La VERITABLE cause de nos maladies

Juin 2012 | 12 commentaires

Le silence   La Nature reprend son droit lorsqu’on ne la limite plus. Nous essayons tous d’avoir de beaux jardins, de beaux potagers, de belles allées, mais cela demande un entretien permanent. Si vous ne le faites pas, la Nature reprend naturellement son territoire. Il s’agit là d’une véritable force de Vie dont nous ne nous rendons pas vraiment compte, présente dans toute chose vivante, y compris les cellules. Prenez les «mauvaises herbes». Quand j’appris de mon beau-père, il y a quelques années, à entretenir des vignes, je fus surpris de découvrir qu’en réalité toutes les plantes se comportaient comme de «  mauvaises » herbes. La vigne en particulier. Avant de nous en occuper, mon beau-père m’obligea à défraîchir manuellement le terrain et à y arracher tout ce qui était indésirable et qui avait poussé depuis l’année d’avant. Je remarquais que certains plants de vignes qui n’avaient pas été entretenus se comportaient comme de mauvaises herbes : les branches se faufilaient entre les mailles du grillage, elles avaient grandi rapidement, dans toutes les directions, sans limite. Je pris conscience ce jour là, que toute plante est quelque part une mauvaise herbe. Nous sélectionnons juste tel ou tel plant et le fructifions et en récoltons les fruits. Mais la Nature reprend vite le dessus. Rien ne peut vraiment stopper cette Force de Vie présente dans les cellules végétales ou animales. Et si ceci est même vrai pour les microorganismes (bactéries, virus, etc.), imaginez alors la puissance de nos cellules humaines, issues de milliers d’années d’évolution! Mais alors, que peut-il bien leur arriver pour qu’elles tombent malades. Qui a-t-il de pire pour les cellules ? Parce que dans l’absolu, si la cellule a tout ce qui lui faut, elle est capable de s’adapter normalement et de manière appropriée à son environnement. Alors pourquoi tombent-elles malades ?      

La loi du plus petit élément

Lors de ma scolarité, une étude m’avait particulièrement marquée en biologie. Pour grandir, une plante a besoin de beaucoup de micronutriments (oligo-éléments, vitamines, etc.). Si un seul venait à manquer, malgré que tous les autres soient présents en quantité suffisante,  la plante ne grandit plus. On dit qu’elle est donc limitée par l’élément présent en plus petite quantité (la loi du plus petit élément) parce qu’une fois puisé, cet élément fera défaut et la plante ne pourra plus croître. En fait, les réactions cellulaires ne peuvent plus se faire parce qu’un seul élément indispensable aura manqué. La plante fane et meurt. Dans le sens contraire, si une cellule possède tout le matériel nécessaire, elle croît naturellement. Automatiquement, s’il venait à manquer un seul élément de base, les réactions chimiques stopperaient. La cellule ne pourrait produire ce qu’elle est censée fabriquer.    

Le pire cauchemar pour nos cellules

Comme nous, la cellule a des besoins de base : de l’air, de l’eau, de la nourriture, du repos, une hygiène (la possibilité d’être propre et d’évacuer ses déchets), la possibilité de communiquer, peut-être même de l’affection, pourquoi pas ? Donc si la cellule possède tout ce qui lui faut (nutriments, micronutriments, oxygène, etc.) – en clair, si elle est dans un milieu sain – elle peut s’épanouir et proliférer. Si elle a tout ce qui lui faut, elle est donc capable de s’adapter à toutes les circonstances, dans la mesure du raisonnable. Mais s’il venait à manquer un seul élément, que se passerait-il ? Son avenir serait compromis. Toute carence – même si elle est unique et ne touche qu’une seule partie de ce qui est indispensable – est donc dangereuse et délétère. Le problème, c’est qu’elle n’est pas visible tout de suite. Et parfois, cette carence ne s’exprime que des décennies après. Bien sûr, certains petits signes alerteront. Mais bien souvent, ces derniers sont minimisés et considérés comme normaux, puisque la majorité de la population les présente également.    

