ce serait super de pouvoir se sevrer du sucre qui est vraiment mon pire ennemi en terme de poids pris régulièrement toutes ces années. Le plus dure c’est d’être maman avec des enfants qui aiment les gâteaux, le chocolats, les bonbons, les pâtes à tartiner… Même si je réduis le plus possible pour leur bien être, je ne peux pas dire non à tout, ils sont également influencés par leurs copains.
Du coup même si je m’estime assez raisonnable en général et bien parfois je craque et je ne vois vraiment pas comment on peut se sevrer avec toutes ces tentations dans les placards.
Je suis vraiment impatiente de lire votre ouvrage pour y découvrir vos prouesses en la matière.
Merci
Merci pour votre travail. Personnellement j’ai commencé un régime sans gluten il y a plus d’un an sans aucune difficulté. En lisant systématiquement toutes les étiquettes pour traquer le gluten, j’ai supprimé également tout ce qui contient du sucre. Cela ne me pose pas beaucoup de problème car j’achète essentiellement des produits frais et aucun plat préparé. Je n’ai jamais été gourmande de sucrerie ou de gâteaux mais je suis accro au chocolat. Je n’en ai jamais chez moi mais lorsque l’envie se fait trop forte, je vais en acheter. J’ai pensé que je pouvais souffrir d’un manque de magnésium mais je crois surtout que c’est juste le besoin de se faire plaisir. Alors, s’il existe une solution pour ne plus craquer cela m’intéresse mais je ne suis pas sure d’avoir envie de l’appliquer…
Bonjour,
Le sucre… duquel parlez vous ? 🙂
Le premier sevrage que j’ai fait n’a eu que des bénéfices : couper le sucre raffiné en poudre, tout ajout de sucre en général. Mais en mangeant généreusement des féculents complets et des fruits. (j’avais aussi coupé tout ajout de gras et de viandes/poissons à cette époque) (consommation produits laitiers de manière exceptionnelle.)
Un deuxième sevrage que j’ai effectué a été en rapport à la candidose que j’avais. J’ai supprimé tous les féculents ( en conservant carottes+betteraves) et restreint les fruits à 1 par jour. J’ai beaucoup augmenté mes apports en graisse pour tenir le coup, dans un mode de vie inspiré de la diète « paléo ».
Effets : une faim constante, les kilos perdus au début repris x2 après quelques semaines, une mauvaise mine, des cheveux gras, une oreille bouchée en permanence, énergie à 0 fatigue constante, irritabilité, hypersensibilité…
J’ai arrêté très vite en voyant les mauvais effets arriver. Malgré tout, les résultats que je souhaitais sont là : ma candidose est guérie et la consommation de féculents et de fruits est beaucoup plus « prise en compte » par mon organisme. La satiété vient rapidemment, je ne peux pas en manger des marmites entières comme avant le début du « sevrage ».
Voici mon témoignage 🙂
Bon courage pour le livre !
Super ! Merci 😉
Bonjour Monsieur Barath
j’ai reçu votre mail faisant état de votre projet de livre sur l’addiction au sucre.
Fidèle lectrice de votre blog et du forum, je ne puis vous aider car je ne suis pas gourmande, je ne suis pas accroc au sucre, au contraire, et en toute chose alimentaire je reste dans la mesure… Le fait que je ne consomme pas de surcre et sucreries vient de l’éducation de mes parents qui n’ont pas introduit les bonbons et autres gâteries, par souci financier surtout car il fallait vraiment compter pour arriver à boucler les mois…Il n’y avait pas de place au superflu. Donc je n’ai jamais eu cette mauvaise habitude alimentaire que j’ai moi-même transmis à mes enfants…
à l’opposé du sujet de votre livre, peut-être que mon témoignage pourrait tout de même vous être utile… Qui sait ? je pourrais alors le développer si nécessaire…
cordialement
Danielle
Oui, votre témoignage montre une manière de vivre saine, et surtout le pouvoir de notre éducation.
Je vous invite chaleureusement à partager votre expérience.
