
Lorsqu’au téléphone on m’évoque un symptôme et que l’on me pose cette question, il m’est impossible de donner une réponse. Donner une prévision alors que je ne connais ni la personne, ni ses antécédents, ni sa capacité réactive, ni son histoire, cela est de l’ordre de la voyance. Et si j’évoquais une possibilité, l’on me reprocherait de ne pas avoir tenu parole au moindre écart.
Non. Je ne peux garantir le résultat sans connaître un minimum celui qui me pose la question.
DES REPERES
Ce que je sais en revanche, c’est que la chronicité du problème influe sur le nombre de séance. De plus, la détermination de la cause est un facteur essentiel. Je le compare à un bout de bois qui flotte sur l’eau que je souhaite toucher avec un caillou. Si le caillou tombe à coté du bout de bois, les remous le feront vaciller. Plus la distance qui les sépare est grande, moins ils auront d’action sur le bout de bois et il faudra attendre pas mal de temps avant qu’il ne se mette à tanguer légèrement. Mais si le caillou le torpille du premier coup. Bingo ! Il coule derechef. Le résultat est immédiat. Dans le corps, la réponse sera immédiate. Bousculé et libéré, il entre alors en phase de réparation.
DU BON-SENS
A l’avant du magasin, un garagiste affichait le panneau suivant :
Traduction :
C’est du bon-sens. Et pourtant, nous demandons tous l’impossible aux autres.
UNE ETHIQUE
Je ne peux prévoir l’avenir. En revanche, je peux garantir l’intégrité de mon travail et de la recherche permanente de ce qui est juste, au-delà des apparences. J’ai l’utopie de croire que dans ce bref moment où nous nous rencontrons, nous faisons équipe. Dans cette relation, mon rôle est d’être le meilleur coéquipier pour l’autre. Je travaille pour lui, dans son sens et pour son bien. Mais tout travail à deux est parfois difficile….
Wladislas BARATH

J’exerce en tant qu’ostéopathe D.O. depuis 20 ans et je suis une vraie locomotive dans le domaine du soin. J’estime que pour agir, il faut avant tout comprendre. Je trouve le corps humain parfait. Mais si c’est le cas, alors pourquoi la maladie ? C’est cette question qui m’a poussé à explorer le domaine de la guérison.
Bonsoir, je ne trouve pas où vous exercez géographiquement ni d’articles sur les remèdes naturels » pour » la dépression ; ayant lu votre long commentaire sur le magnésium qui n’inclut pas vraiment la dépression Pouvez-vous me renseigner
PS j’oeuvre sur moi depuis des années et retombe en dépression régulièrement et là aujourd’hui je décide que NON , non et non je ne veux plus Donc je m’intéresse à mon corps de près : carence, besoin d’ostéopathie ou étiopathie ? merci pour ce site très instructif et sans fautes d’orthographe ( ou presque ) par le rédacteur J’y suis sensible
Bonjour, j’exerce en Alsace, près de Strasbourg.
Orientez-vous vers les mémoires généalogiques, celles que vous avez héritées de vos parents, mais également de ce qui s’est passé dans le ventre de votre maman (comment a été vécue la grossesse). La dépression a très très souvent une origine mémorielle. L’organisme ne faisant que s’adapter à ces mémoires.