Un seul élément me manque et tout est dépeuplé

Le monde biologique étant hautement performant, la moindre carence de matière première provoquerait une cascade en chaîne. Un feu pollue s’il manque de l’air ou si le support est impropre (ex : bruler des pneus). Cela génère de la suie et d’autres déchets. Il en va de même pour la combustion au sein des cellules : privées d’oxygène, les cellules produisent de gros déchets. Si à la base donc, il n’y a pas d’oxygène où que celui-ci n’arrive pas à temps aux cellules, s’en suit la production de toxines. Et si c’était le carburant qui venait à faire défaut (en qualité), comme pour un moteur, cela encrasserait les conduites (c’est pourquoi on ne donne pas de cola au moteur). Ce carburant indispensable est un mélange précis de substances en quantité spéciale. Si une seule de ces substances n’était pas présente, il ne serait pas de bonne qualité et polluerait. Sans cette matière première de qualité, nos cellules auront du mal à fabriquer des produits de qualité, baissant du coup l’ensemble du bon fonctionnement de l’organisme et par extension, nos propres performances (physique, émotionnelle et intellectuelle). Mais le pire reste à venir : lorsque ces mêmes cellules vont devoir se multiplier, alors que le milieu, lui, est carencé. Vous l’aurez deviné, il n’y a pas de magie : sans matière de base, les nouvelles cellules seront défectueuses. C’est ainsi que s’installe subitement, à une très grande vitesse et à une grande échelle, la maladie. C’est ce qui arrive dans tous les combats historiques : si une ville est assiégée, sa capacité de résistance dépend de son stock d’approvisionnement alimentaire avant tout. Lorsque les vivres viennent à manquer, apparaissent maladies et mutineries. Sans vivres, la ville capitule très rapidement. Plus le milieu sera donc carencé, plus la population biologique aura des problèmes. Comme une épidémie, la maladie gagnera tout le territoire corporel parce que les besoins de base n’auront tout simplement pas été respectés.    

Notre alimentation est déréglée

Il existe des besoins de base auxquelles l’homme n’a pas le droit de se déroger. C’est seulement s’ils sont respectés que les excès sont alors tolérés. Or nous faisons tout le contraire. Il ne s’agit pas d‘entrer dans une vie austère, mais de répondre aux besoins vitaux. Comme dans la pyramide de Maslow, si les besoins de base sont comblés, l’homme peut s’aventurer plus haut dans la pyramide et explorer d’autres niveaux, dont la plus haute : la spiritualité. Mais avant, il doit avoir une hygiène de vie correcte. Les yogis d’antan l’avaient parfaitement compris. C’est pourquoi ils demandaient aux jeunes disciples une auto-discipline corporelle rigoureuse. Une alimentation de base est donc indispensable. On ne devrait pas y déroger. Et ce n’est que lorsque celle-ci est comblée qu’il est possible de s’orienter vers une alimentation « plaisir » qui, actuellement, est très carencée et toxique pour notre organisme. Si on lui donne le nécessaire, l’organisme est capable de s’aventurer relativement loin dans les extrêmes. Malheureusement notre alimentation actuelle n’est prise que sur un mode « plaisir », selon nos goûts. Elle est riche en calories et pauvre en micronutriments fondamentaux (oligo-éléments et vitamines). Le corps ne résiste pas à cet apport amoindri quotidien, d’autant que certaines substances sont des anti-aliments : en plus de ne rien apporter, elles pompent les ressources de l’organisme. Je vous en reparlerai dans mon article sur le sucre. Dans le même registre, respirer est essentiel, tout comme une hygiène corporelle de base, sans aller dans les extrêmes comme on le fait aujourd’hui : à vouloir être trop propre, on s’intoxique. On pollue notre organisme et le milieu qui nous entoure.    

Comment l’alimentation carencée est la pierre d’achoppement de notre société de consommation

Ce qu’il y a d’incroyable, c’est qu’en vous proposant des aliments carencés, vous aurez toujours plus envie d’en manger. Pourquoi ? Parce que le corps est en manque de nutriments essentiels! Instinctivement, il va les chercher. Mais pour en avoir dans notre alimentation morte, il va falloir une quantité phénoménale de cette nourriture pour y subvenir. Ce qu’il va trouver, ce sont des calories, mais pas de nutriments essentiels. Ceux qui suivent un régime classique pour perdre du poids le savent : manger moins est une lutte. Mais en réduisant leurs apports caloriques, en mangeant moins ou différemment, ils se retrouvent alors très carencés en micronutriments. Du coup, apparaît une faim irrésistible. S’ils se torturent à ne pas céder, apparaissent des signes de fatigue, d’irritabilité, de déprime, etc. Tous les signes d’une dénutrition et d’une intoxication. Ce n’est pas sain. Ce qui leur faudrait ce sont des aliments qui apportent de la valeur nutritive et – à leur degré de carence – un apport vitaminique en plus, sous forme de compléments alimentaires. Mais dans ce domaine, tous les compléments alimentaires ne se valent pas. Certains sont même dangereux.    