Plus fort que moi, après les repas midi et soir, j’ai besoin de terminer par qq chose de sucré. Habitude : sur ! mais besoin aussi. Je décide d’y résister mais je suis « addicte » mon inconscient me ramène vers les lieux où je vais trouver du sucré dans la journée, comme une mémoire insatisfaite. Ou je lutte ou je craque ! Pourtant je ne grignote jamais, ne consomme rien entre les repas = pas d’envie ni de besoin. Help me !
Bonjour,
Je n’achète que du sucre intégral (rapadura) et du miel. J’évite – ou plutôt j’essaie d’éviter les desserts industriels, biscuits, et autres gourmandises. J’ai été plus strict dans le passé, avec notamment une période macrobiotique de plusieurs années sans aucun sucre, mais c’est une vie d’ascète qui ne me convient plus. Pour limiter le sucre, je pense qu’il faut commencer par limiter le sel et retrouver ainsi une plus grande variété de saveurs ou une plus grande sensibilité gustative. La consommation de sucre est aussi très souvent une réponse psychologique au manque et aux frustrations de toutes natures.
Oui, il faut d’abord retrouver le goût dans tous les sens : gustatif et psychologique (le gout de vivre). Ils vont toujours de paires.
Re, je viens de lire les com, et beaucoup de gens parlent des pâtes, farines… N’y a t il pas la une confusion entre glucide (bien sure non raffiné) et sucre industriel?
Il ne me semble pas que vous parliez d’arrêter les glucides mais bien le sucre rapide indus non?
Merci pour l’éclairage 🙂
Avec des membres de ma famille diabétiques, je sais qu’il faut faire attention au sucre, néanmoins je suis accro depuis l’enfance et ça s’accentue à l’âge adulte. Alors que je n’avais pas de doudou, je me console aujourd’hui avec la nourriture sucrée ou « amidonnée ». (au goût « umami? »)
J’ai remplacé le sucre blanc par de la cassonnade, la farine blanche par de la farine d’épautre, le lait de vache par du lait de riz, mais les préparations obtenues, bien que mangeables, n’ont pas le même goût que les plats que préparait ma maman ou les saveurs standardisées qu’on trouve sur le marché! Résultat: je recraque régulièrement pour ce à quoi mon palais et mon corps sont habitués.
Je me sens continuellement fatiguée, raideurs articulaires, « sensibilité » de la peau et des muscles (douleurs eu contact, a la suite d’efforts prolongés). irritable, impression de creux au ventre comblé uniquement par un gavage compulsif malgré un repas équilibré juste avant.
Je peux manger des pates ou du riz en quantité industrielle en guise de dessert, malgré la suppression du pain de mon alimentation.
Ou bien des fruits jusqu’à ce que je ressente physiquement mon estomac gonflé et rempli. Ou me jeter sur le pot de miel ou de confiture pour en manger à la cuillère, constatant fébrilement qu’il n’y a plus aucun biscuit, brioche, madeleine dans mes placards.
Je me mets à faire n’importe quoi dans ma tentative de sevrage du sucre et d’amélioration globale de mon alimentation. Je ne sais plus vers quel aliment me tourner. Les quantités, l’équilibre des menus sont chaotiques. Parfois je me demande si ce n’est pas pire qu’avant.
Je ne sais plus… mes désordres physiques sont probablement dus à des carences mais je ne sais plus de quoi pour finir. A force de lire des tas d’articles sur l’alimentation je trouve même des avis contradictoires (manger ou pas lait, viandes, œufs, céréales complètes…)
L’alimentation est un équilibre entre tous les aliments, supprimer le sucre mais quoi consommer à côté? quand on est bon vivant il y a pas mal de renoncements en perspective.
Désordre physique… Mais désordre mental aussi!
Merci pour votre initiative.
Oui, je parle des sucres qui engendrent une dépendance et en particuliers les sucres raffinés. Mais en fait, cela va bien au-delà : une farine blanche est aussi dévastatrice que le sucre blanc.
Si l’on veut désengorger le corps des années d’ingestion de sucres en tout genre, il est nécessaire de suivre un sevrage large, en y incluant tous les glucides à index glycémique élevé. J’en parlerai.
J’ai découvert votre blog « grâce » au magnésium, j’ai tout de suite adhéré, après avoir dévoré les articles sur le sucre, étant une très grande addict, je me suis lancé dans le sevrage. C’était les mots qui me manquais pour me motiver.
J’ai tenu 1 mois et quelque, plus que des sucres naturels (miel de qualités, confiture 100% fruits, fruits, jus) par contre je descendais le pot de confiture à la petite cuillère en peu de temps… Mais je me suis senti mieux, beaucoup plus limpide, moins fatigué, de meilleure humeur, un bonheur!
Puis j’ai repris via un « craquage » et l’addiction est vite revenue. Par contre au début je m’étonnais à trouver tout trop sucré, même les bananes comme vous le dites dans vos articles! (moi qui avant trouvais que tout n’était pas assez sucré!)
Problème chez moi par rapport à cela :
– j’ai un fille de 2.5 ans qui est difficile alimentairement et particulièrement addict au sucre, alors me sevrer et la voir s’empoisonner me perturbe.
– j’ai déjà une diète spéciale pour le commun des mortels qui me gêne lors d’évenements sociaux, alors en plus rajouter dessus que je ne mange pas de sucre (sachant en plus que les gens ne savent pas qu’il y a du sucre partout…) c’est anti social total et pour le coup dur à vivre…
– je suis très mince (53kg pour 1m71) et j’ai énormement de mal à prendre du poids pour que mon image me plaise et lorsque j’arrête le sucre industriel je perds encore du poids 🙁
Pourtant j’aimerai arrêter…
Comme toute addiction, j’imagine que même après le sevrage il reste une addiction mentale qui n’est pas la plus facile à déjouer, quand pensez vous?
Merci de vous dédier à faire circuler ce genres d’infos malheureusement dures à trouver 🙂
En réalité, il n’y a pas une, mais plusieurs dépendances aux sucres qui ont toutes la même conséquence : le besoin d’en consommer.
Il faut donc cibler celle qui nous unie au sucre, pour ensuite la régler et s’en débarrasser.
Pour l’heure, j’en ai répertorié 2 classes : celles d’origine organique (carences minérales, trouble hormonal, parasitose, etc.) et celles d’origine mentale (mal être de fond, mauvaise habitude, croyances erronées, etc.). Mais c’est un peu logique, puisque biologie et mental sont interdépendant et s’interagissent.
je suis intoxiquée aux bonbons, genre au miel ou aux pastilles de vichy, j’en consomme vraiment beaucoup et j’aimerais bien trouver un moyen d’arrêter….
Que se passe t-il si vous n’en achetez pas ?
Bonjour, He bien je suis peut être hors sujet mais voilà…je viens d’apprendre que je suis intolérante au sucre (à tous les sucres -test NAET-) après des années de suppression du gluten et des laitages. Je dois faire très prochainement une « déprogrammation NAET ». Cette information pour informer que cette intolérance me cause (elle n’est pas la seule sans doute) d’énormes pb de digestion, d’inflammations articulaires, musculaires, troubles de la mémoire, fatigue chronique, etc..
Aux dires du thérapeute, c’est un véritable poison (ce que je savais déjà). Néanmoins je mange très peu de sucre (au goût sucré) mais des fruits, des céréales, etc qui en contiennent. Le sucre est une véritable drogue donnée aux enfants dès leur plus jeune âge. Que faire justement pour eux dans notre environnement ?
nous sommes tous intolérants au sucre, mais nous ne le savons pas ; tout simplement le corps humain n’a pas été conçu pour absorber du sucre, mais depuis des générations qu’on lui en donne, il n’a plus la force de réagir, ce qui fait que nous sommes intoxiqués sans le savoir ; à mon avis, si votre corps réagit au sucre, c’est qu’il a encore la force de dire non
Comment allez-vous depuis la correction de cette allergie ?