Le surpoids en tout

La plupart des prises de poids sont dues à une alimentation de mauvaise qualité. Tant que les cellules ont ce qu’il leur faut, elles sont capables de ramener le corps dans son équilibre. Un corps équilibré n’est ni gros ni maigre. Manger trop ne devrait donc pas poser de problème. Mais a t-on encore envie de manger trop quand les cellules sont correctement nourries (rassasiées) ? Je ne le pense pas. Les problèmes de prise de poids sont majoritairement des problèmes de malbouffe. Lorsque une personne a pris du poids et qu’elle veut le perdre, l’aventure s’avère vite périlleuse et difficile. Chacun en a sans doute fait l’expérience ! Et tous ces essais avortés nous laissent l’idée que perdre du poids demande un effort de volonté. Pourquoi est-ce si difficile ? En vérité, éliminer les graisses nécessite une quantité colossale de vitamines et d’oligoéléments… parce qu’elles contiennent des toxines. En clair, en plus de devoir combler les carences de départ (qui ont fait prendre du poids), il va falloir apporter à l’organisme, encore plus de micronutriments (pour évacuer les toxines). Si cela n’est pas fait, la graisse ne fond pas. C’est pourquoi perdre en réduisant uniquement ce qui entre par la bouche est non seulement difficile mais aussi stupide. C’est intoxiquer l’organisme, le mettre en sur-stress et en hyper-carence. Il n’aura tout simplement pas les moyens de ramener le corps dans son équilibre naturel. Perdre rapidement – et sainement – du poids est utopique et dangereux. La meilleure manière de perdre du poids est celle qui se fait naturellement : manger sainement et laisser faire. C’est lent, mais efficace. Pourtant, dans la réalité, ce n’est pas ce qui se passe. Manger mieux est parfait,  mais il manque la clé : désintoxiquer l’organisme. Pour cela, il est impératif de comprendre le mode d’évacuation des déchets. Je détaillerai cela dans un prochain article. Pour moi, surpoids et maigreur sont considérés comme des maladies de civilisation. Et toutes les maladies ne sont rien d’autres que des dysfonctions cellulaires, dont les carences en sont LA principale cause. Laisser le corps ainsi affamé, n’est-ce pas le meilleur moyen de pousser, quelque part, à la consommation ? Il est évident que ce besoin de combler ce manque se traduira dans tous les domaines de notre vie, ce qui expliquerait bien notre boulimie consommatrice. A votre avis, pourquoi les américains sont-ils les plus grands gaspilleurs de la planète ?    

Que peut-on bien espérer cultiver sur un terrain appauvri ?

J’en suis arrivé à cette conclusion en analysant le degré de réussite de mes consultations. Les résultats, suite à mes soins, sont en général très positifs. Je sais donc que ce que je fais est efficace. Mais alors pourquoi dans certains cas, ai-je l’impression de n’avoir aucun effet ? Il est possible que je ne sois tout simplement pas sur la cause. Ou bien que je ne comprenne pas le mécanisme sous-jacent. C’est possible, même si avec l’expérience et mes connaissances actuelles, il m’est possible d’éplucher une large gamme des différents plans de l’être humain. Je sais par exemple reconnaître une mémoire généalogique d’un trouble émotionnel. Je connais également les limites de l’ostéopathie et je sais lorsque c’est médical ou chirurgical. Mais alors de quoi souffrent ces gens « a-réactifs » – qui ne réagissent pas – aux manipulations mécaniques lorsqu’il n’y a aucun problème médical, chirurgical ou psychologique ? De dysfonction métabolique. Ce terme est bien sûr vague. Il existe plusieurs causes capables d’entrainer de telles dysfonctions biochimiques. Certaines sont mêmes mécaniques (compression d’une artère ou d’un nerf par exemple). Mais dans tous les cas, guérir nécessite des ressources.    