Bonjour,
Mon thérapeute a donc « reprogrammé » l’information à mon cerveau concernant cette allergie au sucre croisée à une allergie au lactose (qui était masquée par un pb émotionnel (solitude).
Donc depuis son intervention il y a 4 jours j’ai tjs sommeil. J’ai eu de fortes douleurs articulaires et musculaires doublées de vertiges, le 2e jour.
C’est très récent, aussi je vous donnerai des nouvelles plus tard, si vous êtes intéressé. Je précise que mon allergie au sucre était aussi liée à des mémoires émotionnelles (deuil) – lors de mon état embryonnaire.
Je vous remercie encore pour votre blog. Chantal
J ai arrêté le sucre il y a un an et demi mais j en consomme encore par période. les difficultés que j ai rencontré : refaire une flore instestinale qui s est curieusement dégradée à l arrêt du sucre….on aurait cru le contraire…vertiges avec nevrite vestibulaire dans la foulée…il semble qu un problème energetique soit lié à ces symptômes et grande fatigue. Aussi Je ne peux que conseiller à ceux qui prennent ce chemin du sevrage, de travailler préventivement sur leur flore intestinale et de faire un travail energetique ( yoga, méditation etc) pour accompagner cette démarche. Cela me paraît indispensable, pour lutter contre la sensation d’epuisement et les bouleversements énergétiques qui s’en suivent. Mais les bénéfices sont considérables. Personnellement cela m a permis d éradiquer une maladie auto immune qui était certes atténuée par le régime Seignalet mais toujours présente. Bien à vous…
Que considérez-vous comme sucre ? Féculents, fruits ? Préconisez-vous la suppression totale et de quels types de sucre ?
je ne comprends pas le sens de la question ; je n’ai aucun problème de sucre ; je ne mange ni ne bois aucun produit transformé industriellement ; je me nourris principalement de légumes souvent crus, surtout l’été, en jus, éventuellement smoothies faits maison ou cuits à la vapeur douce et de fruits ; je ne suis donc accro à rien et surtout pas au sucre
C’est une chance Suzanne, car ce n’est pas mon cas. Probablement que vous avez été habituée depuis toujours à ne pas consommer de sucre.
non, je n’ai pas été habituée jeune ; ma mère sucrait généreusement mes repas car elle pensait que le sucre donnait de l’énergie ; j’ai découvert que c’était un poison et j’ai supprimé progressivement ; on y arrive très bien mais il ne faut pas vouloir aller trop vite ; du sucre, il y en a partout (charcuteries, ketcup, sauces tout prêtes, potages en briques ou en sachets) ; la liste serait longue et même avec une loupe en épluchant la composition, on ne peut pas le détecter car il n’est pas repris sous le nom de sucre mais sous des noms que personne ne comprend ! nos gouvernement sont inertes sur ce sujet et autorisent les industriels à en mettre de plus en plus partout, c’est dire s’ils se soucient peu de notre santé ; et pire ce sont les industries sucrières qui ont été chargées d’organiser la journée du goût dans les écoles ; un comble ! on sait maintenant grâces aux récentes découvertes que le sucre agit comme une drogue et rend accro ; et depuis quelques jours on nous balance à la TV une pub pour un dentifrice supposé annuler les effets délétères du sucre, histoire de déculpabiliser les consommateurs et de les inciter à continuer leur consommation ! y aurait-il une connivence entre les fabricants de dentifrice et les fabricants de sucre ? on se le demande ! pour ceux qui s’intéressent aux plantes, on peut leur suggérer le kudzu ; on en trouve en gélule, c’est une plante qui aide aux sevrages en tous genres
et je n’ai pas parlé des sodas et des céréales dont on gave les enfants au petit déjeuner qui sont des concentrés de sucre et de gras ; ainsi que les produits prétendus allégés dans lequel le gras est remplace par des produits qui se transforment allègrement … en sucre ! On nous annonce, la bouche en coeur, que le nombre de diabétiques va augmenter de moitié dans les années qui viennent, c’est donc qu’on en connaît la cause ! on nous parle de maladies de la civilisation comme si c’était inéluctable et personne ne se dit qu’il est anormal qu’une civilisation génère des maladies
Bonjour
Je ne suis pas accro au sucre en tant que tel. Je n’aime pas les desserts ni les gâteaux …le goût du sucre de me plait pas particulièrement. La seule chose sucrée qui me fasse craquer c’est le chocolat et uniquement le noir. Par contre quand je tombe dedans j’ai du mal à arrêter et c’est souvent quand je suis seule à la maison ou vers 15h 16h. Mais je me demande si je ne le suis pas au sucre déguisé ? Comme le pain ou les pâtes pour certains… Merci pour votre démarche
Je sais que c’est une véritable addiction qui signifie la difficulté à manger un peu de sucre de temps en temps sans replonger dans les excès. Je suis en traitement homéopathique accompagné d’auriculothérapie depuis un mois et je me sens libérée même si je me fais plaisir de temps en temps. En tout cas, plus de frénésie ni d’obsession. Reste à voir si ça tient. J’imagine qu’il y a autant de cause métabolique que psychique, non ?