Notre destiné, ce n’est certainement pas d’être malade !

Le corps vit dans un équilibre et les cellules le maintiennent dans cet équilibre. Tout ce qui l’emmène en dehors de celui-ci demande une charge de travail aux cellules. Travail qui nécessite du carburant et de l’oxygène. Donnez le meilleur carburant et elles ramèneront le corps naturellement dans sa zone de vie. Si elles ne peuvent l’y ramener, cela s’appelle la maladie. S’y trouver, en revanche, c’est la santé. Notre force, ce sont nos cellules, qui recèlent en elles cette Force de Vie incroyable. Il y a sur terre tout ce qui leur faut pour proliférer, et pourtant, depuis des décennies, à cause de l’industrialisation, du commerce à l’échelle mondiale, et d’une mauvaise information (parfois volontairement tronquée), nous faisons de mauvais choix. Comprenez une chose : nous ne venons pas sur terre pour être malade, mais pour vivre pleinement, sur tous les plans et pour découvrir des choses bien plus fondamentales sur nous même que la maladie.  

Une cellule qui a tout, peut tout. 

    Wladislas BARATH

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12 Commentaires

  1. Annelise

    Bonsoir,
    je ne vous écris pas pour avoir une consultation gratuite, ou un conseil en ligne…juste vous faire part de mon ressenti. Vos écrits m’ont intérressée, je suis tombée dessus par hasard, lorsque j’ai démarré une cure de jus de citron, et que je suis allée voir sur internet si c’était une bonne idée pour moi.
    J’ai l’habitude d’écouter mon corps, ce qu’il me réclame, et je lui donne, c’est facile, je ne me force pas, c’est un vrai plaisir, et ça tombe bien, il me demande que des bonnes choses: endives,épinards, salades, avocats, carottes rapées, j’adore ça!
    Je partage ces plaisirs avec mes 3 enfants depuis leur naissance, et même s’ils ralent devant leur salade d’endives, ils la mangent sans que j’ai besoin de forçer, parce que je leur ai donné cette habitude, et je sais que plus tard, ils prendront plaisir à manger des légumes crus, comme moi, leur corps en réclameront…
    Juste pour dire que ce désir d’écouter son corps, réside en partie dans l’éducation des parents, si on en a pas pris l’habitude, c’est très dur de le faire une fois arrivé à l’âge adulte. On devrait à l’école, je pense, faire des potagers, apprendre aux enfants à faire pousser des légumes, et les manger, crus, une fois sortis de terre….c’est pas grand chose, quelques mètres carrés de terre, et un peu de bonne volonté, plutôt que de les envoyer chez le psy à chaque fois qu’ils sortent du cadre scolaire.
    Une hypothèse aussi: le corps ne serait il pas dissociable du cerveau? Chez moi, je pense que c’est le cas, mon cerveau veut quelque chose, mon corps, une autre…c’est une lutte permanente et fatigante, un combat quotidien. Nos cerveaux se developpent, ils prennent trop de place, au détriment de nos corps, seule notre conscience, au milieu, peut rétablir un équilibre?

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      Merci pour votre témoignage. Comme vous, je pense qu’il faudrait nous ramener à la terre, nous en sommes trop éloignés.

      Enfin, ce n’est pas le cerveau qui est dissocié du corps, mais le mental, qui lui, se croit tout puissant.

      Réponse
  2. Jordan

    Bonjour Wladislas,

    Avant tout, je tiens à vous remercier de partager tous ces articles, ils sont de qualité et m’ont ouvert les yeux sur bien des sujets. 🙂

    J’aimerais avoir votre opinion sur ma propre expérience :

    Depuis fin février de cette année, j’ai des douleurs au tendon d’Achille droit sans raison apparente (aucun traumatisme, pause sportive depuis quelques mois, profession : étudiant). Mon médecin traitant a diagnostiqué une enthésite, depuis, j’ai des douleurs similaires mais moins prononcées à l’insertion des psoas et aux aponévroses plantaires (les douleurs sont parfaitement symétriques) ainsi qu’une petite douleur au sacrum et aux coxo-fémorales.

    J’ai donc consulté une ostéopathe D.O. à deux reprises, qui a beaucoup travaillé les cervicales, le sacrum, et le colon entre autres.

    De plus, j’ai totalement arrêté la consommation de produits laitiers, d’alcools et réduit ma consommation de viandes, pour privilégier les légumineuses, légumes, fruits.

    Enfin, je peux affirmer à 99% que l’alimentation a une grande influence sur ces douleurs, sans pour autant la désigner comme responsable de mes problèmes.

    Que me conseillez-vous à ce stade ?

    PS : J’ai démarré une cure au Magnésium 300+ associé à la silice (selon vos conseils) et les effets sont immédiats ; je me rappelle de mes rêves, j’en avais presque oublié l’existence !

    Merci beaucoup d’avance et bien amicalement,
    Jordan

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      C’est un conflit entre le rein et la vésicule biliaire.
      Cesser produits laitiers et chocolats après 17h00.
      Placer une bouillotte le soir à hauteur du foie.
      Faire une cure de sulfate de magnésium.
      Cesser le grignotage.

      Réponse
  3. Romain

    Si combler les carences et donner à son corps ce dont il a besoins est effectivement la clé, comment savoir par soi même de quoi son corps à besoins ? Comment identifier soi même si son corps a besoins de fer, de vitamine … ?

    Et ensuite comment trouver des nutriment assez riche pour les combler.

    Réponse
    • Wladislas BARATH

      Réduire drastiquement toute source d’intoxication pour retrouver son instinct qui, lui, nous guide merveilleusement.
      Ensuite, une fois rétabli, chercher les aliments les plus naturels. Miser sur la qualité et non sur la quantité.
      Prenez cela comme un jeu. Vous ne trouverez pas toujours du premier coups, mais y arriverez par tâtonnement.

      Réponse
  4. Sandrine

    Bonjour ! Tout d abord merci pour tous ces articles et liens que vous nous faites partagés… Nous avons tous nos vies, nos joies, nos difficultés…. Pour ma part j ai un gros problème avec l alimentation en générale, le sucre bien sur, mais pas seulement… Une grosse prise de poids suite à un gros choc émotionnel mais également de sales mauvaises habitudes installées depuis trop longtemps… Je sais que je dois agir car dans ma famille il y a CP de diabétique, ainsi que du cholestérol… Je ne veux pas vieillir ainsi, mais pour le moment je cherche de quelle façon me réconcilier avec la nourriture… Je lis beaucoup, peut être trop sur ce sujet et je m y perds un peu j avoue car on trouve tout et son contraire… Il va quand même bien falloir que je pose tous ces bouquins et que j agisse ! Mais Je suis sur un des livres de Mr Delabos en ce moment et j aimerais juste savoir ce que vous pensez de la chrono nutrition ?
    Merci et bonne continuation.

    Réponse
  5. Marianne

    Re bonjour Wladislas.
    Voilà un bel article, très bien écrit et très juste, au delà de la considération spirituelle.
    Mais nous n’avons pas les clés ni le mode d’emploi de notre corps. Et nous sommes de plus en plus coupés de nos émotions et de notre corps. Comment (re)connaitre nos carences? En écoutant nos maux? Mais ensuite? Se faire confiance?
    J’ai une autre question plus concrète. Lorsque je prends un complément alimentaire car je sais que j’ai une carence en magnésium par exemple, est ce que cet apport n’induit pas un déséquilibre d’un autre nutriment, comme le calcium par exemple?
    Comme c’est bonne une journée de congés pluvieuse… j’ai de belles lectures! Merci

    Réponse
  6. THOMAS

    D’accord M.Barath, mais comment retrouver la santé et combien de temps faut il compter?
    Je pratique prières, méditation, EFT, reïki, nutritionniste. La SLA est une maladie complexe. J’espère dans les cellules souches mais en France, cette méthode n’est pas encore pratiquée…

    Réponse
      • Audrey

        J’aimerais comprendre votre question.
        En quoi savoir ce que l’on pense de notre maladie pourrait nous aider, en particulier quand il s’agit de maladie congénitale.

        J’espère que vous pourrez nous en dire un peu plus sur ce sujet.

        Merci d’avance

        Réponse
        • Wladislas BARATH

          Nos cellules suivent aveuglément la vision que nous leur donnons du monde. Je vous laisse imaginer la responsabilité que nous avons.

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