En tous cas, j’attends votre livre.
Bonjour,
je ne cherche pas absolument à me priver complètement de sucre , mais j’essaye de minimiser l’apport de sucre autant que possible.
Pour commencer j’ai banni complètement le sucre « blanc » et n’utilise pratiquement plus que du sirop d’érable en très petite quantité car son pouvoir sucrant est très élevé.
Je me suis inspiré du livre « EAT » de Gilles Lartigot pour revenir à une alimentation de base , et j’ai également arreté la viande depuis maintenant deux ans.
Lors de « fringale » de sucre ( surtout quand je suis fatigué de mon travail de nuit ) , je saute sur un mélange de fruit sec avec une majorité d’amande ou bien je prends un verre de jus de Breuss pour me caler si je suis entre deux repas.
Mais c’est vrai notre mauvaise « culture » du sucre ne facilite pas les choses.
Cordialement
Bonjour Wladislas
Synchronicite j essaie depuis deux semaines d arreter de manger du sucre
A peu pres certain d avoir un candida albicans qui m intoxique
Le plus difficile pour moi est d eviter les farines blanches et de trouver des aliments de remplacements ou substitution
Elimine sucre blanc ok patisseries pain blanc ok chocolat que j adore ok
Le plus dure est de supprimer les fruits , pommes bananes kiwi etc et les pates et yaourt
Donc j en ai deduis de manger que des aliments sans gluten
Je prends de pillules a base d origan tous les jours plus une autre a base d acide caprylic et ail origan et turmeric pour eliminer le candida
Voila pour l essentiel
Merci pour votre initiative et suggestions
Amicalement
Dominique
Je suis vegetarien
Le Sucre…..Je voudrai bien m’en délivrer également. Je tiens 8-10 jours en faisant beaucoupe de jus fruits/légumes, je supprime presque tout sauf les fruits et les legumes et je me sens trés bien, mon ventre se dégonfle, je perds du poids et je retrouve l’énergie, et puis…. Je craque le sucre m’appelle et je mange n’importe quoi, gâteaux, bonbons, chocolat, alcool, je culpabilise, je repars dans mes dérives et un nouveau cycle recommence. J’ai réussi à arrêter de fumer en 1990, je respirai une préparation d’huiles essentielles lorsque l’envie montait… N’ y a t’il pas une astuce similaire pour contrer l’addiction au sucre.
L’auto-hypnose peut t’aider, moi ça m’a permis d’arrêter très vite. Si tu veux essayer, j’ai deux séances :
http://tinyurl.com/kmvgndp
http://tinyurl.com/p97km7s
Bonjour,
J’ai diminué ma consommation de sucre, même si elle était sans doute déjà presque raisonnable.
le sucre appelle le sucre, il suffit de le diminuer pour moins en avoir envie : c’est une drogue
comment ? j’ai commencé par le chocolat, je mange du 100% ( oui c’est amer ) mais rien de tel qu’un carré de 100% pour couper net l’envie de manger la moitié de la tablette ! On peut commencer par un carré de 80 avec un carré de 100…
Quand j’ai envie de sucré, je mange un fruit. Le plus difficile ds le sevrage, c’est le début
Mais je pense qu’il faut arriver à diminuer sa consommation sans pour autant la supprimer totalement, pour le plaisir mais aussi pour la santé, le cerveau a besoin de sucre
Bonjour Wladislas
Synchronicite j essaie depuis deux semaines d arreter de manger du sucre
A peu pres certain d avoir un candida albicans qui m intoxique
Le plus difficile pour moi est d eviter les farines blanches et de trouver des aliments de remplacements ou substitution
Elimine sucre blanc ok patisseries pain blanc ok chocolat que j adore ok
Le plus dure est de supprimer les fruits , pommes bananes kiwi etc et les pates et yaourt
Donc j en ai deduis de manger que des aliments sans gluten
Je prends de pillules a base d origan tous les jours plus une autre a base d acide caprylic et ail origan et turmeric pour eliminer le candida
Voila pour l esentiel
Merci pour votre initiative et suggestions
Amicalement
Dominique
Je suis vegetarien
Bonjour,
Une bonne idée ce livre.
Pour moi ça a été plutôt facile, dans le sens où il a été très progressif (d’abord les plats tous prêts, les boissons sucrées, ensuite les sucreries industrielles et tous les produits industriels contenant des sucres cachés).
A vrai dire je ne suis pas complètement sevrée puisque je continue à manger de temps en temps du miel ou du sirop d’agave, à faire des pâtisseries à base de mélasse. Je ne compte pas (pour l’instant) arrêter de me faire plaisir, ni arrêter les féculents ou les légumineuses sous prétexte que cela contient des glucides.
Je considère que ce qui n’est pas mauvais (sucre raffiné, céréales raffinées) est donc bon pour mon corps, et lui amène de toute façon nutriments et vitamines.
A vrai dire, je suis de plus en plus à l’écoute de mon corps et de mes ressentis, et je trouve maintenant certains aliments (à certains moments de la journée) trop sucrés (la carotte, la caroube, …).
Parfois, j’ai encore des fringales de sucré. A ce moment là, je mange des amandes (qui ont un petit goût sucré!), ou je respire un flacon d’HE de benjoin. C’est efficace.
Je pense qu’il ne faut pas ‘sevrer’ d’un seul coup le corps, en lui imposant de ne plus recevoir le goût sucré/doux qu’on chérit tant. Ce goût est naturellement réconfortant, et en médecine traditionnelle chinoise, un goût prononcé pour le sucré a une signification. Il faut écouter avant tout. Ses ressentis, son corps. Je suis par contre totalement d’accord quant à la suppression des produits ‘non naturels’ de notre alimentation, qui faussent nos ressentis puisqu’ils nous polluent de l’intérieur.
Bonne continuation!
Je suis d’accord! S’arrêter d’un coup n’a pas de sens. Il faut s’écouter un minimum et le corps n’a pas besoin d’un tel choc. De plus, notre corps a besoin de sucre! Le cerveau fonctionne avec du sucre! Arrêter le sucre c’est arrêter le mauvais sucre et le consommer raisonnablement. Encore faut-il définir ce raisonnable (pas 25 kg de sucre par an quoi!)…
Les chiffres officiels sont de 35 kg/an/personne.
Ce qui dans la réalité veut dire bien plus de 40 kilogrammes et des sommets pour ceux qui ne sont pas dans cette moyenne.
Je pense absolument comme toi.
Bonne continuation.
Cdt
Bonjour,
Je vous rejoins completement, jai exactement la meme démarche et vis le sevrage parfaitement bien (pour le moment).
Je me suis remise au sport et jai reellement le sentiment d’avoir amélioré mes capacités physiques, ca me pousse et me motive énormément à continuer cette démarche…
Bonjour,
c’est une lutte. dans les premiers temps quand j’ai essaye le sevrage, je me sentais nerveuse, tremblante, en manque. c’est une souffrance, comme si je prenais de la coke.
maintenant je limite autant que possible.
quand j’ai des envies de chocolat, j’associe cela à des manques en magnesium et cela disparait quand je prends des supplements en magnesium.
je me restreins au sucre des fruits. mais je suis consciente qu’il y a du sucre caché dans presque tout ;(
pour moi c’est une drogue, comme les autres sauf qu’on ne la prend pas au serieux.
Bonjour,
Moi je pense que le sucre permet de compenser un certain manque d’énergie dans le corps
Quand je suis fatigué, ca me rebouste
Ca doit surement compenser des reins fatigué, une diminution d’hormones…
J’ai hate de livre votre livre…
Bonjour,
oops … lisez le livre » le sucre ou la vie » B.Kleiner ou « sugar blues » de W.Dufty
ça vous eclairera 🙂
Bonjour,
Ce livre est une excellente idée ! J’ai connu votre blog grâce justement à cet article sur votre sevrage du sucre et depuis je vous suis au gré de vos publications que j’apprécie pour leur précisions. Pour répondre à votre demande oui j’aimerais bien arrêter le sucre rapide de mon alimentation mais mon corps ne veut pas. J’ai tenté de suivre vos conseils mais j’ai échoué au bout de quelques jours. J’ai constaté des tentations plus fortes lors des périodes proches des règles. Je pense que ce combat est encore plus dur pour une femme à cause des fluctuations hormonales et de l’association du sucre au réconfort.
J’ai hâte de découvrir votre ouvrage en espérant que j’y trouverai des solutions « facilement » réalisables pour mon sevrage.
Merci et bonne continuation
Nathalie
Bonjour 😉
le sucre le sucre, addict sans aucun doute :/
ça m’attire, ça m’appelle, avec une sensation de creux au ventre tant que je n’en ai pas mangé
et en même temps cela devient de plus en plus dur lorsque j’en mange : mal à la machoire, humeur negative, irritation de la langue, mal au ventre…
et pourtant j’en mange quand meme
et en manger en sachant que ça va me faire du mal … pas évident non plus
bref bcp de dualité…
Ces réactions (mal à la mâchoire, etc.) sont-elles immédiates ? Combien de temps après ingestion de sucre apparaissent-elles ?
Bonjour,
Bravo pour le projet futur.
Pour ce qui est du sucre je n’ai jamais été une » bibite à sucre » comme on le dit si bien. Quand j’ai un goût de sucre c’est que mon taux de magnésium est bas…Je débute donc une cure de magnésium avec du dissolvurol comme éponge en absorption….
Sinon moi c’est plus du SEL….alors quand vous arriverez à ce condiment il me fera plaisir de commenter.
Bonne chance pour ceux et celles dont le sevrage est difficile pour le sucre…
Lyse
Bonjour Wlad,
Je suis très contente de savoir que vous écrivez un livre, ça sera certainement LE livre à acheter…
Pour ma part, je suis désolée mais je ne comprends pas le sens des questions : qu’est ce qui me bloque et me manque 🙁
par contre, ce dont j’ai besoin est beaucoup de soutien…
Eh bien où en êtes vous dans le sevrage du sucre ?
Y arrivez-vous ? Notez-vous des difficultés ?
Le sevrage au sucre relève pour moi de l’impossible mais je ne laisse pas tomber pour autant…
Pendant une quinzaine jours, tout me parait facile et subitement la rage de sucre se manifeste et là, je ne peux rien contrôler…
et c’est tout le temps le même scénario, je tiens une quinzaine de jours, je craque ….je recommence….
Et suivez-vous un plan d’action, une méthode ?
Comment procédez-vous au sevrage ?
je retire de mon alimentation tous les sucres rapides (boissons gazeuses, gateaux, sucreries), les féculents, légumineuses..je garde les fruits un peu de viandes, crudités, légumes cuits…et je bois un peu plus d’eau que d’habitude…